Cecile, superbe dominatrice (3)

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superbe dominatriceAu service de cette superbe dominatrice !

Je couvre à nouveau ses orteils de baisers. Puis cette superbe dominatrice s’assoit et me donne un ordre.

-Va me chercher une bière et un verre !

Je cours à quatre pattes vers la cuisine tandis qu’elle me demande de marcher les genoux bien écartés, pour qu’on voie bien mes couilles. Ensuite, je reviens debout, le verre et la bière demandés dans chaque main. Je suis toujours en érection. Cécile regarde mon sexe.

-Toujours en forme ? Comment ça se fait ?

-J’aime vous servir, Maîtresse !

-Mets-toi à genoux !

-Oui, Maîtresse.

-Maintenant, tu peux verser la bière dans le verre.

Je m’exécute, puis je lui tends le verre.

-Très bien. Quand tu me rapportes quelque chose que je t’ai demandé, c’est toujours à genoux. Compris ? Ensuite, une fois que je l’ai pris, tu m’embrasses les pieds en me remerciant.

-Oui, Maîtresse.

Je me penche et je dépose avec ferveur quatre baisers sur chacun de ses pieds tout en la remerciant. Je n’arrête de psalmodier des remerciements entre chaque baiser. En fait, je découvre avec stupeur que je lui suis vraiment reconnaissant. Ensuite, elle me demande de retirer une cigarette de son paquet, de la mettre entre ses lèvres et de l’allumer. J’obéis et de nouveau, je la remercie en lui embrassant les pieds. Je me sens servile, je sens que je suis sa chose, je n’ai qu’une idée en tête, lui obéir à la perfection, lui plaire, la combler. Ensuite, elle me demande alors de me retourner à quatre pattes, les fesses vers elle, et d’écarter grand les genoux. Et c’est alors qu’elle me fait une longue caresse sur les couilles.

-C’est ta récompense à chaque fois que je serai contente de tes services : une caresse sur les couilles de ta Maîtresse.

-Merci, Maîtresse.

En position de soumission devant cette superbe dominatrice !

Elle arrête de me caresser et je reste comme cela, n’osant pas bouger puisqu’elle ne m’a donné aucune instruction. Cécile pose son verre et m’attrape doucement les fesses, puis les écarte. Je frémis.

-Psssst ! N’aie pas peur. Je voulais juste voir ton anus. Calme-toi ! Détends-toi ! Cambre le dos et incline davantage le torse vers le sol tout en écartant plus les genoux. Voilà, comme ça… parfait !… Encore un tout petit peu plus, écarte bien les fesses.

Je me sentais terriblement exposé dans cette position, les couilles et l’anus livrés au regard de Cécile, les fesses terriblement écartées.

-Très bien, me dit-elle. C’est ce que j’appelle la position de soumission. Tu l’adopteras à chaque fois que je te le demanderai, soit qu’il me plaira de te voir ainsi, soit pour te préparer à la sodomie, soit lorsque j’aurai décidé de t’exposer à mes copines pour notre plus grand amusement. C’est clair ?

-Oui, Maîtresse.

M’exposer à ses copines ? pensai-je. Cela ne serait-il pas trop dur à supporter pour moi ? Quelle mortification que d’être dans cette position-là devant plusieurs femmes. Mais à cette interrogation angoissée face à la perspective d’une telle humiliation se mêlait subtilement une certaine impatience, une excitation puissante. Je savais en mon for intérieur que non seulement je ne pouvais pas ne pas obéir à Cécile mais que je prendrais plaisir à tout ce qu’elle me demanderait. Me pavaner nu devant ses amies, leur exhiber mon sexe, mes fesses, mon anus ? Rien ne m’était impossible.

Préparation du bain pour cette superbe dominatrice !

Ensuite, elle me demande de rester dans cette position.

-Voilà un joli petit trou que je vais prendre beaucoup de plaisir à pénétrer avec toute sorte d’objets, me dit-elle sur un ton pensif. Qu’en penses-tu, esclave ?

-Il vous appartient, Maîtresse. Vous en ferez tout ce que vous voudrez.

-Bien sûr. Tu aimes exhiber ton anus et tes couilles devant moi ?

-Oui, Maîtresse.

-Que ressens-tu exactement ?

-Je me sens exposé à votre regard, sans défense devant vous, Maîtresse. Et j’aime ça. Je suis votre esclave nu et soumis.

-Très bien. Va me préparer un bon bain bien chaud ! Dès qu’il sera prêt, tu reviendras m’en informer.

-Oui, Maîtresse. Puis-je vous embrasser les pieds avant de partir ?

-Bien sûr.

Je me retourne puis je me prosterne à ses pieds. Enfin, j’embrasse délicatement chacun de ses orteils. Je lève les yeux vers son visage. Toujours à genoux, je lui souris puis elle me rend mon sourire et m’ébouriffe les cheveux avec tendresse.

-Tu es un bon petit esclave bien obéissant. Allez, va, maintenant !

-Merci, Maîtresse.

Je me dépêche de me rendre dans la salle de bain, je remplis la baignoire d’eau bien chaude. Un fois cela fait, je reviens dans le salon, je m’agenouille devant Cécile, j’embrasse ses pieds.

-Votre bain est prêt, Maîtresse.

-Alors, allons-y. Passe devant et dandine bien ces fesses en marchant !

-Oui, Maîtresse.

A genoux devant cette superbe dominatrice !

Je dandine des fesses comme elle me l’a demandé et c’est avec délice que je sens mes couilles ballotter au rythme de ma démarche. J’adore me sentir exposé à sa vue. Nous arrivons dans la salle de bains, où Cécile me demande de la déshabiller. Une fois qu’elle est en culotte, elle m’ordonne de me placer à genoux derrière elle, puis de l’enlever. C’est alors que je peux contempler les deux magnifiques globes de ses fesses.

-Tu peux me couvrir les fesses de baisers, esclave !

-Oh ! Merci, Maîtresse.

Je reste là, à genoux, à couvrir ses deux fesses de doux et respectueux baisers. En fait, je les frôle à peine, parfois je sors délicatement ma langue pour lécher la douce peau satinée. Puis sans crier gare, elle s’avance et rentre dans la baignoire, me laissant à genoux, seul avec mes baisers. Elle s’assied dans l’eau, pousse un soupir de satisfaction, croise ses mains derrière sa nuque et me dit :

-Au pied, esclave !

-Oui, Maîtresse.

-Assieds-toi par terre à ma hauteur, en tailleur !

Je m’assieds puis elle me caresse la tête, rentre son index dans ma bouche, me caresse le menton, puis ensuite la poitrine. Elle me demande de me dresser à genoux et elle empoigne mon sexe, le caresse d’un geste doux. Je ferme les yeux. J’ai une érection presque douloureuse. Puis elle me lâche.

-Viens, rentre dans la baignoire, tu vas me laver !

Plaisir de laver cette superbe dominatrice !

Je savonne le corps de Cécile avec mes mains. Quel délice de sentir ses seins sous mes paumes, les tétons qui durcissent sous mes caresses. À chaque endroit de son anatomie où je passe, je dois la couvrir de baisers. De temps en temps, elle m’arrête et m’embrasse passionnément, sa langue dans ma bouche. Je contemple son sexe rasé avec une immense envie de poser mes lèvres dessus, de fouiller de ma langue ses lèvres roses à peine entrouvertes. Mais je n’ose pas. Une fois que Cécile est couverte de mousse, elle m’indique d’un geste la douche. J’allume l’eau, puis elle se met debout, les bras en l’air pour que je la rince. Elle se penche en avant et je la rince abondamment entre les fesses.

-Tu peux éteindre l’eau, à présent, me dit-elle.

-Oui, Maîtresse.

-Lèche-moi l’anus.

-Oui, Maîtresse. Merci, Maîtresse.

Je contemple son anus, puis je mets ma tête entre ses fesses pour l’atteindre de ma bouche. Tout mon corps vibre de passion tandis que ma langue s’active furieusement. J’entends Cécile haleter. Que c’est bon d’être à genoux derrière sa déesse et lui prodiguer si peu banale caresse.

Cécile sort de la baignoire. Je contemple son corps de rêve, sa chevelure.

-Mon peignoir blanc et une serviette !

Punition pour le soumis !

Je mets son peignoir à Cécile et je sèche ses cheveux avec la serviette. Ensuite, je me mets à genoux pour essuyer ses pieds, que je ne manque pas de couvrir de baisers. Elle m’en félicite, me disant que c’est le seul endroit de son anatomie que je peux embrasser à toute heure sans lui demander l’autorisation. Ensuite, elle me félicite aussi de mon parfait comportement et de ma soumission exemplaire. Elle revêt une robe de chambre de soie rouge et nous allons dans le salon où je peigne amoureusement ses beaux cheveux. Une fois cela fait, je vais ranger le peigne et le produit démêlant dans la salle de bains.

À mon retour, elle m’attend debout au milieu du salon, l’air pensif. J’accélère le pas, je me prosterne à ses pieds, que j’embrasse et que je lèche avec ferveur en disant :

-Maîtresse ! Maîtresse adorée !

-Très bien. J’adore ces marques de dévotion respectueuses. Et maintenant, l’heure est venue de ta punition.

-Ma punition ? Mais qu’ai-je fait de mal, Maîtresse ?

-Tu viens de le faire. Contester ma décision de te punir. Je te punis comme bon me semble, juste parce que j’en ai envie, dit-elle d’un ton doux tout en me caressant les cheveux. En fait, tu aurais dû me remercier. Tu as compris ?

-Oui, Maîtresse. Pardon, Maîtresse et merci.

-Comme c’est le tout début avec toi, je serai indulgente. Je ne vais faire que doubler la punition initialement prévue.

Fessé par cette superbe dominatrice !

Cécile s’assied au milieu du canapé et me demande de me mettre à plat ventre sur ses genoux, les fesses à sa hauteur. C’est un délice de sentir mon sexe se frotter à la soie de sa robe de chambre. Elle prend ma tête dans son bras gauche pour me soutenir. De sa main droite, elle me caresse les fesses.

-Tu es prêt pour la fessée ?

-Oui, Maîtresse.

Et le premier coup part, brutal, sur la fesse droite. Je retiens mon souffle, je pousse un léger gémissement. Puis c’est un deuxième, sur la fesse gauche. Cécile fait une pause, puis je m’en prends un troisième. Ça commence à chauffer et à faire mal mais je retiens mes cris. Elle frappe fort.

-Tu peux crier, si tu veux. Ça aide, d’extérioriser.

-Oui, Maîtresse.

Quatrième coup. Aïe ! Cette fois, je crie. Et puis, cela continue, je perds le compte mais je crie de plus en plus fort. Ainsi, j’ai l’impression que mes fesses sont en train de prendre feu et que les os de mon bassin vont exploser. Ensuite, mes cris deviennent des sanglots, mes larmes jaillissent, je pleure désormais comme un enfant. Enfin, Cécile s’arrête.

-Allons, allons ! C’est fini, mon amour, c’est fini ! me dit-elle. Viens dans mes bras !

Totale dévotion !

Je me pelotonne dans ses bras, elle me serre fort contre elle en prononçant des paroles d’apaisement tandis que je pleure à chaudes larmes. Ensuite, elle me caresse la tête. Je me sens bien tout contre elle.

-Allons, c’était si dur que ça ?

-Ça fait mal, Maîtresse.

-C’est fini, maintenant. Après, tu verras, tu seras encore plus doux et servile avec moi, encore plus empressé de me servir et de me satisfaire !

Cécile m’embrasse sur les lèvres.

-Allez, mon petit esclave d’amour, descends du canapé et lèche-moi les pieds.

Je m’empresse de descendre et de me mettre à genoux devant Cécile. Elle avait dit vrai. C’est avec une rare frénésie que je lèche ses pieds. Ainsi, je lèche toute la plante, qu’elle m’offre, puis ses orteils, avec de grands coups de langue vigoureux. Ensuite, je lève les yeux vers son visage, je lui souris à travers mes larmes, elle me rend mon sourire. Je vois qu’elle écarte les pans de sa robe de chambre, dévoilant sa belle vulve épilée.

-Tu peux couvrir mon sexe de baisers, si tu veux.

-Oh oui, ma déesse. Oh oui !

Je dépose des baisers sur son mont de Vénus, puis sur le haut de sa vulve, là où on voit le bouton de fleur, clef du plaisir féminin, jeter un regard timide au monde extérieur. Je frotte subrepticement ma lèvre supérieure contre ce dernier. Et puis je lui dis :

– Merci, Maîtresse, de m’avoir puni. Ça m’a fait du bien. Je vous aime.

 

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