Le valet de Madame G., parfait homme soumis? (1)

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homme soumisEva G. est une très belle femme de 32 ans. Elle est mariée à un riche industriel, Sylvain G. âgé de 53 ans. Elle dirige l’agence de mannequin dont elle faisait partie, il y a maintenant 6 ans. Sa carrière de top-model international lui a assuré une bonne fortune personnelle avec laquelle et une participation de son mari, elle a pu s’offrir cette célèbre agence. Eva n’a rien perdu de sa beauté ni de son élégance personnelle, au contraire, l’âge lui a développé juste assez de rondeurs pour qu’on se retourne systématiquement sur elle dans la rue.
Elle a choisi définitivement de vivre à Saint-Jean-de-Luz, laissant à son mari qu’elle ne voit plus guère, l’appartement cossu dans le XVI ème à Paris. Il faut dire que Sylvain G. a un emploi du temps très chargé qui ne lui laisse presque plus de loisirs. En fait, il fait partie de ces patrons pour qui seul le travail compte. Eva, quant à elle, a nommé une femme de confiance pour tenir les rênes de son agence sur place à Paris.
Elle supervise ses affaires depuis sa belle villa, qui domine l’océan grâce à une batterie de fax et d’ordinateurs branchés sur internet. La différence d’âge avec son mari et surtout son attirance de plus en plus marquée pour les femmes a eu raison de leur vie de couple. Sylvain se console avec de nombreuses conquêtes attirées par sa fortune et Eva invite quelques beautés de son agence dans sa demeure à Saint-Jean pour satisfaire ses penchants saphiques.

 

L’homme à tout faire et la ravissante soubrette de Madame G.

 

Pour entretenir son immense villa, Madame G. emploie une jeune et ravissante soubrette ainsi qu’un chauffeur, jardinier, homme à tout faire prénommé Marc. Eva a choisi elle-même son personnel sur des critères qui ne tenait pas uniquement compte des références des deux employés : Si Julie, la petite bonne, est ravissante, Marc est de son côté un très bel homme de 44 ans, athlétique très discret et stylé. Les deux employés n’ont guère le temps de chômer : La maison est grande, le parc suffisamment vaste pour occuper les deux personnes.
Julie s’occupe de la cuisine, de l’intérieur de la maison. Marc, est chargé de l’entretien extérieur, parc et piscine et des deux voitures de Madame. Mais en plus, il faut assurer le bien-être des nombreuses invitées de la patronne. Il est rare qu’il ne soit pas un ou deux mannequins en villégiature chez Eva G.
Mais tout compte fait, la place est plutôt bonne pour les deux employés. Bien sûr, Julie doit rendre quelques services intimes à sa maîtresse, mais elle y trouve aussi son bonheur. Quant à Marc, vu les mœurs de Madame, il n’est guère inquiété pour ce qui est de son intégrité sexuelle à son grand regret d’ailleurs. Il retrouve Julie dans leurs rares moments de loisir et s’entend avec elle si bien qu’ils forment un couple de circonstance, parfaitement admis par la maîtresse des lieux.

 

Le jour où tout à basculer pour le futur homme soumis…

 

Mais un jour tout bascule dans la routine quotidienne de la villa Etchemendy. Nous sommes un lundi du mois de janvier. L’océan a pris sa couleur grise des jours de forte houle. Il fait froid et Marc est au salon en train d’aider Julie à déplacer une commode pour qu’elle puisse faire la poussière. Son travail à l’extérieur est pour l’instant mis en veilleuse pour cause hivernale.
Eva entre dans le salon. Marc fait encore une fois un effort pour ne pas la regarder de manière trop insistante. Comme toujours, sa patronne est vêtue de manière aguichante qui lui donne des envies de viol.
Eva G. est une ravissante blonde, au port de reine, un rien altier qui lui confère une élégance de très grande bourgeoise. Ses yeux, d’un pur émeraude, légèrement en amande éclairent un visage d’un ovale parfait. Sa bouche boudeuse et pulpeuse rappelle celle de Brigitte Bardot. Ses longs cheveux, naturellement blonds sont relevés en chignon. Enfin, sa démarche incomparablement chaloupée est issue directement de sa longue expérience des podiums internationaux. Elle porte un de ces tailleurs chics de grande marque, à la différence près que la jupe est systématiquement raccourcie pour arriver à mi-cuisse si ce n’est parfois plus haut.
Aujourd’hui, elle a choisi de porter le Chanel vieux rose dont la veste très échancrée laisse apparaître la naissance de ces seins. La jupe étroite arrive sensiblement au milieu de ses cuisses bien rondes gainées de bas noirs soyeux. Elle porte de très hauts talons assortis à son ensemble. Son cou de gazelle est rehaussé d’un magnifique collier de perles naturelles qu’elle affectionne particulièrement et qui fait ressortir son éternel bronzage Eva est une pure merveille et ce n’est pas par hasard qu’elle faisait, naguère, les couvertures de tous les magazines.

 

Départ pour Biarritz pour faire quelques courses…

 

Julie sait bien que Marc lui fait l’amour en pensant à elle. Mais elle y trouve son compte. Elle a l’avantage de coucher aussi avec Madame, elle !
– Marc, vous êtes libre ?
– Oui Madame !
– Je dois aller à Biarritz pour faire quelques courses, vous allez me conduire, préparez la jaguar !
– Bien Madame, tout de suite.
Marc, se demande comment sa maîtresse n’a pas d’ennui en se promenant si court vêtue en ville ! Il se force à ne pas penser à elle tout en dévalant l’escalier qui mène au garage.
Une fois la voiture sortie, il attend dehors, laissant le moteur tourner pour que la chaleur envahisse l’habitacle : Madame a horreur d’avoir froid.
Il aperçoit sa patronne sur le perron. Elle est emmitouflée dans un de ses somptueux manteaux de vraie fourrure du vison blanc, pense-t-il. Madame n’est pas du genre à porter du synthétique !
Marc ouvre la porte, et comme d’habitude, Eva s’installe à l’arrière de la berline en découvrant largement ses jambes. Marc à droit au spectacle des cuisses rondes gainées de bas noirs de sa maîtresse, que la mini robe découvre jusqu’à la culotte de couleur rose assortie au tailleur. Ses bas sont maintenus par des jarretelles roses également. Un vrai régal ! Marc se demande toujours si Madame fait exprès de lui dévoiler ses charmants dessous à tout bout de champ. Est-ce pour le rendre fou de désir ? Dans ce cas, l’objectif est atteint. Ou alors ne se soucie-t-elle pas le moins du monde de son valet et de ses sentiments en considérant celui-ci comme un objet ? Peut-être un peu des deux pense Marc.

 

Madame G. et son valet arrivent devant un magasin de lingerie.

 

Ils arrivent rapidement à Biarritz. En cette saison la circulation est fluide et n’a rien à voir avec la cohue estivale. Eva lui demande de s’arrêter à proximité d’un magasin de sous-vêtements de luxe. Il se gare à la volée, descend pour ouvrir à sa passagère. De nouveau son regard est attiré par le jeu de jambe de sa patronne, il constate avec ravissement que la culotte est légèrement transparente. Il va encore fantasmer sur cette vision.
– Allez garer la voiture et venez me rejoindre à ce magasin !
– Mais Madame c’est…
– Oui Marc, c’est un magasin de sous- vêtements féminins et alors ? Ca vous dérange de vous retrouver au milieu de petites culottes ? Vous avez pourtant l’air d’apprécier celles que je porte, je me trompe ? Je suis sûre que vous savez de quelle couleur elle est aujourd’hui. Allez ne faites donc pas cette tête ! Allez garer cette voiture et venez me rejoindre, j’ai besoin de vous figurez-vous. Le tout dit avec un petit sourire énigmatique.
Marc se sent rouge de confusion. Ainsi donc, elle sait qu’il lui regarde sous les jupes. Quelle vicieuse de faire semblant de ne pas le remarquer !
Il trouve rapidement une place au parking voisin. Il doit se reprendre à plusieurs fois pour garer la limousine. Son esprit est complètement déstabilisé. Depuis deux ans qu’il est au service de cette femme jamais il ne s’est fait piéger de cette manière par elle. Qu’est-ce que c’est que cette histoire de petite culotte ? Depuis quand à elle besoin de lui pour choisir ses dessous ? D’habitude elle fait ce genre d’emplette avec une de ces créatures de rêve que sa patronne affectionne particulièrement. Il est vrai qu’en hiver, il y a beaucoup moins de visites. Les mannequins de l’agence sont sous les tropiques pour le travail ou pour bronzer.

 

Reçus par la patronne de la boutique

 

Il arrive devant la boutique et pousse la porte. Sa patronne est la seule cliente. Elle est assise au fond de la boutique et discute avec la propriétaire du magasin. Pas de serveuse, ils ne sont que tous les trois.
– C’est Marc, mon employé de maison dont je t’ai ai parlé, Madame Brigitte F. La propriétaire de cette boutique.
– Bonjour Marc !
Le chauffeur serre la main tendue de la jolie et souriante propriétaire. La commerçante est une superbe brune plantureuse. Marc lui donne à peu près 35 ans. Elle est très élégamment vêtue, elle aussi, d’un tailleur bleu pétrole, sa jupe courte découvre de longues jambes gainées de gris. Le décolleté est ravageur : Manifestement elle ne porte rien sous sa veste de tailleur dont les deux premiers boutons sont défaits, pas de soutien-gorge, c’est un comble pour son métier ! Pense Marc. Elle est chaussée de fins escarpins gris également laissant le pied pratiquement entièrement découvert.
Le regard de Marc s’attarde ensuite sur les rayons de la boutique, élégamment décorée et de très grand luxe. Des dessous chics, plus ou moins osés sont mis en valeur par des mannequins en plastique transparent. Il y a des culottes, des strings, des soutiens-gorge, des bas, des collants des porte-jarretelles, bref tous ces petits riens qui coûtent une fortune et qui font tout le charme de leur propriétaire. Il est interrompu par la voix suave de la propriétaire du magasin.

 

homme soumis

 

Traité par Madame G. comme un homme soumis!

 

– Je vous en prie, installez-vous, donnez-moi votre pardessus et venez vous asseoir !
– Non, je préfère qu’il reste debout, ce n’est qu’un valet après tout ! N’est-ce pas que vous êtes mon valet Marc ?
– Euh…
– Eh bien Marc, n’ayez pas honte de votre métier ! Dites à Madame ce que vous êtes !
– Euh… oui …
– Oui quoi ?
Marc est interloqué : Jamais il n’avait été traité de la sorte.
– Alors Marc, repris la commerçante, vous n’êtes pas très obéissant à ce que je vois !
– Je suis le valet de Madame G.
Il ne sait plus ou se mettre. Cette conversation ahurissante lui fait l’effet d’une douche glacée. Que se passe-t-il donc ? Quelle mouche a piqué sa patronne ?
– Voilà qui est mieux ! S’exclame la commerçante.
– Marc, Madame Brigitte F. est une amie. On s’est longtemps parlé la semaine dernière. Je vais vous expliquer pourquoi vous êtes ici avec nous deux. Madame F. pense que je n’utilise pas assez vos compétences. Elle m’a convaincue d’expérimenter avec vous une nouvelle conception de votre travail. Vous savez que je n’ai guère d’attirance pour votre sexe. Je sais que vous, par contre, vous êtes très attiré par ma personne, je me trompe ?
– Non Madame, c’est vrai, vous êtes désirable, aucun homme ne pourrait être insensible à votre charme;
– Comme c’est bien dit ! S’exclame la commerçante moqueuse.
– Je sais bien, repris Madame G., que vous n’arrêtez pas d’essayer de regarder dans mes décolletés et sous mes jupes, pas vrai Marc ?
– Euh… Oui.
– Pardon? Oui qui ?
– Oui Madame !
– Je devrais vous renvoyer pour cela. Vous n’avez pas honte à votre âge de jouer les petits voyeurs ? Quand, par inadvertance, je dévoile mes dessous, votre devoir est de regarder ailleurs ! Au lieu de respecter cette règle élémentaire de bienséance, mon valet mate comme un adolescent boutonneux !

 

Humilié comme un homme soumis!

 

Marc est dans un état second. Tout ceci n’est pas vrai, pense-t-il. Je vais me réveiller. Lui, un homme mûr, se faisant humilier par deux femelles, comme un homme soumis ! Et le pire, le pire… C’est qu’il aimait ça. Il sent son sexe se dresser petit à petit au fur et à mesure de la conversation. La bosse qui déforme sa braguette n’échappe pas aux deux jeunes femmes.
– Voilà qui est mieux ! Je pense que je vais te laisser l’initiative maintenant Brigitte.
– Parfait, qu’il se déshabille pendant que je ferme la boutique pour être tout à fait tranquilles.
– Quoi ? Moi ?
– Mais oui vous ! Eva a haussé le ton.
– Mais je…
– Etes-vous oui ou non au service de Madame G. ? Lance la commerçante qui est en train de baisser les stores et fermer la porte du magasin.
– Oui, mais ce que vous me demandez n’est pas…
– N’est pas quoi ? Ce n’est pas dans le contrat ? C’est ça que vous voulez dire ? Reprend Eva. Mais mon cher, allez chercher une place comme la votre par les temps qui courent. Je vous paye suffisamment, il me semble. Vous habitez grâce à moi dans une des plus belles régions de France. Ma maison est fastueuse. Votre maîtresse est belle et désirable et vous vous payez ma jolie soubrette ! Que voulez-vous de plus ! Je vous le demande ?
– Euh… C’est vrai Madame, mais… Mais ce que vous me demandez me… M’humilie beaucoup et…
– Parfait, on rentre, on verra à la maison pour les modalités de votre licenciement !
Eva G. se lève, et va récupérer son manteau.
– Non Madame ! C’est d’accord. Je ferai ce que vous voudrez.
– Voilà qui est mieux ! Lance Brigitte. Qu’est-ce que vous attendez ? Mettez-vous nu qu’on voit comment vous êtes fait !
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6 réflexions au sujet de “Le valet de Madame G., parfait homme soumis? (1)”

  1. il semble agréable a vivre dans cet état d’esprit le valet de madame, le mari au loin et la soubrette et comble de plaisir elle l’humilie j’adore !!!

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