Rééduqué par mon épouse dominatrice, une brillante avocate! (7)

Rééduqué par mon épouse dominatrice, une brillante avocate! (6)

 

Je finis par rentrer vers 19h, après un petit détour par une épicerie pour préparer le repas de ma Déesse. Une purée de céleri, du saumon grillé au four à l’origan ainsi qu’un peu de semoule de fleurs dont je sais qu’elle raffole. J’ai également acheté un bon vin blanc. Toute l’après-midi, j’ai repensé à ce qui m’est arrivé dans l’animalerie. Bien que je redoute la punition, la situation m’excite au plus haut point. Mon épouse dominatrice savait depuis toujours à quel point je voulais être un soumis. Je ne la décevrai pas, quoi qu’il m’en coûte.

Retour de mon épouse dominatrice à la maison…

Arrivé à la maison, je prépare le repas, mets le vin au frais, l’heure tourne, et je sais que Jessica rentre en général vers 20h30. Vers 20h15, je vais me déshabiller dans la chambre, sors mes emplettes, enfile le collier et me regarde dans la glace, c’est vrai qu’il me va bien ! J’ajoute la laisse puis me dirige jusqu’à la cuisine où je place les deux gamelles non loin de la poubelle, comme Déesse Jessica me l’a demandé.

Enfin, je m’installe près de la porte d’entrée, à genoux, la laisse dans la bouche, et je patiente. Un bon moment. Presque une heure. Il est déjà 21h passées quand, enfin, j’entends la porte de l’ascenseur qui s’ouvre sur le palier. Ainsi que des voix, qui discutent… celle de mon épouse dominatrice, et la voix d’une autre femme. Très mal, j’hésite à me relever pour aller me cacher, mais j’ai trop peur d’être puni encore davantage. Je reste là, les yeux baissés, quand la porte s’ouvre.

Déesse Jessica entre avec Déborah, une de ses collègues, une femme très belle et sportive. Mais elles ne sont pas seules, Sarah est venue avec elles ! Robe noire ultra-moulante, talons hauts, elle ne dit pas un mot et garde la tête baissée.

Ni Déesse Jessica ni son invitée n’ont jeté un regard dans ma direction en entrant.

• Sarah, va te préparer!

 

• Oui, Déesse Déborah.

 

• C’est vraiment très beau chez toi ! continue celle-ci en découvrant l’entrée et en jetant un œil dans le salon.

 

• Oui, ça m’a pris beaucoup de temps mais j’ai choisi chacun de ces objets et j’en suis assez fière !

 

• Tu peux ! Je dois enlever mes chaussures ?

 

• Non, inutile, ma chienne nettoiera tout ensuite.

…Avec sa collègue et son assistante, Sarah!

 

En disant cela, elle s’approche de moi, me jette un regard affectueux et me fait une petite caresse dans les cheveux.

• La voilà, elle est mignonne n’est-ce pas ?

 

• Mais elle n’est pas encagée, ça ne te gêne pas ?

 

• C’est au programme mais elle se tient très bien donc pour le moment ce n’est pas l’urgence.

 

Déesse Jessica me fait lécher ses doigts, je m’applique pour ne pas la décevoir.

• Quelle douceur, elle utilise bien sa bouche manifestement !

 

• Oh oui… répond Déesse Jessica, avant de se pencher vers moi. Ma chienne tu vas être heureuse, j’ai invité Déesse Déborah à dîner, c’est une grande spécialiste en éducation et en dressage, elle va pouvoir t’apprendre à bien te comporter !

Je hoche la tête, je ne pense pas être autorisé à répondre. Déesse Jessica a déjà détourné le regard, elle attrape ma laisse et me tire vers le salon. Par instinct, je me suis mis à quatre pattes, les fesses cambrées.

• Elle a une belle posture, commente Déborah. Ce n’est pas encore parfait mais elle prendra vite le pli. Elle a aussi une belle croupe.

Elle me met une gifle sur les fesses qui me fait sursauter.

• Je comprends mieux pourquoi tu m’as demandé de rapporter ma cravache !

 

• Je n’ai pas encore testé sa résistance de ce point de vue, je te fais confiance.

 

• Tu peux, de toute façon il a désobéi aujourd’hui non ?

 

• Oui, il mérite d’être puni.

 

• Je vais te montrer comment on fait. Et l’anus ?

 

• Il est vierge.

La collègue de mon épouse dominatrice, spécialiste en dressage et en rééducation!

Déesse Déborah se penche et m’écarte les fesses sans pudeur. Elle observe mon trou du cul, passe un doigt dessus.

• Mmm en effet, c’est bien serré par ici ! Tu vas t’éclater !

 

• Oui mais je ne sais pas s’il faut que je le dépucèle avec mes doigts avant de le goder, qu’est-ce que tu en penses ?

 

• Je serai toujours partisane de la manière forte personnellement. Autant lever toutes ses inquiétudes d’un coup et le dévierger avec un gros gode.

 

• À sec?

 

• Non, pas à sec, il va trop saigner et ce ne sera pas agréable pour toi. Tu lui fais un bon lavement d’abord puis tu l’enduis de lubrifiant et tu enfonces ton gode jusqu’à la garde. Une fois qu’il est bien au fond, tu peux le baiser autant que tu veux. En revanche je te conseille de le vidanger avant si tu veux pas qu’il en foute partout pendant que tu l’encules.

 

• Oui, j’y ai pensé déjà. J’utiliserai le gode ceinture que m’a offert Eva.

 

• Celui avec lequel j’ai enculé Sarah la dernière fois ?

 

• Oui!

 

• Haha il va le sentir passer, c’est certain, il fait au moins 25 centimètres ! Après ça on peut dire que t’auras une chienne de compétition !

Les deux Déesses rigolent tandis que je n’en reviens pas de les entendre parler de me sodomiser, sans aucun égard pour moi. Je m’aperçois aussi que mon épouse dominatrice pratique la domination depuis longtemps, sans que je ne m’en sois jamais aperçu. Comment tout cela a-t-il pu m’échapper ?

• Bon, on boit un coup ? Sarah? Sarah!

A quatre pattes aux pieds de ma Déesse!…

Déesse Déborah tape dans ses mains et Sarah resurgit dans le salon, totalement nue, à l’exception d’un fin collier en cuir pourvu d’un anneau et d’une paire de bas qui galbent incroyablement ses jambes, toujours perchées sur ses hauts talons. Quelle vision ! Comment aurais-je pu deviner que mon épouse dominatrice fréquentait déjà des soumises ?

• Tu nous sers à boire, s’il te plaît ?

 

• Oui, Déesse Déborah.

 

• Tu vois, Jess, Sarah est si bien dressée que je n’ai pas besoin de lui mettre la laisse en permanence… je l’ai avec moi bien sûr, mais il suffit que je la siffle et elle arrive…

 

• Je vais dresser ma chienne de la même façon !

 

• Ce n’est pas le plus difficile, tu verras.

Sarah se dirige vers la cuisine tandis que les deux Déesses s’installent dans le salon. Toujours à quatre pattes, je reste aux pieds de Déesse Jessica.

• Couché, ma chienne.

Je me blottis à ses pieds, essayant de cacher mon érection. Mais Déborah l’a vue.

• La chienne est excitée, on dirait ! Tout ça parce qu’on a parlé de lui faire le cul !

 

• Tu penses?

 

• Oh oui je pense, les chiennes comme ça ont besoin d’être remplies, c’est naturel. C’est pour ça que personnellement je les vidange avant, sinon elles ne pensent qu’à leur plaisir !

 

• Oui je comprends.

 

• Elle a une belle érection en tous cas !

 

• Oui, elle est insatiable. Mais comme je t’ai dit, elle se tient bien, elle n’y touche pas si je ne lui demande pas. Je vais lui apprendre à bander sur commande mais je crois que ça va me prendre du temps…

…Sarah, la soumise, à genoux à côté de moi!

• Oui, il faut du tact et de la persévérance. Mais j’ai connu un soumis comme ça il y a quelques années, tu te souviens de Louise ?

 

• La productrice de films ?

 

• Oui, elle avait un soumis dans sa maison de campagne, je n’y suis pas allée souvent mais il était très impressionnant. Elle lui disait « bande », il devenait tout dur. « Débande », il redevenait mou en quelques instants.

 

• Incroyable ! Qu’est-ce qu’il est devenu ?

 

• Elle l’a vendu à une actrice américaine. Il doit toujours vivre à Los Angeles, maintenant, à moins qu’il n’ait été revendu depuis.

Tandis qu’elles discutent, Sarah revient leur servir deux verres de vin.

• Je vais appeler Louise, j’aimerais beaucoup connaître sa méthode !

 

• Oui c’est sa spécialité, dit-elle en se tournant vers Sarah. Aux pieds ma chienne.

 

• Oui, Déesse Déborah.

Sarah se met à genoux aux pieds de Déborah, tout près de moi qui suis toujours couché, si bien que je sens mon pied toucher sa cuisse.

• Qu’elles sont belles ces deux chiennes ! dit Déesse Déborah.

 

• Oui, et bien dressées, regarde-les, parfaitement immobiles !

Déesse Déborah fouille dans son sac et sort une fine chaîne en or qu’elle attache au collier de cuir de Sarah.

• Allez on ne va pas faire de jaloux, pas de raisons que tu ne sois pas en laisse toi aussi !

 

• Bien sûr, Déesse Déborah, répond Sarah d’une voix blanche.

 

• On trinque?

 

• À ta santé!

Les deux Déesses font tinter leurs verres de vin et commencent à boire, et Déesse Déborah commence à lui distiller ses conseils de domination. Elles n’ont aucune considération pour les deux humains qui patientent à leurs pieds. Le temps est interminable, quand je vois Déesse Jessica qui retire une de ses chaussures.

A suivre