Soumis à Maîtresse L, épilation chez l’esthéticienne (2)

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Deux jours plus tard, je suis de retour chez ma Maîtresse, pour honorer le rendez-vous qu’elle a pris pour moi, chez son amie esthéticienne prénommée Vanessa.

Sitôt arrivée, Madame L. m’indique la tenue que je dois enfiler et qu’elle a étalée sur le lit. C’est une parure très enveloppante et qui colle à la peau. Il y a une brassière en guise de haut qui recouvre une bonne partie de mon torse. Je découvre, aussi, une culotte gainante sur l’avant, de style vintage, se transformant en string sur les fesses. Pour compléter la tenue, il y a des bas qui tiennent tout seuls avec des larges jarretières épaisses. L’ensemble est dans une tonalité couleur chair, évoquant, ainsi, la lingerie des années 50.

Je m’habille rapidement sous les yeux attentifs de ma Maîtresse qui vérifie, ensuite, que tout est impeccable. Ainsi, elle réajuste au plus près de mon corps. Heureusement, mon pantalon et ma chemise cachent mes dessous féminins. Enfin, nous partons tous les deux vers le salon de beauté de son amie. Il est 12 heures. Nous allons profiter du temps de fermeture du salon à la clientèle habituelle, pour me faire épiler en toute tranquillité.

 

Reçus par Vanessa dans son salon d’esthétique!

 

Maîtresse

 

Vanessa nous reçoit, seule dans son salon à cette heure. C’est une belle femme, la quarantaine, grande, élancée, brune, sûre d’elle, à la voix claire et sans hésitation.

  • Voilà donc la fameuse Isabelle ! dit-elle en m’examinant de la tête aux pieds. Entrez et mettez-vous à l’aise. Nous n’allons pas perdre de temps. Le temps est compté pour moi et je souhaite bien m’occuper de ta protégée, pour la rendre toute belle comme tu le souhaites.

 

  • Oui, répond ma Maîtresse. Je la veux toute lisse sur ses endroits intimes. D’autant plus, que je dois rendre des invitations à plusieurs de mes amis. Et j’ai décidé qu’Isabelle assurerait les tâches domestiques à ces occasions. Je vais la transformer en une parfaite soubrette pour servir le café ou le thé à mes invités. Elle portera une tenue de bonne traditionnelle, jupette noire et tablier blanc très courts, avec rien en dessous! Il faut donc que son postérieur et sa « chatoune » soient impeccablement lisses et imberbes.

J’entends avec surprise ce nouveau programme qui m’est destiné. Maîtresse ne m’en  a pas encore soufflé mot. .Je sens que les situations humiliantes vont s’enchainer pour moi après la séance d’aujourd’hui et j’en suis ravi.

  • Fais déshabiller Isabelle, s’il te plait, pendant que je fais chauffer la cire. Nous allons passer aux choses sérieuses, annonce Vanessa.

 

Début de l’épilation à la cire!

Ma Maîtresse me fait ôter pantalon et chemise. Puis marquant un temps d’arrêt, elle interpelle Vanessa en me montrant en petite tenue:

  • Que penses-tu d’Isabelle ainsi? Ce n’est plus la même personne, non ?

 

  • En effet répond l’esthéticienne. Sa tenue est charmante et tellement féminine. J’adore ! Mes yeux ne se lasseraient pas de la regarder dans cette toilette sexy. Malheureusement, ce n’est pas compatible avec la séance d’épilation. Alors Isabelle, dit l’esthéticienne en s’adressant directement à moi, mets-toi toute nue et allonge-toi sur la table de massage.

J’obéis sans rechigner et de fait, offre pas trop rassuré, mon corps aux regards des deux femmes. Vanessa commence par une inspection rapide pour évaluer le travail.

  • Je vois que les aisselles sont bien rasées. On attaque directement les parties intimes? s’enquiert-elle auprès de ma Maîtresse.

 

  • Oui, devant et derrière, mais j’aimerais aussi que ses tétons soient bien dégagés. Je n’aime pas sentir de poil lorsque je m’occupe de ses tétines.

 

  • Très bien, commençons par-là alors acquiesce Vanessa.

D’un geste sûr, elle étale la cire chaude tout autour d’une de mes aréoles. Avec son pouce, elle cache le petit bouton en appuyant dessus, et son autre main vient coller sur ma peau,  la bande adhésive vouée à arracher les poils qui entourent la pointe de mes seins. Je ne peux réprimer un sursaut, car la douleur est assez vive lors du premier arrachement, mais Vanessa en professionnelle aguerrie, ne semble pas étonnée de ma réaction.

  • Doucement, ma jolie. Il faut savoir souffrir un peu pour être belle. Tu vas voir, ça va bien se passer.

 

Deuxième étape de l’épilation: les fesses!…

Elle continue sans interruption son travail pour procéder, par petites touches précises, à l’enlèvement des poils disgracieux sur toute ma poitrine. Mais simultanément, son pouce posé sur mon téton pour le protéger de la cire, exerce machinalement un léger mouvement circulaire, faisant rouler mon bout sous son doigt. Sensible à cette attention me faisant un peu oublier la douleur, la pointe de mon sein durcit et prend du volume sous la pression caressante du pouce.

Très vite, grâce à cette action, je ressens le doux fourmillement familier qui envahit mon entrejambe, lorsque Maîtresse s’occupe de mes seins avec ses doigts ou sa bouche. Et je me prends presque à apprécier la brulure de la cire arrachée, apaisée par la douceur du doigt de Vanessa sur mon mamelon.

En cinq minutes, mon torse est lisse et glabre. Ensuite, la professionnelle passe à la deuxième étape de mon initiation dépilatoire.

  • Nous allons nous occuper des fesses maintenant. Désolée Isabelle, mais la position indiquée et requise pour épiler cette partie de ton anatomie, c’est de se mettre à quatre pattes. Allez, met-toi en position !

J’obtempère et deux secondes plus tard, j’offre mon postérieur à la vue de Vanessa et de ma Maîtresse qui ne perd pas une miette du spectacle offert.

 

…et les deux femmes en profitent!

Elle rajoute même quelques commentaires bien à propos, qui accentuent mon statut de soumise exhibée sans vergogne.

  • Tu sais Vanessa, en ma présence, Isabelle a l’habitude d’adopter cette posture. C’est d’ailleurs ainsi que je la préfère quand elle écarte bien ses cuisses et se cambre à fond pour me présenter son cul bien ouvert.

 

  • Effectivement, répond son amie avec un grand sourire, on voit qu’elle a l’habitude de se présenter ainsi. Et elle est très obéissante. Et bien Isabelle, tu vas m’aider, puisque tu es docile et pleine de bonne volonté. Je vais d’abord épiler ces deux jolis globes bien charnus, puis je débarrasserai ta raie de tous ces vilains poils qui s’y cachent. Tu vas poser ton menton sur la table et avec tes deux mains, tu vas tenir bien écartées tes fesses. Tu t’ouvres au maximum pour nous faire voir ton joli petit trou…

J’exécute son ordre. Les deux complices postées derrière moi ne cessent de pouffer et de ricaner dans mon dos, tout en faisant des commentaires coquins:

  • Quel joli cul ouvert …. On dirait qu’il attend qu’on s’en occupe ….. Son petit anneau est tout frétillant, il palpite et s’élargit tout seul ….

L’épilation de mon cul ne prend que quelques instants, mais je sens nettement les deux mains de ma Maîtresse qui se sont rajoutées aux miennes, pour séparer  obscènement mes deux sphères joufflues. Et Vanessa insiste particulièrement avec les bandes de cire sur la corolle de mon anus qui se prête avec beaucoup d’entrain à ses attouchements…

  • Allez, on se retourne maintenant. Dernière phase pour que Mademoiselle Isabelle ait une peau aussi lisse que celle d’un bébé.

 

Je subis sans me plaindre, un peu excité tout de même!

 

L’épilation de mon pubis commence par l’aine, à la jointure des cuisses et du bassin. Vanessa me fait replier une jambe sur le côté pour ouvrir au maximum le compas de mes membres inférieurs. Puis le second pli subit le même sort. Les décollements de cire s’enchainent à toute vitesse.  L’échauffement de mon épiderme aussi. Mon bas ventre commence à ressembler à un brasier rougeoyant. Mais je reste docile et je subis sans me plaindre, car ma position de jouet qu’on ballotte et malmène, excite tout de même mon esprit.

Une fois, les flancs pubiens dégagés, Vanessa s’attaque à la partie périnéale, entre les testicules et la raie culière. Pour y accéder sans peiner, Vanessa me demande de replier au maximum mes jambes sur ma poitrine et de saisir mes genoux pour rester en position relevée. Madame L. m’ordonne d’écarter en même temps mes cuisses pour m’ouvrir telle une fleur impudique, offrant ses endroits les plus secrets à la vue.

  • Reste dans cette position Isabelle, je vais maintenant m’employer pour débarrasser de tout poil, ces deux petites bourses velues…

Vanessa s’empare de mes testicules, les soupèse dans sa paume, les malaxe et les enduit de cire chaude. Tenues fermement à leur base, les deux boules ont la peau tendue et roulent doucement sous la pression qu’applique Vanessa. Le moment se révèle très agréable. Mes couilles sont traitées avec une infinie douceur et beaucoup de dextérité par ma douce tortionnaire. Bientôt elles brillent comme deux boules de billard, aussi rouges et lisses qu’elles.

 

…et, l’inévitable se produit!

Puis mon pubis est à son tour l’objet de la dextérité de Vanessa. Pour appliquer et enlever la cire, à droite, à gauche et en dessus de mon membre, Vanessa n’a d’autre solution que de dégager le cylindre de chair et de le maintenir sur un côté, durant son intervention. Du plat de sa main gauche, elle appuie sur mon pénis et le plaque fermement sur mon ventre, en dehors de sa zone de travail. La douceur de la main de Vanessa a tôt fait de faire réagir ma queue qui se gonfle irrémédiablement pour atteindre une proportion conséquente. Vanessa ne s’en offusque pas, ni n’y prête attention. Elle manipule ma tige avec fermeté et obstination, la calant en appuyant de plus en plus énergiquement dessus.

Soumise à ce traitement pendant un bon quart d’heure, l’inévitable se produit. Toujours sous la pression de sa main douce, mon membre complétement décalotté se crispe encore un peu plus et sous les yeux de Vanessa et de Madame, laisse échapper de son gland, une trainée de semence liquide et blanchâtre qui coule doucement sur mon ventre. Vanessa relâche alors la pression et laisse échapper un sifflement, tandis que ma Maîtresse me gronde:

  • Regardez-moi cette cochonne qui ne sait pas se retenir. Tu as vu ce que tu as fait Isabelle? Tu as failli te répandre sur Vanessa. Excuse-toi auprès d’elle, petite sale.

 

  • Ce n’est rien, réagit Vanessa, c’est normal et sain comme réaction. Je vais essuyer, j’ai presque terminé d’ailleurs.

 

Tout penaud, je demande pardon!

Tout penaud, je demande pardon à Vanessa qui m’adresse un clin d’œil et termine son travail en épilant ma hampe encore toute raide et dressée comme un I

  • Et voilà, c’est fini annonce-t-elle fièrement. Mais dit-elle en s’adressant à ma Maîtresse, j’ai l’impression que le traitement lui a mis le sang en ébullition. Regarde, son sexe est toujours dur comme de la pierre. Il devrait pourtant ramollir puisqu’il a libéré son jus.

 

  • Je pense qu’il n’a pas tout expulsé, loin de là, répond Madame L.  Il n’y a eu qu’une petite coulée et il doit en rester plein à l’intérieur de cette petite trainée.

 

  • Bon de toutes-façons, je vais lui appliquer un baume apaisant, cela va peut-être calmer sa tension en même temps que l’irritation de la peau.

Versant au creux de ses deux mains, une espèce de lait gras et onctueux, Vanessa m’enduit copieusement le corps de son onguent magique. Ses mains sont ainsi encore plus douces et glissent sur mes parties sensibles, me procurant des frissons de volupté. Aucune once de chair n’est négligée, que ce soit mes tétons, le creux de mes fesses ou mon sexe toujours fier et droit.

  • Cette petite salope a le clito en feu, rugit ma Maitresse. fais en ce que tu veux Vanessa, elle est comme une chienne en chaleur.

 

  • J’en fais mon affaire de ta petite pute, lui répond Vanessa.

 

Ma Maîtresse propose de me prêter à Vanessa!

 

Enrobé de crème hydratante, un doigt de Vanessa s’est dirigé vers l’orifice béant de mon cul. Il n’a aucun mal à s’enfoncer profondément, tant je suis ouvert et réceptif. Immédiatement, il chatouille ma prostate et fait grossir encore de plusieurs centimètres, ma queue droite comme un pieu vertical. Pendant qu’elle me masse doucement le fondement, son autre main s’agrippe au poteau dressé, l’entoure de ses cinq doigts glissants et entreprend de coulisser tout doucement de bas en haut de la colonne de chair.

Une minute de ce traitement délicieux suffit pour m’emmener au septième ciel. En même temps que je ressens une bonne dizaine de contractions venir serrer le doigt de Vanessa au cœur de mon boyau rectal, mon clito géant fait fuser de longs jets de semence qui cette fois sont projetés avec vigueur et viennent s’écraser sur ma poitrine et jusque sur mon visage.

  • Eh bien, c’est une sacrée salope que tu as là, s’exclame Vanessa. Je donnerais cher pour posséder la même !

 

  • N’hésite pas si tu veux que je ta la prête un de ces jours, lui répond ma Maîtresse. Cette petite pute a besoin d’être vraiment dressée et son éducation est encore à peaufiner, sous mes ordres, mais aussi en la confiant à des personnes de confiance qui la feront progresser.

Pendant que je me rhabille, Madame L. et Vanessa continuent leur dialogue à quelques pas de moi. Je ne saisis pas tous leurs propos échangés à voix-basse, mais je perçois des bribes de leur conversation. Il est question de suivi médical, de praticiens de confiance dans leurs connaissances, de rendez-vous …  Puis je vois Vanessa inscrire quelque chose sur un morceau de papier qu’elle remet à ma Maîtresse. Je suppose que je ne suis pas concerné par cet échange complice entre les deux femmes, mais les faits me prouveront sans tarder le contraire.

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