SOUS L’EMPRISE DE FABIENNE (3) et de sa mère, femme dominatrice!

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Réquisitionné par Patricia, magnifique femme dominatrice!

 

Dès le lendemain matin, appel de Madame Patricia, magnifique femme dominatrice, à huit heures, sur le fixe.

 

  • Viens immédiatement!

 

  • Mais… je dois donner un cours de russe à une élève de quatrième, au coll…

 

  • Aaaah, c’est bien, ça ! Mignonne, la petite ?

 

  • Euh…

 

  • Bon, fais ce que tu as à faire. Comment dit-on « chatte », en russe ?

 

  • Euh… kochka

 

  • Tu as un cours de première langue, avec kochka, ahaha ! Non, sérieusement, je passe à ma salle de gym. Sois ici à dix heures. Si je ne suis pas rentrée, la clé est sous le paillasson. Entre et attends-moi.

 

  • Bien, Madame… euh, vous avez parlé à Fabienne ?

 

  • Ce matin, oui. Elle m’a un peu raconté votre histoire. Il vaut mieux que tu l’évites au lycée, pour le moment.

 

  • Entendu, Madame. À tout à l’heure.

 

À vrai dire, je partis donner mon cours, mort de rire à l’idée de cette « première langue », mais assez excité en pensant à… kochka.

À dix heures moins vingt, j’étais sur les lieux de la double aventure d’hier. Personne, bien entendu. Madame Patricia avait donc bien confiance en moi.

Curiosité impossible à contrôler

 

Néanmoins, je ne pus m’empêcher de visiter la chambre de Fabienne, le cœur à 300 pulsations… Le lit ! Défait !

Penché, à genoux, je frottai mon visage dans les plis du drap encore tiède, à l’emplacement supposé de son sexe. Mon Dieu, que ça sentait bbbboonn !

Ma main rencontra, sous la couette, une petite culotte froissée. Un peu honteux de mon audace, je la dépliai, cherchant un témoignage du plaisir de Fabienne. Une petite place un peu gluante sur le tissu de l’entrecuisse !
Érection fulgurante.
Honte, hésitation…

Finalement, je portai à mes lèvres le petit rectangle de coton et, fermant les yeux, dégustai les sucs de Fabienne, lentement, en imaginant sa jouissance solitaire…

 

Des sandales … appétissantes!

 

Passant une main sous le sommier, je trouvai cette fois une sandale à fines lanière dorées que je n’avais jamais vue. L’usure de la semelle intérieure dessinait la forme de ses orteils, petites empreintes de saleté, poussière et transpiration mêlées.
Ébloui, je léchai frénétiquement le cuir décoré par ces magnifiques peintures. Elles étaient délicieusement salées, leur odeur poivrée, que ma salive réveillait, m’excitait tant, que je crus jouir dans mon jean.
Mais Patricia pouvait arriver d’un instant à l’autre. Je remis les trésors à leurs places et retournai dans le salon.
Figé devant le canapé, hier tour à tour lieu de malheur et de plaisir, je n’eus aucun mal à remplacer l’image de Fabienne hurlant par celle de sa mère gémissant.
Bruit de clés.

Arrivée sportive de Patricia, divine femme dominatrice

 

Pleine d’énergie, Patricia entra et jeta son énorme sac de gym devant moi. Sa voix énergique et fraîche me réveilla de ma torpeur rêveuse.

 

  • Mets ma serviette dans la machine, tu y mettras mes autres fringues pendant ma douche.

 

  • Bbb.. bonjour, mes rrr.. respects, Madame. Vvvous êtes divine dans cette tenue !

 

Quoique bégayé et maladroit, c’était, encore une fois, totalement sincère.
Son collant moulait ses fantastiques jambes de sportive, le haut à bretelles mettait en valeur ses épaules graciles. Entre ses cuisses, ses fesses et sous ses bras, des auréoles de transpiration attestaient qu’elle n’avait pas ménagé ses efforts à la gym.

Quoi qu’il en soit, la Reine, qui me tournait le dos pour aller à la salle de bains, s’arrêta net. Les mains sur les hanches, elle tourna le haut de son buste vers moi, me jetant un regard trouble.
Cette position mettait en valeur sa taille de guêpe. Et son sein gauche, maintenu dans le soutien gorge de sport, pointait de façon arrogante.

Instinctivement, je me baissai. Elle voulait me regarder d’en haut et s’était bien fait comprendre. Sa voix se fit un peu plus grave.

  • Regarde-moi…  ( j’étais encore en train de piquer un phare…)   Ahaha, voyez ce petit serviteur prêt à tout pour sa moi !…
    Moi, Fabienne, bien entendu.
    Déshabille-moi.

Je découvris mon plaisir d’être soumis!

Un choc.
Fascinante.

Cette femme dominatrice venait de me révéler ce que je désirais sans moi-même en avoir conscience… La déshabiller, voilà, c’est ça ! Faire pour elle ce qui lui coûterait le moindre effort, la délasser, être à son service, m’abandonner à son pouvoir, lui ob..b..béi..r. Oui, au fond de moi, c’est ce que je désirais le plus au monde. Respirant fort, elle pointa son index vers le sol devant elle.

  • Ici. Hummmm… baisse-toi, ta tête à la hauteur de mes… ssSEINS.   Bieeeen…..
    Enlève mon top !

Et elle leva les bras.

 

A genoux devant Patricia!

 

Je fis glisser le coton fin vers le haut. Comme je me relevais pour faire passer le vêtement, elle attira ma tête sous son aisselle, son autre bras verrouilla la position. Sa transpiration gouttait encore.

  • Lèche.

Plaqué dans la chair douce, chaude et trempée sous son bras, je pris le rôle de la douche. En position bien large, ma langue récoltait des gorgées de sueur, absolument délicieuse. Tiède, salée, épicée, odorante, certains penseraient « beurk ». Moi, je n’en perdis pas une goutte.

Et la Reine Patricia murmurait de gourmands « hhhhhuuummm », des « sssc’est bbbbBOoooon » ou des « lèche encore là… encore, ici… frotte ton nez »  qui me remplissaient de fierté.

La déesse enleva son soutien gorge. Je voulus sucer les superbes tétons bruns et drus qui jaillirent alors.
D’un signe méprisant du menton, elle m’indiqua l’autre aisselle, et s’occupa elle-même de ses seins, les pressa en haletant encore. Quand toute la sueur de ses bras eût disparu, elle se laissa tomber dans le sofa, m’entraînant, pendu d’amour à son aisselle, dans sa chute.

  • Chaussures!
    Chaussettes!
    Pieds!

J’étais à genoux devant elle. Je dénouai les trainings et fis glisser les petites socquettes. Elle joua avec ses orteils enfin libérés, les écartant en éventail, me les plaçant sous le nez… leur odeur, plus forte, était encore plus enivrante. J’aurais tant voulu qu’elle les pose sur mon visage, me les fasse sucer, embrasser. Mais elle posa ses deux chevilles sur mes épaules, prit appui, et fit descendre son legging. En dégageant ses chevilles, je remarquai que son entrejambe était encore plus mouillé que ses aisselles. Sa transpiration imprégnait le collant. Elle le frotta sur mon visage avec ses divins pieds, que je tentai à nouveau d’embrasser.

femme dominatrice

Madame joue!

 

  • Plus tard, les baisers sur mes pieds. Continue la douche! Nettoie mes cuisses!

Je léchai un litre de sueur sur ses cuisses… Comme sa transpiration était fortement imprégnée d’une autre odeur, plus envoûtante encore quand je m’approchais de sa petite culotte, je me sentis littéralement comblé, et lâchai presque malgré moi :

  • Merci, Madame, merci mille fois de m’autoriser à vous servir, c’est pour moi le plus délicieux des plaisirs. Car vous êtes une déesse.

Après un petit temps, où il me sembla cette femme dominatrice souriait, mais plutôt d’un air sévère :

  • Oui, une déesse. Ton plaisir, petit impertinent, je m’en fous. Prosterne-toi, prie-moi, supplie-moi et tu pourras lécher les pieds d’une déesse. Tâche de bien t’en tirer.
    Obéis et ne provoque pas la colère de ta déesse…

Et je fus admis à sucer les pieds divins… En plus de leur goût absolument délicieux, déesse Patricia s’en servait pour me pousser vers le bas, sans doute pour m’apprendre à bien « me prosterner », les enfonçait dans ma gorge, agitant ses orteils dans ma bouche à m’en rendre fou…

Enfin, je pense avoir léché toute la surface de sa peau, bu toute sa sueur, senti tous ses parfums… cela m’aurait suffi et je l’aurais remercié à genoux, mais j’avais l’espoir de la récompense ultime : le droit au cunnilingus.
Elle prit mes joues de ses longues mains, approcha ma bouche avide du petit sous-vêtement rendu quasi-transparent par l’humidité…
Et brusquement se leva, me bouscula à coups de pieds en criant, pour aller à la douche. La vraie.

 

Madame, divine femme dominatrice, se fait plaisir!

 

Après une attente interminable, elle revint, drapée dans une serviette, maquillée, fantastiquement sexy, souriante…

  • Je viens de jouir. Aucun espoir de succès au cunnilingus avant un moment, mais lèche déjà ma cyprine, j’ai horreur d’être poissée. D’abord, cigarette, Whisky… ma p’tite pépée ! Mais là, ce sera une vodka. Ensuite, à genoux et régale-toi !

Son ton devint plus sévère, méprisant :

  • Quand Madame Patricia sera propre, masturbe-toi devant elle.
    Tu jouiras sur mon ordre… et sur mon pied.
    Bien entendu, tu le suceras, AVEC RESPECT. Je le veux tout propre.
    AH, au fait. Pour me servir, je veux que tu mettes un jupe de Fabienne.

 

  • B..bbien, Mad..dame.

Travestissement un peu spécial!

 

Horreur… mettre une des jupes de mon amour ! Le vêtement que je préfère toujours dans ses tenues ! Qui devrait d’ailleurs s’appeler « une Fabienne », plutôt qu’une jupe, tellement ça lui va bien.
Je filai dans la chambre, pris la première dans la penderie et l’enfilai. Comme Fabienne avait, je l’ai dit, un fessier conséquent… la jupe m’allait comme un gant. Vite, au bar, je servis un verre royal, pris la bouteille royale, puis une cigarette royale et le royal briquet pour l’allumer. Retour aux pieds de Madame.

Elle éclata de rire.

  • OOOoooh la mignonne bonniche que voilà ! AHAHAHAHAH !
    Mon verre.
    Cigarette.
    Allume.
    Nettoie ma chatte, petite perverse.

Servir Madame, mon devoir de bonniche?

 

Je fus très humilié, mais je dois dire que le port de la jupe de Fabienne m’excitait. D’abord, doublée de soie, elle caressait mon braquemart insidieusement. Ensuite, ça me donnait effectivement l’air d’une bonne (très moche) tout juste bonne à obéir à sa patronne…
Enfin, le manque de respect à la prude Fabienne (qui n’en saurait rien, du moins je l’espérais) avait un côté pervers. J’étais coupable, mais Patricia me tenait, je lui appartenais.

Humilié, c’est certain. Est-ce que j’aimais ça ?
P
our moi, à l’époque, c’était le sexe, le principal : je n’avais jamais pensé que la façon dont Fabienne m’avait rudoyé avait été un plaisir… Mais c’était avant !

Après quelques verres, Patricia riait de plus en plus, m’insultait, me traitait de pute… Elle retira sa culotte et la jeta à l’autre bout de la pièce, puis me donna l’ordre, sèchement comme à un chien, de la rapporter. 

Avant que je lèche sa vulve, elle laissa tomber un filet de Vodka entre ses seins, qui fila jusqu’à kochka, effectivement poissée d’un jus blanc épais. Vodka + Kochka, quel cocktail.
M’empoignant par le cou, méprisante, elle guida ma langue le long du ruisseau d’alcool.
Bien que bandant comme un âne, j’étais au comble de l’humiliation, décidé à faire un jour un régime anti-Patricia… elle s’en aperçut.

 

  • C’est bon, Jean-Louis la petite pute, branle-toi, maintenant.

Impossible de jouir sans en avoir reçu l’ordre!

 

Je commençai, sachant que ça ne durerait pas longtemps, et son sourire se ralluma. Elle passa un pied sous mes couilles et les fit… « valser »  en riant du jeu de mots !
Mais ce jeu, qui ne me fit pas rire, déclencha cependant la montée de mon orgasme… mais quelque chose me bloquait.
Ça ne venait pas. Je regardai Madame Patricia avec un air pitoyable.

Cette impitoyable femme dominatrice fronça les sourcils, me regarda d’un air terrible, incroyablement sévère, qui me foudroya de charme, et hurla presque :

  • JOUIS ! MAINTENANT !

 

Une seconde après, je lâchais mon sperme sur son pied en grognant comme un porc. Bon sang, c’était ça qui bloquait : cette femme dominatrice ne m’avait pas ordonné de jouir !
Je dégustai alors mon sperme sur son pied, dont elle avait retroussé les orteils pour tout retenir. Comme il en était tombé par terre, elle m’ordonna, de son fameux coup de menton, de lécher le sol.
Je sentis son pied appuyer sur ma tête, et ça me rappela quelque chose…

La fin de matinée se termina par deux orgasmes majestueux. Cunnilingus bien sûr, mais avec juste quelques corrections.
En tout, huit tapes sur la tête, cinq ordres et quelques conseils de fin, essoufflés et gémissants pour gérer l’explosion finale !
Tout cela pour me remettre dans le droit chemin de SON cunnilingus.

Elle me dit que je progressais et que Fabienne apprécierait, un jour. Mais que je devais encore beaucoup travailler. Obéir, c’était bien, prévenir, ce serait mieux.
Demain, elle contacterait Fabienne, qui s’était installée chez sa tante , la soeur de Patricia.

J’adorais cette Déesse, je la vénérais, quoi qu’elle fasse.
Je voulais remplacer TOUS les hommes, animaux, plantes, objets
qui avaient l’insolence de contribuer à son plaisir!  

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