Petit déjeuner au lit pour Maîtresse Valerie
Après, seulement quelques jours passés chez sa fille Valérie et son gendre, Mère Héléna a pris en main l’éducation de son gendre. Elle le transforme petit à petit en sissy. Ainsi, elle l’a obligé à quitter le lit conjugal pour le faire dormir dans sa chambre.
Samedi matin, Mère Héléna, demanda à Jean devenu Johana, de servir le petit déjeuner au lit à sa femme, et ce sous son contrôle.
-Johanna, arrête de faire ta blonde ? Comment veux-tu que Valérie prenne son petit déjeuner ?! En tenant l’assiette sur ses genoux ?! Pose le plateau sur la table de nuit ! Va prendre la petite table qui se trouve dans la cuisine ! Ensuite, tu reviens et après que tu l’aies dressée comme il faut, soulève ta jupe et répète 50 fois « Je suis une bonniche Bimbo et j’ai besoin que Mère Héléna fasse sérieusement mon éducation. »
Je me sentis profondément humilié et rougis très fort. En dépit de mon embarras, je n’oubliais pas mon apprentissage précédent et je fis la plus belle des révérences.
-Oui, Mère Héléna !
Des vêtements féminins pour Johanna !
Pendant que je vaquais à mes occupations dans la cuisine pour dresser la petite table pliante, Mère Héléna et Valérie riaient à gorge déployée.
Je servis le petit déjeuner au lit à Maîtresse Valérie puis je me mis dans le coin de la chambre. Ensuite, je relevai ma jupe et répétai la phrase que Mère Héléna m’avait ordonné de dire :
-Je suis une bonniche Bimbo et j’ai besoin que Mère Héléna fasse sérieusement mon éducation !
Je devais compter moi-même jusqu’à 50. De temps en temps, Mère Héléna ou Maîtresse Valérie me faisaient reprendre la phrase en prétextant que je m’étais trompé ou bien qu’elles ne m’avaient pas bien entendu.
Maîtresse Valérie termina de prendre son petit déjeuner
Mère Héléna m’envoya prendre une douche. Elle prépara mes affaires dans sa chambre où elle m’emmena et me dit d’un air sévère :
-Je t’ai préparé tes affaires sur le lit. Habille-toi ; puis nous irons acheter de quoi te rendre plus féminine . Valérie et moi déciderons une fois sur place ce dont tu as besoin.
Je regardais les vêtements qu’elle m’avait préparés. Il y avait un corset blanc tout en dentelles, une paire de bas couleur blanche, une culotte rose à froufrous, des escarpins de 6 centimètres, une minijupe noire et un haut rose avec écrit dessus en lettres blanches : « j’aime être une Sissy. » A côté, se trouvait, également, une veste en cuir rose avec marquée dans le dos « Sissy de Valérie » Je regardai, de nouveau mes vêtements, et je regardai Mère Héléna avec un air désespéré et dit juste un mot d’une voix suppliante :
-S’il vous plait !
Elle me regarda en souriant, et me répondit de sa voix aussi tranchante que de l’acier :
-Pense au paddle ma Chérie !
Départ pour le centre commercial !
Mes épaules s’affaissèrent et je sus aussitôt que je quitterais la maison avec les affaires qu’elle m’avait choisies. Elle m’ordonna de m’approcher et m’habilla rapidement avec mes nouvelles affaires, mais ne me mit pas de maquillage et oublia ma perruque. Elle me poussa hors de sa chambre.
-Mère Héléna, est-ce que je peux mettre une perruque et un peu de maquillage, j’ai l’air ridicule avec cette tenue ?
Elle répondit en hochant la tête :
-Ce n’est pas ta tenue qui est ridicule, c’est toi qui l’es !
L’éclat de rire de Mère Héléna me résonna dans les oreilles. Mon visage devint rouge écarlate de honte.
-Tu survivras à notre petite virée et tu en sortiras plus forte, comme une fille… Peut-être ?
Nous allâmes à la voiture. Maîtresse Valérie m’ouvrit la porte mais avant que je puisse entrer, elle me dit de retirer ma veste de cuir. Puis elle me fit mettre les mains dans le dos. Rapidement, je sentis des menottes se refermer sur mes poignets. Elle me remit ma veste sur les épaules, refermant la fermeture éclair, m’enfermant dedans. Elle m’aida à monter à l’arrière de la voiture et fixa ma ceinture de sécurité.
-Ouvre la bouche maintenant, Johana !
Je la regardais d’un air suppliant, mais j’ouvris la bouche. Elle y introduisit un bâillon en forme de penis dont elle attacha les lanières derrière ma tête.
-Nous sommes prêtes : dit Maîtresse Valérie, on peut partir.
-Oh non, Chérie : dit Mère Héléna, pas tout à fait prêtes, du moins cette petite garce ne l’est pas tout à fait.
Sissy bâillonée et en laisse !
Elle sortit de son sac un collier noir avec des étoiles argentées, brillant de tout leur éclat dans la lumière. Dessus il y avait marqué : « Sissy Johana. »
Je ne pus rien faire contre cette nouvelle humiliation et Mère Héléna laissa Maîtresse Valérie fixer le collier autour de mon cou. Le collier fixé, Mère Héléna lui tendit une laisse rose qu’elle attacha à mon collier. Les deux femmes s’assirent à l’avant de la voiture et Mère Héléna conduisit en direction du centre commercial.
Je fermais les yeux, ne voulant pas voir les gens regarder, ce qu’ils devaient faire sans aucun doute, particulièrement quand nous nous arrêtâmes à un feu rouge. Je savais que le centre commercial le plus proche n’était pas très loin, juste à quelques minutes de la maison. Mes deux dominatrices étaient assises à l’avant causant entre elles sans se soucier de moi. J’étais perdu dans mes pensées.
Avais-je finalement rencontré mon destin, assis à l’arrière de la voiture, solidement attaché à l’arrière, baillonné, totalement à leur merci. Combien de fois avais-je dit à Valérie que j’aimais le bondage. Elle ne semblait pas y prêter attention. Il me sembla tout à coup qu’elle attendait le bon moment. Avait-elle tout prévu avec Mère Héléna ?
La connaissant, elle en était capable. Elle ne prenait jamais de décisions hâtives, au contraire elle réfléchissant calmement avant de prendre une décision. C’était une femme de tête, alors que mes décisions étaient plutôt impulsives.
Nous nous arrêtâmes devant le centre commercial. Maîtresse Valérie se tourna vers moi et me dit :
-Je vais te retirer ton bâillon maintenant. Pendant notre virée, tu ne parleras que lorsqu’on t’adressera la parole, autrement, je ne veux pas entendre un mot. Est-ce que c’est clair ?
Maquillage permanent pour la sissy !
Je fis « oui » de la tête. Elle défit mon bâillon et détacha ma ceinture de sécurité puis elle m’ouvrit la portière et m’aida à descendre de la voiture. Les deux femmes marchaient devant moi, et je trottinais derrière elles, tenu par ma laisse. Il y avait peu de gens pour remarquer notre inhabituel trio. Certains me montraient du doigt, j’entendis des rires. Là, elles m’emmenèrent dans une petite boutique au rayon maquillage. Une jeune femme vint vers nous et nous accueillit. Elle avait une vingtaine d’années.
-Bonjour, je m’appelle Sylvia, puis-je vous aider ?
J’essayais de me cacher derrière Mère Héléna et Maîtresse Valérie, mais Maitresse Valérie me tira à la lumière avec ma laisse.
-Je pense que oui. Comme vous pouvez le voir, nous avons un petit problème !
Entendis-je dire Mère Héléna.
-Est-ce que vous faites du maquillage permanent ? Mon gendre comme vous pouvez le voir est une petite sissy. Elle adore son maquillage mais elle est trop paresseuse pour le mettre correctement tous les jours. Donc, je souhaiterais lui faciliter la vie en lui offrant un maquillage permanent.
Début de la séance maquillage pour la sissy
La vendeuse nous regarda, mais ne broncha pas comme si elle avait ce genre de demande toutes les demi-heures. Elle eut un petit sourire diabolique au coin de la bouche.
-Je suis ravie de pouvoir vous aider à résoudre ce petit problème, Madame. Je suis persuadée que nous allons faire cela rapidement.
Elle me tira par ma laisse et m’emmena à une place où tous ceux qui passaient devant la boutique pouvaient me voir à travers la vitrine. Voyant cela, je m’arrêtai net. Elle tira énergiquement sur ma laisse jusqu’au siège où elle me fit assoir et elle fixa la laisse au siège.
-Quel genre de maquillage désirez-vous pour lui, euh pour elle je voulais dire ?
Mère Héléna sourit à la vendeuse.
-Ne vous tracassez pas ! Hé Hé Hé !!! Hier encore cette pathétique sissy croyait encore qu’elle était un homme. Ça lui a pris deux jours pour réaliser qu’elle n’en était plus un.
Maîtresse Valérie déclara :
-Johana désire certainement un maquillage qui va attirer le regard des hommes. Même sans maquillage, c’est déjà ce qui se passe. Les trois femmes éclatèrent de rire pendant que je m’enfonçais dans mon siège aussi profondément que possible. Sylvia trouvait cela tellement drôle qu’elle en avait les larmes aux yeux.
-Désolée : dit-elle en reprenant une allure plus professionnelle. Je vais lui faire le visage normal pour la journée et avec quelques coups de brosse elle pourra le changer en maquillage style « Gothic. » dans la soirée.
Mère Héléna acquiesça d’un signe de tête.
-Oui très chère, c’est exactement ce que recherche Johana. Ça prendra combien de temps ?
Sylvia lui répondit que ça durerait environ deux petites heures.
Sissy maquillée sous le regard des badauds
-Bien : dit Maîtresse Valérie, Pendant ce temps-là nous allons repérer quelques boutiques où nous voulons emmener Johana. Si elle vous cause le moindre souci, n’hésitez-pas à nous passer un coup de fil.
Me regardant dans les yeux, elle dit :
-Mais je suis sure qu’elle va aimer son maquillage, n’est-ce pas ma Chérie ?
Bien sûr, elle n’attendait aucune réponse de ma part.
Elle me souffla un baiser et me murmura dans l’oreille :
-Si tu poses le moindre problème, tu sais ce qui t’attend en rentrant à la maison.
Après que les femmes aient quitté la boutique, Sylvia se tint à mes côtés.
-Johana, combien d’hommes t’envieraient d’avoir une femme qui prend soin de toi comme ta femme le fait si bien en t’offrant un maquillage permanent ? HaHaHaHa.
Encore une fois, elle fut obligée d’essuyer ses larmes, après avoir éclaté de rire.
Une fois de plus, je m’enfonçais profondément dans mon siège.
Plusieurs passants s’arrêtaient et regardaient à travers la vitrine, se demandant ce que faisait cette sissy dans une boutique de soins et de beauté. Sylvia déploya tout son art et les gens s’agglutinèrent devant la vitrine du magasin. Je fermais les yeux et essayais d’oublier le monde autour de moi, mais Sylvia m’adressa la parole :
-Vraiment, tu ne peux pas continuer à être un homme. Qui pourrait autoriser sa femme à lui faire ça ? Tu dois aimer cela , n’est-ce pas ?
Maquillage parfait
Comme je ne répondais pas, elle s’arrêta de travailler.
-Johana, si tu veux que je dise à ta Maîtresse que tu ne montres pas assez de bonne volonté, tu n’as qu’à continuer à garder le silence : Dit-elle, la voix pleine de sarcasmes.
Je la regardai d’un air effrayé, les larmes me montant aux yeux à la pensée du paddle à la maison ! De plus, je tentais d’ignorer les gens qui me fixaient à l’extérieur.
-Je suis désolée, Mademoiselle Sylvia ! dis-je d’une voix pleurnicharde
Elle me sourit d’un sourire faussement compatissant.
-Dis-moi tout, petite sissy. Laisse-toi aller, tu te sentiras mieux. Maman Sylvia t’écoute.
Je secouai la tête, j’étais trop humiliée. Elle me rappela simplement que je devais coopérer. Je craquai et je racontai comment Mère Héléna avait commencé à me transformer en sissy pleurnicharde en quelques jours. Tout en m’écoutant, Mademoiselle Sylvia s’occupait de mon visage, et me disait de tourner la tête à gauche ou à droite ou bien de fermer les yeux. Cela picotait un peu mais ce n’était pas réellement douloureux.
Finalement, Mère Héléna et Maîtresse Valérie, revinrent dans la boutique. J’étais encore dans le siège inclinable, prête à me lever et à faire face au monde extérieur. Elles s’approchèrent toutes les deux du siège.
-Wow ! : s’exclamèrent-elles en me voyant, C’est parfait ! Sourcils noirs de jais, eye-liner, fond de teint ombré, lèvres rouge-vif. Elle est parfaite ! Le problème c’est qu’elle n’aura pas à refaire en permanence son maquillage comme nous devons le faire tous les jours. Le bon côté, c’est qu’elle ne pourra pas l’enlever.
Le magasin de perruques
Mère Héléna et Maîtresse Valérie félicitèrent Sylvia. Quand je descendis de mon siège, j’entendis des rires mais aussi des applaudissements. Plusieurs femmes étaient réellement impressionnées et se renseignaient à propos du maquillage permanent. Maîtresse Valérie me fit remercier Sylvia. Je lui fis une belle révérence et je la remerciai de ma plus belle voix de femme que je pus faire.
-Tiens, c’est nouveau ça ! : Dirent mes deux Maîtresses, d’un air entendu.
Mère Héléna et Maîtresse Valérie, remercièrent Sylvia et lui dirent au revoir. Maîtresse Valérie attacha ma laisse à mon collier et me tira à l’extérieur de la boutique.
Bientôt nous arrivâmes à un magasin de perruques. Une femme d’un âge certain se tenait derrière le comptoir. Mère Héléna alla lui parler pendant que Maîtresse Valérie et moi-même regardions les perruques dans la vitrine.
-Maintenant, sissy, quelle perruque aimerais-tu porter afin de ressembler à la fille dont tu as rêvée ? : Demanda Maîtresse Valérie ?… Je la regardai et murmurai :
-Tu sais que je n’ai jamais voulu être une fille.
Perruque pour la sissy
Elle mit son index sous mon menton, releva mon visage et dit d’une voix sarcastique :
-Bien, puisque tu ne veux pas en choisir une, je vais laisser Maman t’en choisir une. Je suis sûre qu’elle va te choisir quelque chose avec un look très sissy. S’adressant à Mère Héléna :
-Que penses-tu de ces ravissantes queues de cheval pour notre fillette ?
Je devins rouge écarlate. Je choisis aussitôt une perruque avec des cheveux auburn. Les cheveux frisaient légèrement et passaient par-dessus mes épaules.
-Nous avions l’intention de garder tes cheveux courts de manière à ce que tu te sentes plus mal à l’aise, du moins pour l’instant. Il va falloir que tu mérites ces cheveux longs. Donc, apprécie cette superbe perruque, ma fille !
Elle acheta la perruque et nous sortîmes du magasin pour rentrer enfin à la maison.
Pendant le trajet, je me perdis dans mes pensées jusqu’à ce que nous arrivâmes devant la porte. Mère Héléna, me dit de monter les paquets dans sa chambre. Les deux femmes s’arrêtèrent dans le salon pendant que je montais les sacs. Je les entendis murmurer à voix basse.
J’aurais rever avoir une belle-mère qui m’épouse dans la soumission ainsi. Ca fait rêver…..
Je suis un grand blond de 26 ans bisexuel, marié à une belle arabe de 32 ans. A force de me maquiller, elle m’a fait porte sa lingerie est se mini jupes et mini robes, j’ai fini par amer ça, . et ça m’excitait et je bandait comme un âne quand je me voyais dans le miroir, joliment maquillé, en bas nylons, porte jarretelles, talons hauts ……
Quelle sublime histoire…
Vivement la suite, merci pour ce récit!!
je trouve que la belle mère Hélèna est très pointue dans ses sanctions. La phrase à répéter 50 fois c’est un bon exercice
Le baillon dans la bouche du soumis, c’est une bonne action.
J’adore le passage du collier et la laisse je peux l’identifier à mon soumis actuel.
Il a beaucoup de chance votre soumis alors.
Super belle mere