Le lendemain, je reçus un appel de Maîtresse Elsa, ma charmante Maîtresse dominatrice, qui me donna rendez-vous pour prendre un verre. J’étais ravi de la revoir. Ces deux semaines m’avaient paru longues et son absence lors de la soirée d’hier m’avait pesé. Et la revoir hors contexte BDSM me faisait vraiment plaisir.
Récit de la soirée spéciale à ma Maîtresse dominatrice
Elle était sublime. Même si j’avais vu de très jolies filles hier, dont Laetitia qui était physiquement la femme de mes rêves, ou même Camille dont j’appréciais la finesse et le charme asiatique, je trouvais quand même ma Maîtresse dominatrice d’une rare beauté et d’une prestance exceptionnelle. En un mot, j’étais heureux de lui appartenir.
- Il semblerait que tu aies été à la hauteur hier, je suis fière de toi.
- Merci Maîtresse, dis-je à voix basse pour que les gens de la table voisine ne m’entendent pas,
L’humiliation publique, ce n’était pas mon truc.
- Je sais que tu dois garder le secret sur ce que tu as vécu en tête à tête avec chacune des trois filles, mais si tu devais résumer cette expérience, comment la qualifierais-tu ?
- Surprenante, vraiment très difficile, excitante quand-même.
- Je vois… ça m’excite de l’imaginer. Tu as dû te sentir un peu perdu. Juste une question : avais-tu subi ça avant ? Je veux dire, est-ce qu’il y a des choses en commun avec ce que tu as dû faire pour Julie et moi ?
- Non Maîtresse, de rares petits points communs, mais tout était différent, pour elles je n’étais vraiment rien.
Je baissai la tête en me remémorant les coups d’Emilie, les pratiques crades de Camille, et les humiliations voulues par Laetitia.
Annonce de nouvelles épreuves pour moi
- Chacun ses fantasmes tu sais, et j’imagine que certains doivent être un peu bizarres ou excessifs, cela t’a permis de voir qu’il ne faut pas se fier aux apparences ! Moi ce que je retiens, c’est que tu les as subis pour moi, parce que tu m’appartiens, parce que je t’ai prêté à Julie. Te savoir en si mauvaise posture par obéissance, t’imaginer en train de souffrir pour mon plaisir, à distance, ça m’excite énormément.
- C’était très difficile Maîtresse, mais si c’était à refaire, je n’hésiterais pas pour vous faire plaisir », m’aventurais-je imprudemment.
- Je retiens… mais en attendant, une autre épreuve t’attend, en ma présence cette fois ! Je te donne rendez-vous mercredi à 14h devant notre lycée. Je souhaite replonger dans le temps où tu étais professeur et moi élève, revivre quelques souvenirs, parler avec quelques profs, te regarder discuter avec tes anciens collègues tout en t’imaginant nu devant tout le monde, marchant à 4 pattes sur mon ordre !
Maîtresse Elsa était terriblement cérébrale, et j’avoue que me retrouver en sa compagnie comme à l’époque du lycée, comme si de rien était, tout en étant intérieurement son soumis, était très excitant.
- Bien Maîtresse.
- Et puis trois jours plus tard, le samedi, je te donne rendez-vous chez Julie. Nous te réservons une soirée très particulière, mais tu dois venir tôt, à 16h. Ce sera très excitant pour Julie et moi, ainsi que pour nos invités, et terriblement difficile pour toi, sûrement plus difficile encore que ce que tu as subi hier !
Je regardai ma Maîtresse dominatrice avec des yeux hagards.
- Je ne t’en dirai pas plus ! Allez, à mercredi !
Visite dans notre ancien lycée avec ma Maîtresse dominatrice
J’étais sous le choc ! Encore des invitées ? Pourquoi venir à 16h pour une soirée ? Terriblement difficile pour moi ? Très excitant pour mes deux Maîtresses ? Je n’avais vraiment aucune idée de ce dont il pouvait s’agir. Et je ne voyais absolument pas comment une soirée pouvait être pire que celle d’hier avec ces trois perverses !
Je rentrai chez moi me reposer, me détendre, en tout cas essayer car j’étais à nouveau sous pression.
Mercredi, comme convenu, à la fois nerveux, content et excité, j’attendais Maîtresse Elsa devant le lycée où nous nous étions connus.
Elle arriva en souriant :
- Bonjour Monsieur Rollin!
Je ne sus même pas quoi répondre car je n’osais pas dire « Julie » sans « Maîtresse »
- Bonjour
- Bonjour qui ?, lâcha-t-elle d’un air amusé
- Bonjour Maîtresse!
- C’est bien Monsieur Rollin.
Elle avait vraiment envie de s’amuser de cette situation, mais aussi de s’en exciter en superposant les deux contextes.
- Allez, on y va!
Obligé de suivre les ordres de ma Maîtresse Dominatrice
Nous nous dirigeâmes vers la salle des professeurs. Des visages connus se succédaient, des surveillants, des secrétaires, des collègues bien sûr. Tous me saluèrent et me demandèrent des nouvelles. Certains se souvenaient aussi d’Elsa. Malheureusement pour elle, il n’y avait pas d’anciens élèves et ceux qui étaient présents étaient trop jeunes pour l’avoir connue.
Une collègue, après quelques échanges amicaux, regarda Elsa à côté de moi, puis me regarda à nouveau et demanda :
- Vous êtes venus ensemble ?
Je la savais curieuse et je n’étais pas surpris que nous voir ensemble l’intriguait !
- Oui, j’ai revu quelques anciens élèves et Julie a émis le souhait de faire une petite croisière des souvenirs en ma compagnie !
- Et Monsieur Rollin a tout de suite accepté, mes désirs sont des ordres !, déclara Maîtresse Elsa en éclatant de rire !
Cela amusa ma collègue. Cependant, elle ne vit dans cette réflexion aucune allusion compromettante. Pour ma part, je ris, également, mais jaune! En effet, je n’avais qu’une crainte, que mon embarras trahisse la situation et que ma collègue le devine.
Nous poursuivîmes notre chemin vers les classes et Maîtresse Julie me dit sous le ton de la confidence :
- Tu te souviens, on parlait souvent ici ensemble avec mes potes et tu venais te joindre à nous, c’était sympa ! En plus tu étais apprécié, un bon prof paraît-il, exigent mais juste et à l’écoute, et toujours souriant ! Moi je te vouvoyais… Tu te rappelles ?
- Oh oui je me le rappelle comme si c’était hier !
- Alors replonge-toi mentalement dans ce passé… et suis-moi!
Je connaissais bien le ton de ce « suis-moi » et j’obéis immédiatement.
Seuls dans les toilettes de notre ancien lycée
Fébrile, je suivis Maîtresse Elsa jusqu’aux toilettes où elle nous y enferma.
- Tu as bien en tête le contexte ? Monsieur Rollin qui discute avec nous, moi qui te vouvoie ?
- Oui tout à fait!
- Alors réalise où tu en es, tu vas te mettre à genoux et lécher ton ancienne élève, ici dans le lycée, dans les toilettes des filles, comme un bon soumis que tu es.
Maîtresse Elsa joignit le geste à la parole en baissant son jean et sa culotte. Moi, je m’agenouillai et bandai comme un fou. Elle mit un pied sur la lunette des toilettes et je vins placer mon visage sous sa chatte pour la lécher comme un dingue.
Après une dizaine de minutes pendant lesquelles, malgré l’excitation, je guettai le moindre bruit annonçant l’arrivée de quelqu’un qui puisse nous entendre, Maîtresse Elsa prit ma tête entre ses mains et jouit intensément.
- Vous m’avez bien fait jouir Monsieur Rollin, vous avez une bonne langue, celle d’un bon chien.
Ce mélange des genres était particulièrement troublant et je bandais toujours. J’avais une envie folle de jouir, de prendre Elsa, là, ici, tout de suite, debout, avec ardeur.
Elle dut le lire dans mes yeux car elle me dit :
- Tu m’as l’air bien excité dis-donc, mais rappelle-toi qui je suis!
- Oui Maîtresse, pardon Maîtresse!
- Ah c’est mieux, j’ai cru un instant que tu allais me sauter dessus, ce qui aurait sonné le glas de notre relation, ce n’est pas ce que tu veux j’imagine ?!
- Oh non Maîtresse, surtout pas, je vous appartiens.
- Ah je préfère, mais je vais te faire une fleur qui, d’ailleurs, va me plaire ! Je veux voir Monsieur Rollin se masturber dans les toilettes du lycée !
Humiliation extrême pour le soumis que je suis devenu
Evidemment, c’était très humiliant pour moi mais j’avais tellement envie de me vider que je reçus intérieurement son injonction comme un soulagement.
Et elle reprit en mélangeant le présent et le passé pour m’humilier davantage encore :
- Baissez votre pantalon et votre boxer Monsieur Rollin, regardez-moi dans les yeux et astiquez-vous la queue comme un vieux pervers!
Mon sexe me faisait mal d’excitation retenue, je ne mettrais pas longtemps à jouir. Mais Maîtresse Elsa était déchainée, elle souleva son T-shirt et sa jolie poitrine apparut, sans soutien-gorge.
- Branlez-vous en matant mes seins, Monsieur Rollin ! Ils sont beaux hein, vous aimeriez bien les toucher ? Oui c’est ça, matez-les bien, secouez votre vieille queue comme un furieux et faites jaillir votre foutre !
A peine avait-elle prononcé ces mots volontairement vulgaires que j’éjaculais puissamment en me tournant sur le côté pour ne pas jouir sur ma Maîtresse dominatrice.
- Et bien te voilà soulagé ! J’espère que tout ça t’a remis les idées en place, tu t’étais habitué à être mon soumis, mais je veux que tu gardes en toi cette humiliation d’avoir été un prof émérite et d’être devenu un serviteur rampant, un objet sexuel pour hommes et femmes, un pot de chambre, et plus encore…
« Oui Maîtresse », dis-je, abattu et honteux.
Nous quittâmes les lieux et Maîtresse Elsa me rappela notre rendez-vous du samedi.
- A samedi 16h, et sois en forme, tu en auras bien besoin!
Encore une formule destinée à m’angoisser…
A suivre