Depuis la cuisine, O… entendait sa Maîtresse dominatrice, et son invitée Vanessa, discuter de façon enjouée et rire ensemble. Sans doute le champagne contribuait-il à leur bonne humeur. Il entendit les verres tinter à nouveau puis le silence se faire. Peut-être s’embrassaient-elles à nouveau ?
Cette idée provoqua chez lui un début d’érection, son membre emplit sa cage. Son inconscient commençait à admettre la place qui était la sienne.
Obligé de servir sa Maîtresse dominatrice et son invitée
Après une vingtaine de minutes, il entendit la voix de sa Maitresse dominatrice lui ordonner depuis le salon :
- zuma, nous allons passer à table, tu peux apporter le plateau de fruits de mer.
Sans attendre, il se saisit du lourd plateau, rempli de crustacés et de coquillages. Des huitres, praires, langoustines, oursins et crevettes étaient disposés sur un lit de glace pilée qui les maintenait à température idéale. Il déposa le plateau sur la table de la salle à manger au moment même où S… et Vanessa s’asseyaient côte à côte, faisant face au salon. L’invitée de sa Femme s’exclama :
- Oh, ma chérie, quel plateau, tu ne pouvais pas me faire plus plaisir !
- Tu sais, j’adore ça moi aussi, et je suis très heureuse que cela te plaise. Accompagnée d’un bon vin blanc, il n’existe rien de meilleur au monde ! zuma, qu’as-tu prévu comme vin ?
- J’ai ouvert une bouteille de Chablis Grand Cru Bouzereau 2009, Madame.
- Mmm… celui de notre mariage, tout un symbole ! C’est parfait, tu peux nous le servir à présent.
O… tourna les talons pour aller chercher dans la cave à vin la bouteille qu’il avait ouverte un peu plus tôt. Pour la première fois, Vanessa put le voir de dos, ses fesses impudiquement exposées par le tablier qui ne les couvrait que très partiellement.
Esclave modelé peu à peu par son épouse dominatrice
Il ne l’entendit pas dire à son Épouse :
- Dis-moi, il a un beau petit cul, ton esclave ! Tu pourrais lui demander de retirer son tablier ? J’aimerais voir comment il est foutu.
- Tu n’as qu’à le lui demander toi-même, répondit S…, espiègle.
- Ça je ne vais pas me gêner ! Mais au fait, tu l’appelles Zouma, ce n’est pas son prénom, si ?
- Non, fit S… en riant, son prénom est O… pour l’état-civil. Mais son vrai nom est le nom d’esclave que je lui ai donné. Je précise : zuma, avec un z minuscule et un u. En tant qu’esclave, ce n’est plus un homme à part entière, ce n’est pas non plus vraiment un chien, il est plus proche d’un objet doué de vie. Bref, c’est un esclave, que je modèle peu à peu selon ma volonté. Mais je te rassure, même si cela peut te paraître contradictoire, c’est aussi mon mari, l’homme que j’aime et avec lequel je souhaite continuer à partager ma vie.
- Non, je comprends parfaitement, et je suis sincèrement admirative de ce que tu en as fait et de votre amour réciproque, fit Vanessa en posant sa main sur celle de son hôtesse.
A ce moment précis, O… revint avec la bouteille et la présenta à S… qui hocha la tête en guise d’approbation.
- Souhaitez-Vous le goûter, Madame ?
- Non, tu vas faire goûter notre invitée, qui adore le vin blanc et pourra me dire ce qu’elle en pense.
Prié de se mettre nu et à genoux devant Vanessa
Il fit le tour de la table et s’adressa à Vanessa :
- Madame, puis-je avoir Votre verre ?
- Garde le « Madame » pour ta Maitresse dominatrice, fit-elle sèchement, vous êtes mariés après tout, moi je ne le suis pas. Appelle-moi Mademoiselle, je te prie.
- Bien Mademoiselle.
Il fit couler quelques gouttes de Chablis dans le verre que Vanessa lui tendait. En connaisseuse, tenant le verre par le pied, elle y fit tournoyer le nectar puis porta le bord du verre à son nez délicat tandis qu’O… lui présentait la bouteille. le huma en fermant les yeux et ne put s’empêcher de sourire. Elle le goutta enfin, le gardant en bouche quelques instants pour finalement l’avaler.
- Il est parfait, tendu à souhait comme je les aime, remarquable pour un millésime de presque 15 ans. C’est vraiment un vin exceptionnel, merci ma chérie !
Ce disant, elle se pencha vers S… pour poser un baiser délicat sur ses lèvres.
- Je t’en prie, plaisir partagé, crois-moi. Tu peux nous servir, zuma, et mets donc la bouteille sur la table dans le seau à champagne, tu sais que je préfère le vin blanc très frais.
Il s’exécuta, servit les deux femmes et alla chercher le seau à champagne resté sur la table basse du salon et dans lequel la bouteille vide avait été retournée. Esnuite, il y plaça la bouteille de Chablis. Il allait retourner vers le salon pour y débarrasser les restes de l’apéritif quand Vanessa s’adressa à lui d’une voix ferme :
- zuma, je souhaite te voir nu. Ôte ton tablier je te prie et mets-toi à genoux face à moi.
Ordre confirmé par sa Maîtresse dominatrice
Surpris par cette demande, ne sachant que faire, il interrogea sa Maitresse dominatrice du regard, qui lui dit d’une voix cassante :
- Esclave, fais ce qu’on te dit. Désormais, tu obéiras à Vanessa comme tu m’obéis. C’est compris ?
- Oui Madame, répondit O…, d’une voix blanche.
Il ne s’était pas attendu à ça, et son cœur battait la chamade. En même temps, la simple idée de se montrer totalement nu devant cette superbe inconnue le fit frissonner, et son sexe une fois encore commença à enfler légèrement. Il dénoua son tablier et l’ôta complètement, le posa sur le dossier d’une chaise puis, sans aucune pudeur.
Ensuite, il se plaça face à Vanessa, à genoux, les mains dans le dos, écartant les cuisses et se cambrant au maximum pour offrir à la jeune femme une vue parfaite sur toute son anatomie. La jeune femme ne put cacher sa surprise et, saisissant à nouveau la main de S…, elle s’exclama :
- Wow ! Tu lui fais porter une cage de chasteté ! Je savais que ça existait mais je n’en avais encore jamais vu ! Cette fois tu ne me scotches plus, tu me sidères littéralement, je n’aurais jamais imaginé ça d’un couple a priori si BCBG. Je suis décidément très admirative, en fait, et j’aimerais beaucoup que tu m’en dises plus sur votre relation et comment vous en êtes arrivés là, si tu veux bien.
- Bien sur ma chérie, je vais tout te dire. C’est la première fois que je parle de ça à quelqu’un et je serai ravie de le faire avec toi. On attaque le diner et je te raconte ?
- Avec plaisir!
Début du récit de cette nouvelle relation!
Ce disant, sans plus prêter la moindre attention à l’esclave resté servilement à genoux face à elles, tête baissée, les deux amies commencèrent à piocher dans le généreux plateau de fruits de mer avec appétit et enthousiasme.
S…, raconta par le menu à son amie comment, à la demande de son mari, alors qu’elle n’était jusque-là pas du tout versée dans ce genre de pratiques, elle en avait fait son esclave. Cette magnifique dominatrice ne négligea aucun détail concernant la réalité quotidienne de cet esclavage, la domesticité d’O…, sa nudité aussi permanente que possible à la maison, les punitions qu’elle lui infligeait, leurs pratiques sexuelles, le cocufiage de son mari, ses orgasmes si nombreux à elle et sa chasteté presque totale le concernant.
(A suivre…)