Départ du restaurant
Après avoir avalé son café d’une traite, d’un coup, elle se leva et me dit :
-Charles, il se fait tard. Demain nous devons être au top pour cette réunion. Il est temps d’aller se coucher.
Je Ia suivis donc et nous montâmes vers nos chambres. Je n’osais pas me rapprocher d’elle, tenant une certaine distance pour ne pas laisser percevoir mes envies. Nous arrivâmes à hauteur de sa chambre. Par un heureux hasard, nos chambres étaient sur le même étage. La mienne était un peu plus loin que la sienne. Elle s’arrêta devant Ia porte, introduit son badge, ouvrit la porte…
Je restai là derrière elle, distant en espérant profondément qu’elle m’invitât dans sa chambre. Elle entra dans sa chambre, se retourna et me toisa.
-Vous attendez quelque chose, Charles !
Je fus pris de court et ne sus que dire ! J’étais bouche bée.
C’est elle qui revint vers moi et soudainement me pris le bras avec fermeté, me projeta dans sa chambre, claqua la porte et me colla contre le mur. A la vitesse d’un éclair, sa main saisit mes couilles et les serra avec force. La douleur arriva sans attendre. Je me mordis les lèvres.
-Alors, Charles. tu veux que je te suce, tu veux me baiser, tu veux t’envoyer en l’air, c’est ça, petit cochon !
J’acquiesçai de Ia tête. Si j’avais ouvert la bouche, un cri de douleur en serait sorti tant elle me tenait avec fermeté.
Catherine prend le contrôle !
-Et bien, Charles, ce sera le contraire ! Je vois en toi une belle petite salope, une chienne, une soubrette. C’est moi qui vais te baiser et exiger tout ce que je veux à ma guise.
Je ne comprenais pas ce qu’elle me disait. Elle parlait de moi au féminin. Elle serra encore un peu plus fort et avec l’autre main, elle me prit les cheveux et tira dessus d’un coup sec.
-Tu es d’accord, petite salope !
Il y avait quelque chose qui me plaisait dans cette situation. En un instant, je découvris un certain plaisir dans ma douleur. Je compris que j’avais un certain goût pour ce qui semblait être le BDSM. Sans trop réfléchir, je répondis donc :
-Oui, Catherine !
La gifle ne se flt pas attendre.
-Tu ne me tutoies pas, chienne ! Tu réponds : oui, Maitresse !
Je répétai donc instinctivement: « oui, Maitresse ».
Elle me relâcha les cheveux et mes bijoux de famille. Je n’osais plus bouger. Je Ia regardais à la fois avec envie et crainte.
Elle me fixa et m’ordonna :
-Mets toi accroupi devant moi et ne bouge plus !
Je m’exécutai sur le champ. Malgré Ia pénombre dans la chambre, je pouvais distinguer qu’elle se dirigeait vers un de ses sacs et l’ouvrit. Elle en sortit une robe, un string, des cuissardes à talon haut, des bas nylons, une paire de mitaines. Tout était en vinyle noir.
Elle me toisa.
-Déshabilles-toi ! A poil, salope !
A la merci de Maîtresse Catherine !
Son plan était clair. Elle allait se changer, s’habiller en superbe veuve noire et me faire un plan sexe d’enfer ! Excité par cette perspective, je mis peu de temps pour me trouver en tenue d’Adam. De son côté, elle m’observait sans mot. Pourquoi ne s’était-elle pas changée? Une fois nu, je restai debout. Sans comprendre, je me pris une superbe fessée.
-Je t’ai dit accroupi, catin !
Curieux de voir la suite, je me remis dans la position exigée par Maitresse Catherine.
Elle regarda mes attributs et nota une petite particularité. J’étais totalement épilé ! En fait, c’était une décision que j’avais pris quelques années auparavant. En effet, je m’étais rendu compte que j’avais une sainte horreur pour cet élément anatomique masculin. Cette décision n’était pas vraiment liée à un fantasme quelconque mais plutôt à une obsession d’hygiène absolue. N’étant pas très poilu, donc, en quelques séances passées dans un centre d’épilation totale, j’avais éliminé Ie moindre crin au niveau du torse, des aisselles et au dessous de la ceinture. Sur le coup, je notai dans les yeux de ma Maitresse une claire satisfaction quant à mes choix esthétiques. Elle en profita d’ailleurs pour caresser Ia peau très douce de mon torse.
Transformé en femme très sexy !
Elle tourna autour de moi, remontant les effleurements de sa main sur mes cheveux et mon visage.
-Ecoutes-moi bien, tu vas enfiler ces fringues de pute maintenant !
Je fus pris d’un moment de panique. Moi, son chef, enfiler ces fringues de nanas. Je ne pouvais pas. J’eus à peine le temps d’y réfléchir qu’elle tirait à nouveau sur mes cheveux.
-Tu m’obéis, caroline oui ou non ?
Affublé d’un nouveau petit nom, je ne mis pas longtemps à tergiverser. Pourquoi ne pas essayer ? Je me suis toujours demandé quel effet cela avait sur une femme de porter ce genre de fringue ? Se sentait-elle plus désirable, plus excitée ? J’étais seule avec Catherine dans une chambre d’hôtel à 400 kilomètres de chez moi. Qu’est ce que je risquais ? Rien ! Et puis cette aventure m’intrigait et m’intéressait beaucoup. Je découvrais de nouveaux fantasmes.
-Oui, Maitresse !
Je me Ievai et commençai donc à m’habiller. D’abord, le string, ensuite les bas nylons, ensuite Ia robe, les cuissardes et enfln les mitaines. Je trouvais une certaine excitation à me vêtir en soubrette. Mes mouvements étaient lents. Je laissais crisser les bas doucement sur mes jambes. Chose incroyable, tout était à ma taille. Maitresse Catherine m’observait et se délectait du spectacle. Apparemment, mes gestes lui convenaient, mon excitation aussi d’ailleurs. Sentir le vinyle effleurer ma peau, me frôler les jambes enveloppées de superbes bas nylons, me faire caresser par la lanière tendue du suing sur mon anus, apprécier l’air frais glisser en dessous de ma robe, m‘équilibrer sur des talons hauts de 10 centimètres pour avoir une démarche élégante, je découvrais tous ces plaisirs féminins très malicieux et finalement très agréables.
Menotté et attaché au lit !
Alors que je me laissais aller dans mes plaisirs de féminisation, Catherine sortit du sac une paire de menottes et un bâillon de boule noir. Cela devenait un peu plus inquiétant. Elle me prit par le bras et me remit accroupie.
-Je ne te fais pas confiance, petite cochonne. Je vais te menotter et t‘attacher au lit. Ainsi tu ne pourras pas t’enfuir. De plus, je vais te bâillonner, tu ne pourras pas crier !
Ce qui était un petit jeu devenait un peu plus sérieux. Tout en me fixant du regard, elle me prit Ies poignets et referma les menottes, la chaine passant par les barreaux du lit. Ensuite, elle se mit derrière moi, plaça le bâillon dans ma bouche et serra Ia sangle. Me voilà pris au piège comme une pauvre esclave. Je pris soudain conscience de ce que j’avais laissé faire. C’était trop tard ! Seul, mes yeux reflétaient mon anxiété. Dans son regard, je voyais que cela lui plaisait beaucoup.
-Saches que je vais me préparer maintenant. Je reviens dans un petit moment.
Maîtresse Catherine, en tenue de cat-woman, en latex !
Elle prit son sac de voyage et s‘enferma dans la salle de bain. J’étais seul dans le noir, attaché(e) , bâillonné(e) et menotté(e) au pied d’un lit d’hotel, au milieu de la nuit. Jusqu’à présent, à part quelques douleurs vite oubliées, tout ce que j’avais accepté et fait pour Catherine m’avait finalement plu. Décidément, je n’imaginais pas autant de plaisir dans le BDSM. J’avais bien parfois fantasmé sur une image ou une autre en naviguant sur internet. Regarder de Ia lingerie, du vinyle ou un couple faisant usage de « sex toys » et encore d’autres accessoires dans leurs jeux lubriques ne me laissait jamais indifférent dans mes plaisirs solitaires. Mais franchement,]e n’aurais jamais imaginé que je me sentirais aussi bien en petite salope à attendre sa première Maitresse.
La porte de la salle de bain s’ouvrit, Ma Maitresse était! là. Elle était splendide, vêtue d’une tenue de cat-woman en vinyle, un masque de carnaval vénitien noir sur les yeux, des hauts talons, de superbes gants noirs remontant au dessus des coudes. Sa combinaison était ouverte à l’entre jambe et au niveau des seins. Je notai immédiatemem qu‘elle était comme moi totalement épilée. Elle tenait de la main droite une cravache ornée de brillants sur la poignée et de l’autre un trousse de toilette noire.
Ensuite, elle s’approcha de moi et du bout de sa cravache me leva le menton. Elle approcha sa bouche de mon oreilie et me susurra doucement :
-Tu n’es pas encore totalement prête. Je vais te maquiller et t’orner de bijoux.
Pose d’un cock ring !
Ne disant rien, elle s’assit sur le bord du lit et ouvrit Ia trousse de toilette. Elle en sortit un rouge à lèvre sombre, un mascara et une boite d’ombres à paupières. Je me laissai faire et fermai les yeux. Elie commença par mes paupières, ensuite mes cils et enfin mes lèvres. Sentir glisser ce rouge était vraiment délicieux. Ensuite, elle sortit une paire de boucle d’oreilles, un anneau métallique muni d‘un fermoir et, enfin, également en métal poli, une sorte d’œuf prolongé d’une tige finie par un bouton orné d’un large brillant. Elle me posa les boucles d’oreilles. Elles étaient longues, assez larges et pendantes remplie de petits brillants. Elle me fixa et sourit. Ensuite, elle détacha mes menottes et elle me prit le bras pour me signifier de me lever.
Mon sexe était à hauteur de son visage. Elle prit l’anneau et ouvrit le fermoir avec une petite clé. Elle entreprit de refermer l’anneau autour de mes couilles. L’unique fait de sentir glisser l‘objet eut naturellement un effet sur ma verge. A peine l‘anneau refermé, elle serra à nouveau mes parties intimes.
-Je ne t’ai pas permis de bander, sale chienne !
L’effet fut immédiat et je revins dans la seconde à un état très passif. Je venais de découvrir l’usage d’un cockring. Enfin, elle saisit l’œuf par la tige et commença à le lécher. Elle me retourna. C’était maintenant mon arrière train qui lui faisait face. Je sentis soudain ce métal froid caresser mon anus.
-Penche toi, écarte les jambes !
Le rosebud !
Je m’exécutai avec un peu d’hésitation. Elle n’allait quand même pas m‘enfoncer cet objet dans le cul. Mais je ne pouvais rien dire. J’étais bàillonné. Aussi, je devais me iaisser faire. Avec douceur, elle entreprit des petites rotations autour de mon anus et petit à petit, par poussées légères, elle élargissait mon petit trou. Cela prit quelques minutes. Finalement bien ouverte, elle m’inséra ce qui était en fait un rosebud. Me voilà dorénavant déflorée ! En me redressant, je me rendis compte que le glissement du métal dans mon anus était très agréable. Mais où allais-je m’arrêter ? Ou plutôt où allait-elle s‘arrêter ?
Elle me retourna de nouveau et me demanda de reculer de deux pas. Elle me contempla.
-Tu es belle, maintenant. Tu me plais. Ainsi, tu mérites ce soir que je te fasse subir cinq épreuves. Si tu les réussis, je t’autoriserai à devenir une de mes soubrettes attitrées. Autrement, je t’abandonnerai à ton triste sort.
C’est d’un clignement des yeux que j’acceptai sa proposition qui ressemblait un peu aux corniches du purgatoire imaginées par Dante dans son œuvre « La Divine Comédie ». A une petite différence près, c’est que la réussite des épreuves allait m’emmener dans les tréfonds de mes fantasmes ignorés. Est-ce cela le paradis ?
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Magnifique histoire , a quand la suite svp
Très belle histoire, vivement la suite.
Intéressant..
J’aimerais bien savoir où acheter ce type de cockring..
Super récit très excitant et bien écrit, merci !!!
Vivement la suite
wouha….je vis attendre la suite