Je crois que la chose dont je me souviendrais le plus vivement, c’est la sensation de ses cuisses contre les miennes, la sensation de ses mains sur mon dos et mon cul alors que cette Maîtresse dominatrice commençait lentement à me baiser. Je ressentis un sentiment de confiance à ce moment-là.
A quatre pattes, offert à cette Maîtresse dominatrice!
Ainsi, j’étais à quatre pattes, exposé au monde, et baisé par une Déesse.
- Touche-toi mais lentement cependant. Je veux que tu jouisses en utilisant le gros jouet.
Alors qu’elle accélérait le rythme, je me penchai et caressai ma bite. Le pré cum coulait déjà de moi pendant que je me caressais. J’essayai de suivre son rythme mais je dûs arrêter. En effet, je ne devais pas venir encore. Elle me donna une tape espiègle sur le cul et se retira lentement. Je savourai la sensation alors qu’elle se retirait.
Elle sortit le gode qu’elle avait voulu utiliser initialement. Ses yeux – et les miens – s’écarquillèrent à mesure que nous le comparions à celui que je venais d’avoir en moi. La différence était stupéfiante. Je le comparai à ma propre bite. La taille était presque identique.
- Prêt? Ok, je veux t’entendre dire ce que tu veux!
- Je veux que vous me baisiez et que vous enfonciez chaque centimètre de cette grosse bite en moi, s’il vous plaît. Enfin, je veux que vous preniez ma cerise anale.
Elle me regarda et me dit :
- Ainsi, mon nouvel animal de compagnie apprécie ma bite, n’est-ce pas ? Rien ne m’excite plus que de déflorer un soumis. Mais baiser un soumis qui aime ça autant que moi, me fait vraiment couler le jus. Je me mouille déjà.
Je devais lutter pour ne pas jouir, mais je savais que si j’attendais, cela en vaudrait la peine.
- Lève-toi!
Très excité et de plus en plus, impatient!
Elle sourit puis elle m’obligea à me retourner et à placer mes mains sur le mur derrière moi. Mes deux paumes étaient pressées contre le mur à peu près à la hauteur des épaules. J’écartai instinctivement mes jambes pour lui présenter la fissure de mon cul.
- Mon Dieu, mon garçon, dit-elle en me frottant doucement les joues du cul.
Ensuite, sans prévenir, elle donna une fessée aux deux joues du cul jusqu’à ce qu’elles soient d’un rouge clair.
- C’est juste un rappel de qui est en charge! Compris?
- Oui, Maîtresse.
J’étais tellement excité que j’avais à peine senti la fessée.
- Écarte tes joues pour moi!
J’appuyai mon front contre le mur tandis que mes mains se tendaient pour lui présenter mon petit trou serré. Elle versa une cuillerée de lubrifiant sur mon trou. Ensuite, elle utilisa un doigt pour le répandre. Un gémissement d’extase s’échappa de mes lèvres.
Je gémis encore plus fort quand l’un de ses doigts s’enfonça en moi puis l’autre, peu de temps après. Elle préparait et étirait mon trou. Finalement, elle retira brusquement ses doigts, mais je restai en position. Elle mit plus de lubrifiant sur le gode puis elle le frotta de haut en bas sur toute la longueur, en appréciant également la circonférence de celui-ci.
- Je vais mettre ma grosse bite épaisse dans ton trou.
- Merci, Maîtresse.
Je n’avais jamais été aussi excité. J’avais hâte d’engloutir cette bite même si elle était si grosse.
- Tu es un si bon garçon.
Début de la pénétration…
Elle éloigna mes mains de mes joues de cul et je pressai, consciencieusement mes mains, paumes vers l’extérieur, contre le mur, une fois de plus.
Lentement, très lentement, elle commença à appuyer sur l’énorme gode pour le rentrer dans mon cul. Très rapidement, je m’aperçus que cet énorme gode était presque, entièrement, en moi. La sensation était tellement bonne que je voulais le reste rapidement. Elle me frotta le dos et me caressa les côtés jusqu’à ce qu’elle sente mes muscles commencer à se détendre. Elle passa un doigt le long de ma bite dure comme un roc et put sentir les gouttes de précum sur la pointe.
- Tu es belle avec ma bite enfouie dans ton cul!
- Merci, Maîtresse!
J’aimais tellement ça que j’en voulais plus.
Elle attrapa mes deux hanches avec ses mains et enfonça le dernier centimètre jusqu’à ce que ses cuisses claquent contre mon cul et que je gémisse de douleur et de plaisir en même temps. Cette Maîtresse dominatrice commença à me baiser sérieusement. En entendant, le bruit de mon cul claquer contre ses cuisses à chacune de ses poussées, elle commença à mouiller.
Ensuite, elle s’enfonça de plus en plus profondément jusqu’à ce que je puisse sentir son étui de cuir frôler mon cul nu. C’était tellement bon.
Je gémis bruyamment puis je commençai à pousser mon cul vers elle, prenant sa bite profondément en moi. Elle se retira puis elle ajouta plus de lubrifiant. Ma bite était si dure que j’allais sûrement jouir. Elle glissa de nouveau sa bite en moi et ce sans effort. Elle commença à me broyer le cul avec son étui en cuir frottant contre mon cul. C’était de loin la plus grande excitation sexuelle que j’ai jamais connue.
La plus grande excitation sexuelle que j’ai jamais connue!
Finalement, elle commença à ralentir! Aussi, je la suppliai de continuer.
A ce moment précis, je sus que je ferais n’importe quoi pour lui plaire, pour la rendre heureuse. Je voulais appartenir à cette Maîtresse dominatrice et à elle seule. En effet, je n’avais jamais été séduit aussi complètement.
Je gémis de nouveau puis je la remerciai alors qu’elle enfonçait sa bite aussi loin qu’elle pouvait, frappant ma prostate. Elle me baisa brutalement contre le mur. Elle sentait que je voulais jouir. Ainsi, elle se mit à me baise de plus en plus vite. Je gémis de plaisir puis je sentis de la jouissance comme je n’en avais jamais ressenti auparavant.
Ainsi, je la voulais maintenant plus que jamais et j’étais, complètement, sous son contrôle. Je ne voulais rien de plus que de lui faire plaisir sans fin. Elle était presque prête à jouir. Cependant, elle tint bon car elle voulait rendre cette première fois mémorable pour son animal de compagnie. Je ne sais pas si mémorable est assez fort pour décrire ce que je ressentais à ce moment là!
Elle se pencha en avant sur mon dos et me murmura à l’oreille.
- Je veux que tu te caresses jusqu’à ce que tu jouisses!
J’étais dur comme un roc! Je saisis ma bite et commençai à me caresser. Il ne fallut pas longtemps avant que j’explose! Mon sperme se répandit sur le mur. Je ne pouvais pas croire que j’avais autant de sperme en moi.
Elle me pilonna puis elle explosa fort, dans la foulée de mon orgasme. Ensuite, elle frissonna alors que la vague de plaisir du corps entier se répandit en elle. Elle me gifla légèrement sur une joue de cul.
Désormais, propriété de cette Maîtresse dominatrice
Enfin, elle retira son gode et recula du mur presque en transe. Je me retournai juste au moment où elle enleva son étui. Debout là, elle ressemblait à Aphrodite, la belle Déesse grecque de l’amour et de la fertilité. On dit qu’aucun homme ne pouvait résister à Aphrodite quand elle portait sa ceinture magique. Je crois que c’est vrai car je n’avais pas pu résister à cette Maîtresse dominatrice.
Je ne pouvais pas me contrôler, je me suis mis à genoux et j’ai rampé vers elle. Quand je suis arrivé vers elle, elle a ouvert les yeux et a souri en me regardant.
- Tu as été un très bon soumis. Te « baiser » était encore mieux que je ne l’imaginais. Pour ta récompense, tu peux adorer mon corps. Ainsi, tu peux commencer par lécher le sperme qui est sur mon gode et dans ma chatte.
Je ne pouvais pas attendre. Ma bite redevint dure et le pre cum commença à couler. Quand je commençai à lécher sa chatte, elle écarta largement les jambes et gémit d’approbation. Son doux arôme me donna envie d’enfouir mon visage en elle. Je me frayai un chemin jusqu’à son vagin. Ensuite, je léchai et lapai en utilisant toute ma langue, de haut en bas, d’un côté à l’autre.
Elle commença à gémir doucement,
- Suce mon clito!, dit-elle.
Je glissai ma langue et je commençai à lécher son clito. Alors que son clitoris devenait plus dur, je l’engloutis dans ma bouche et la suçai jusqu’à ce qu’elle gémisse de plaisir.
Elle se retourna et m’ordonna d’adorer son cul. Bien sûr, j’obéis. Alors que j’embrassais et léchais son cul sexy serré, elle commença à me caresser la bite jusqu’à ce que je sois sur le point de jouir. Ensuite, elle s’arrêta jusqu’à ce que la sensation cesse de me ramener d’avant en arrière, à l’éjaculation. J’étais tellement excité que je glissai ma langue aussi loin que je pouvais remonter son trou du cul, léchant les côtés puis encerclant ma langue bordant son trou du cul.
- Génial, je suis contente de toi. Va te nettoyer! Nous allons sortir pour acheter ton collier. En effet, à partir de maintenant, tu es ma propriété.
super recit