Ma femme évoquait souvent une collègue à son travail qui avait un caractère bien trempé. Elle me disait souvent que Sophie faisait ce qu’elle voulait de son mari et qu’elle avait des amants. Moi qui fantasmait depuis toujours d’appartenir à une femme dominatrice, je ne parvenais pas à dissimuler mon érection ce jour-là :
- Oh mais on dirait que ça t’excite ce que je te raconte sur ma copine !?
J’étais terriblement gêné, je ne savais pas quoi répondre.
- Tu penses vraiment que je ne sais pas que mon mari est une « lopette » soumise qui essaye mes sous-vêtements quand je ne suis pas là !?
Je baissais la tête, rouge de honte.
- J’ai caché une petite caméra le week-end dernier. Je sais tout ce que tu fais lorsque tu es seul à la maison.
Je me sentais pris au piège.
- J’ai envie d’envoyer le passage où tu te pénètres avec un gode à mes copines, ça ne te dérange pas ?
- Pitié ne fait pas ça, je t’en supplie !
Prise de pouvoir de ma femme qui devient ma Maîtresse dominatrice!
Son sourire s’est effacé et elle a pris un ton autoritaire.
- À genoux!
Cet ordre m’a surpris mais j’ai tout de suite obéi car elle me faisait peur en me regardant avec froideur.
- À partir de maintenant, je veux que tu m’obéisses au doigt et à l’oeil, je vais commencer ton dressage et chaque manquement sera sévèrement sanctionné !
Son regard s’est soudain fixé sur la bosse au niveau de ma braguette.
- Je suis contente de voir l’enthousiasme de ta petite bite mais je veux que tu me demandes de m’occuper de ton dressage de vive voix, je vais filmer ça ! Déshabille toi immédiatement !
Je me suis dépêché de me déshabiller et je me suis remis à genoux, mon sexe était tendu. Elle était en train de me filmer avec son téléphone.
- Je veux que tu m’appelle Maîtresse désormais !
- Oui Maîtresse.
Je baissai la tête, vaincu.
- Fais moi une belle déclaration d’amour d’un soumis pour sa Maîtresse dominatrice maintenant !
- Je ferai tout pour satisfaire toutes vos exigences et ne pas vous décevoir. Je viendrai à vos pieds dès que vous me sifflerez et vous pourrez vous faire servir comme une Reine. Je m’occuperai de toutes les tâches ménagères et je vous servirai chacune de vos envies à genoux sur un plateau. Je ferai tout ce que vous voulez Maîtresse dominatrice.
Mis en cage de chasteté pour le contrôle de mes érections!
Je pouvais apercevoir son sourire de satisfaction, caché derrière son téléphone.
- J’ai un cadeau pour toi mon petit soumis !
Elle me tendit une petite boîte que je m’empressais de saisir dans mes mains. J’ai rapidement compris que c’était une cage de chasteté en l’ouvrant, elle était très petite de surcroît.
- Je ne veux plus que tu aies d’érection sans ma permission et il est hors de question que tu te masturbes tout seul. Tu porteras cette cage en permanence désormais et tes éventuelles libérations dépendront de ton obéissance.
Elle verrouilla le cadenas et glissa négligemment les clés dans sa poche.
- Voilà une bonne chose de faite, tu vas pouvoir te concentrer sur mes plaisirs à présent ! Je viens d’envoyer la vidéo à Sophie, elle m’a demandé de la prévenir lorsque je t’aurai mis à mes pieds pour de bon.
- Pitié Maîtresse.
Elle me regarda avec un air sévère.
- Ne me dis pas que tu oserais m’empêcher de me moquer de mon mari soumis avec ma copine dominatrice quand même ?
Je baissai la tête.
- Non, Maîtresse.
- Voilà qui est réglé, je ne veux plus t’entendre pleurnicher à ce sujet, c’est compris ?
- Oui Maîtresse.
- Lorsque je te présenterai Sophie, ma collègue dominatrice, tu devras te comporter comme une bonne lopette soumise et me faire honneur.
- Oui Maîtresse.
Enoncé des nouvelles règles dans notre couple!
- Sophie n’autorise son mari à se masturber une seule fois par an uniquement, alors si tu veux obtenir d’avantage de libérations tu vas devoir faire preuve d’exemplarité et te montrer particulièrement attentionné. N’oublie pas que je n’ai aucun intérêt à te permettre de te soulager, et je sais que plus tu seras frustré plus tu seras dévoué. Comme je suis gentille, je vais te faire dormir au pied du lit sur un coussin pour chien de grande taille mais si tu n’es pas sage je te ferai dormir dans une cage. Dorénavant, tu mangeras dans une gamelle à mes pieds comme une bonne chienne soumise. Tu n’as plus le droit de porter des sous-vêtements masculins, uniquement des petites culottes, des strings, des bas et des soutien-gorges. Je vais te faire porter des gros plugs et des pinces sur les seins fréquemment afin que tu sois conscient que tu m’appartiens totalement.
- Lorsque tu seras en cage de chasteté depuis plusieurs mois et que tu seras prêt à tout pour espérer avoir une chance de me faire l’amour, je vais bien m’amuser. Je suis impatiente de te voir les couilles pleines, me supplier à genoux; je te ferai culpabiliser de ne pas vouloir rester chaste plus longtemps et tu réclameras toi-même un mois d’abstinence supplémentaire. Je vais te manipuler et te faire du chantage, tu vas découvrir à quel point je suis joueuse et imaginative. Est-ce que tu me promets d’être un jouet distrayant et obéissant ma petite salope ?
- Oui Maîtresse je vous le promets.
Ordre de faire le ménage
Elle me caressa la tête.
- Bon toutou ! Je t’autorise à te relever pour faire ton ménage, tu finiras à quatre pattes pour nettoyer le sol avec un chiffon. Va mettre ton plus gros plug et tes pinces sur les seins ma petite femme de ménage !
- Oui Maîtresse.
- Si tu es méritante, je te présenterai mon amant et tu pourras le remercier de satisfaire ta femme à ta place, n’est-ce pas salope ?
- Oui Maîtresse, merci Maîtresse.
J’étais abasourdi par cet aveu de « cocufiage » mais je ne pouvais rien dire.
- S’il est d’accord, tu pourras peut-être nous regarder faire l’amour et me nettoyer ensuite, ça te ferait plaisir salope ?
- Oui Maîtresse.
Je baissais la tête face à son sourire moqueur mais mon sexe me trahissait en tentant désespérément de forcer les barreaux de ma cage de chasteté.
- Maintenant, Conchita, au travail !
- Oui Maîtresse.
Invitation à, Sophie, sa collègue dominatrice, à venir nous rejoindre
Elle s’absenta quelques minutes puis elle revenait en lingerie fine s’installer sur le canapé afin de regarder la télévision. J’étais terriblement excité en la voyant tout faire pour m’aguicher ainsi. Entre la cage de chasteté, le fait d’être entièrement nu, les pinces sur les seins et mon gros plug, je me sentais tellement soumis. En fait, je prenais goût à ma nouvelle condition de mari soumis. Elle coupa le son de la télévision et elle appela sa collègue de travail Sophie pour lui raconter ma mise en esclavage.
- Tu avais raison, mon mari est une vraie lopette ! Si tu pouvais voir cette salope en boniche en train de faire son ménage, avec sa ridicule petite nouille encagée… Mais j’y pense, pourquoi tu ne viendrais pas nous rendre visite avec ta lopette, je suis sûre que ça fera du bien à ma salope de voir comment tu dresses ton mari.
Elle souriait constamment, j’avais raison de pressentir une réponse favorable de la part de son amie.
- Je t’envoie l’adresse par sms, fais au plus vite. À tout à l’heure ma chérie.
- Tu as entendu lopette !? On va bien s’amuser !
- Oui Maîtresse.
- Dépêche-toi, catin!
- Oui Maîtresse.
Arrivée de Sophie et de son mari soumis
Lorsque je me suis mis à quatre pattes pour nettoyer le sol, Maîtresse me donnait des grosses claques sur les fesses afin de me faire aller plus vite. Soudain, j’entendis sonner à l’interphone. Maîtresse a appuyé sur le bouton en me regardant avec amusement.
- Je te laisse accueillir nos invités pendant que je vais enfiler une robe.
- Oui Maîtresse.
Me voilà entièrement nu en cage de chasteté, avec un plug et des pinces aux seins face à l’amie de ma femme, Maîtresse dominatrice, et son mari soumis.
- Bonjour Madame Sophie, est-ce que je peux vous débarrasser ?
- Oui esclave tu peux !
Je retirai son manteau et je saisissais délicatement son sac à main alors que Maîtresse faisait son retour dans une robe moulante de couleur noir, mettant en valeur ses formes.
- Bonjour ma belle, pourquoi ton mari n’est il pas déjà à poil ?
- Tu entends ça mon cocu, déshabille-toi immédiatement !
- Oui Maîtresse.
- J’espère que ma salope t’a accueilli comme il faut !?
- J’aurai espérer qu’il embrasse mes chaussures mais c’est trop lui demander visiblement.
- À quatre pattes « lopette », embrasse ses chaussures immédiatement !
- Oui Maîtresse.
Le mari soumis de Sophie, transformé en repose-pieds!
L’ordre était cinglant et ne laissait aucune place à l’hésitation. Maîtresse l’invita, ensuite, à s’asseoir sur le canapé. Elle m’ordonna d’aller préparer les cafés alors que le mari de Madame Sophie était nu, à genoux devant elles. Il portait une cage de chasteté encore plus petite que la mienne et ses bourses étaient gonflées de désir pour sa Maîtresse dominatrice. Je me disais que je serai dans le même état d’ici quelques semaines. Lorsque je suis revenu avec les cafés sur un plateau, il leur servait de repose-pieds à quatre pattes. Je me suis agenouillé et j’ai patienté, attendant sagement la fin de leur discussion.
- Je t’ai ramené une tenue de soubrette et quelques accessoires pour dresser ton mari, ça va t’aider à te faire obéir plus vite.
- C’est super ça, merci, j’adore tout ce que tu as ramené, cravache, martinet, paddle, menottes, j’ai envie de tout essayer !
- Fais lui rougir le cul avec la cravache, ça va lui faire du bien !
Après avoir déposé le plateau sur la table basse, j’ai dû me placer à califourchon sur le bord du canapé, offrant mon cul à ma Maîtresse dominatrice.
Ma première séance de cravache!
Les premiers coups m’ont fait tressaillir, la douleur était très intense. Je tremblais comme une feuille, ce qui amusait ces dames.
- Ton mari est une vraie chochotte, il va falloir du temps avant qu’il ne s’habitue à la douleur. Mais si tu fais rougir ses fesses un peu tous les jours, ça devrait aller plus vite. Le mien se débattait au début, j’étais obligée de lui attacher les mains dans le dos et de le maintenir contre mes cuisses pour ne pas qu’il tente de s’échapper. Maintenant, il sait que s’il bouge, je recommence depuis le début et je lui rajoute deux semaines de chasteté, c’est très dissuasif.
- Ça veut dire que je dois fixer une date précise de libération pour pouvoir la repousser à chaque faute.
- Tu n’ as qu’à choisir la date de son anniversaire.
Maîtresse souriait.
- C’est en décembre.
- C’est parfait, il ne lui reste plus que neuf mois à patienter, s’il ne commet pas d’erreurs d’ici là.
- Tu penses qu’il va tenir ?
- Pourquoi, tu comptes lui laisser le choix ?
- Bien-sûr, que non !
- Je te conseille de le vider sans le faire jouir, tu arrêtes de le masturber avant qu’il ne jouisse.
- D’accord.
- S’il se montre méritant, de temps en temps tu peux retirer la cage pour le masturber mais sans aller jusqu’au bout, ça va l’exciter et le rendre fou de désir pour toi.
- C’est une bonne idée ça, je vais adorer le frustrer et le voir me supplier de ne pas remettre la cage.
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