Préparatifs chez S., magnifique Dominatrice, avant le dîner(3)
Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il réalisa que l’invité de sa Femme Domina était en réalité une invitée ! Il était si gêné et si troublé qu’il ne remarqua pas tout de suite à quel point cette femme était séduisante et sa tenue provocante. Il s’effaça à reculons pour la laisser entrer, en marmonnant un « bienvenue, Madame » à peine intelligible.
Les présentations
Vanessa pénétra dans l’appartement, ne réalisant pas tout de suite comment O… était vêtu et pensant pendant un instant qu’il s’agissait d’un employé de maison qui l’accueillait de façon un peu gauche. Elle lui remit la bouteille de champagne glacée qu’elle avait apportée et le gratifia d’un « merci » sans même le regarder. S… arriva à ce moment précis, un sourire radieux éclairant son visage. O… recula d’instinct de quelques pas, laissant les deux femmes se faire face et s’embrasser sur les deux joues comme si elles se connaissaient depuis tout temps.
- Bienvenue Vanessa, je vois que mon mari et toi avez fait connaissance !
- Ton… mari !? Mais je… j’ai cru… balbutia la jeune femme… j’ai pensé que ton mari et toi aviez un domestique ! Mais attends, il est… à poil sous son tablier ?! Je ne l’avais pas bien vu, c’est dingue ! Je comprends mieux ce que tu m’as dit tout à l’heure, mais quand même, tu m’as scotchée, là !
S… partit d’un rire franc avant de répondre :
- Je voulais te faire la surprise, c’est pour ça que je ne t’en ai pas dit plus, mais je te raconterai tout un peu plus tard, si ça t’intéresse. Mais dis-moi, ta robe est absolument ravissante, ajouta-t-elle, se reculant un peu pour mieux admirer Vanessa qui put faire de même et contempler son hôtesse.
Un peu en retrait, ne sachant très bien quelle posture adopter, O… était fasciné par le charme qui se dégageait des deux femmes superbes qui, pour la deuxième fois de la journée, se déshabillaient du regard en souriant. Face à S… qu’il avait aidée un peu plus tôt à se couler dans son fourreau de dentelle bleue, Vanessa était vêtue d’une magnifique robe portefeuille, très courte, d’un carmin profond faisant ressortir le teint hâlé de la jeune femme.
Troublé par Vanessa et ses seins opulents!
Très ajusté, le décolleté de la robe mettait en valeur ses seins opulents et visiblement fermes qui, sans qu’il le sache, avaient déjà tant troublé sa Propriétaire et qui lui firent le même effet.
Son sexe se tendit légèrement dans sa cage, lui rappelant sa condition. La jeune femme portait des escarpins à talons-aiguilles, aussi hauts que ceux que portaient S…Ces talons accentuaient encore la longueur de ses jambes fuselées que couvraient des bas d’une soie noire si fine qu’elle était presque invisible. S… brisa ce court moment de silence :
- Vanessa, tu es adorable d’avoir apporté une bouteille, tu n’aurais pas dû ! Mais viens t’asseoir avec moi pendant que zuma va nous préparer l’apéritif.
Joignant le geste à la parole, elle prit la main de son amie. Sans un regard pour O… qui s’était dirigé vers la cuisine sur l’injonction de sa Maitresse domina, elle l’entraina vers le salon. Elles s’assirent côte à côte sur le vaste canapé de cuir fauve, témoin de bien des ébats de S… et de son mari dans un passé encore récent. S… avait installé son invitée à sa gauche.
Pendant les quelques minutes qui furent nécessaires à O… pour préparer leur apéritif, elles échangèrent brièvement, avec un entrain non feint, sur ce qu’elles avaient fait après s’être quittées le matin même. S… ne parla tout de même pas de l’orgasme puissant qui l’avait submergée en fin d’après-midi. Pendant qu’elles devisaient, les deux femmes continuèrent à s’observer et à s’admirer l’une l’autre.
Conversation sur leurs tenues respectives!
Chacune se rendit compte très rapidement que l’autre portait des bas. Cependant, la chose était encore plus évidente dans le cas de Vanessa que dans celui de S… Ainsi, le bas de la robe beaucoup plus courte de la première s’ouvrait, une fois Vanessa assise, nettement au-dessus de la limite de ses fins bas noirs. De plus, contrairement à S…, la jeune femme avait opté pour des porte-jarretelles dont les fins serpents de dentelle étaient distinctement visibles, comme s’ils voulaient s’échapper de leur abri de tissu rouge.
Troublée, alors qu’elle entendait O… qui s’affairait dans la cuisine, S… ne put se retenir de demander à son invitée :
- Tu mets toujours des porte-jarretelles ? Je n’en mets plus souvent pour ma part.
- Quand je sors le soir, oui, très souvent. Ça me permet de porter des bas beaucoup plus fins, très agréables en été, comme ce soir par exemple. C’est un peu mon péché mignon, le simple fait de les enfiler me procure une sorte de plaisir indicible et me donne des envies.
- C’est vrai que tes bas semblent incroyablement fins, ça doit être très agréable à porter, je peux toucher ?
- Bien sur, quelle question, fais-toi plaisir! répondit Vanessa avec un large sourire.
Sans un instant d’hésitation, encouragée par la réponse sans complexe de la jeune femme, S… se pencha légèrement vers elle et tendit la main gauche vers le haut de la cuisse droite de Vanessa qui s’approcha d’elle imperceptiblement pour lui faciliter la tâche.
Rapprochement très rapide entre son épouse Domina et Vanessa…
Le regard de S… plongea un instant directement dans le décolleté de la jeune femme. Elle put constater que, fidèle à ses habitudes, elle ne portait pas de soutien-gorge, laissant ses superbes seins en totale liberté. Ensuite, elle effleura le haut de la cuisse de son amie et le contact de la soie la fit frissonner. Elle remonta les doigts jusqu’à la limite du bas et de la chair nue, faisant frémir Vanessa à son tour. Enfin, elle saisit le bord du bas entre le pouce et l’index, pouvant ainsi juger de la finesse de la soie.
Vanessa, s’approchant encore un peu plus de son hôtesse, posa alors à son tour la main droite sur la cuisse de S… et la fit remonter jusqu’à atteindre la jarretière, puis sa chair nue et tiède. Ses doigts s’enhardirent, remontant plus haut, encourageant S… à faire de même.
- Mmm… Tu ne portes rien ?
- Avec toi, jamais ! Toi non plus ?
- Avec toi, jamais!
Les deux femmes se sourirent, leurs visages se rapprochèrent. Leurs lèvres s’entrouvrirent. Ensuite, leurs langues se mêlèrent, d’abord timidement, puis avec fougue, tandis que la fente de chacune s’ouvrait progressivement aux doigts aventureux de l’autre.
Cette avancée dans leur relation avait été aussi inattendue que rapide. En réalité, à peine quelques minutes s’étaient écoulées depuis que S… et son invitée s’étaient assises dans le salon. C’est à ce moment précis qu’O… revint de la cuisine. Il portait un plateau sur lequel il avait placé un seau à champagne empli de glace où trônait la bouteille apportée par l’invitée de sa Femme, deux verres et divers zakouskis.
Surpris par l’attirance de sa femme Domina pour une autre femme!
Le spectacle qui s’offrait à ses yeux lui fit l’effet d’une gifle, au point qu’il faillit laisser choir le plateau. Pour la première fois de leur vie commune, sa Femme Domina était sur le point de le tromper en sa présence, qui plus était avec une autre femme !
Le choc qu’il avait éprouvé un peu plus tôt lorsque sa Femme lui avait annoncé que la vraie nature de leur relation allait être dévoilée à une personne inconnue lui revint en pleine face, tel un boomerang. En effet, il avait appelé ce moment de ses vœux. Ainsi, il s’en était abondamment ouvert à Elle, notamment après que, sur sa propre demande, Elle eût accepté de le faire cocu!
Il l’avait en effet longtemps suppliée de le tromper. En effet, le cocufiage était pour lui une conséquence naturelle de ce qu’il était devenu, l’esclave de sa Femme domina dans tous les aspects de la vie. Cela restait totalement secret aux yeux des autres et parfois discret même lorsqu’ils étaient seuls. Leur relation et leurs positions respectives étaient clairement et définitivement établies, sur le plan sexuel, en particulier,
Elle l’avait contraint à une chasteté quasi absolue avec le port de la cage de chasteté métallique dont elle conservait en permanence la clé sur Elle. Ainsi, elle ne l’autorisait à sortir que lorsqu’elle souhaitait utiliser sa queue toujours vaillante comme un gode vivant tout en se masturbant et en imaginant des scènes et des fantasmes où il n’avait généralement pas sa place ; la plupart du temps, après avoir joui,
Elle exigeait qu’il sorte d’elle immédiatement, sans avoir éjaculé, attendant seulement qu’il débande pour le réencager aussitôt!
Conscient de l’existence d’un amant!
Il imaginait bien que ce type de relations sexuelles, réduites à leur portion congrue, devaient être très insuffisantes pour son Épouse domina dont il connaissait l’appétit en la matière. Aussi, il lui semblait naturel qu’elle souhaite satisfaire cet appétit avec d’autres que lui.
Presque à son corps défendant, mais avec un intense satisfaction rétrospective, elle avait finalement consenti à reprendre contact avec un partenaire d’une vie précédente. Elle savait qu’il était toujours fou d’elle et de son corps.
Les choses n’avaient pas traîné. Depuis quelques mois, son épouse domina et son amant se voyaient très régulièrement pour des déjeuners, des dîners et des nuits. Ainsi, ils profitaient de toutes les occasions pour faire l’amour et jouir ensemble de toutes les façons possibles. Bien qu’il fût lui-même l’instigateur de son propre cocufiage, il lui arrivait d’éprouver une forme de jalousie vis-à-vis de cet amant à qui tout était permis! et notamment ce qui était, à lui, quasi totalement et définitivement interdit!
Par exemple, le cunnilingus qu’il avait eu le droit de prodiguer à sa Maîtresse un peu plus tôt dans la soirée faisait, d’ordinaire, partie de ces interdits. Cependant, il ne pouvait bien sûr qu’accepter cette situation née de ses propres désirs.
En outre, l’idée même que sa Femme prenne du plaisir avec d’autres, et en donne à d’autres alors que cela lui ne lui était plus autorisé, allait dans la droite ligne du besoin d’humiliation extrême qui était dans sa nature profonde. Tout cela était donc intimement ancré en lui.
Pourtant ce nouveau passage à l’acte qui était en train de se produire sous ses yeux lui fit l’effet d’une brûlure violente, le touchant au cœur et le blessant à l’âme, comme l’avait fait, il y avait des mois de cela, son tout premier cocufiage!
A genoux devant son épouse Domina et sa belle invitée
Contre toute attente, son sexe rétrécit dans sa cage.
Se ressaisissant, bien conscient que, là encore, il ne pouvait qu’accepter cette situation décidée par sa Propriétaire Domina, il déposa le plateau sur la table basse.
Ne sachant quelle contenance se donner, il s’agenouilla, la tête baissée et les mains jointes dans le dos. Ayant entendu O… arriver et déposer son plateau, les deux femmes, comme à regret, desserrèrent leur étreinte et tournèrent leur regard vers lui. Vanessa s’exprima la première :
- Tu l’as bien dressé, dis-donc ! dit-elle, réellement admirative.
- En l’occurrence, je n’y suis pour rien, tu sais. C’est la première fois que j’ai une relation en dehors de notre mariage devant lui, et je n’avais aucune idée de la façon dont il réagirait. Je suis assez bluffée moi-même par sa servilité, tout cela est assez excitant.
- La première fois, vraiment ? Je me sens honorée… Mais dois-je comprendre de ce que tu dis que tu as aussi des relations en dehors de sa présence ?
- Oui, c’est exact, j’ai un amant régulier depuis quelque temps, O… est parfaitement au courant, et c’est d’ailleurs lui qui l’a voulu. Et j’espère bien que tu te sens honorée, conclut S… en lui souriant et en déposant un baiser furtif sur ses lèvres.
Puis, se tournant vers son mari :
- zuma, tu peux servir le champagne !
Finalisation des derniers préparatifs pour le dîner!
Sans hésitation, restant à genoux, O… se saisit de la bouteille restée glacée dans le seau et l’ouvrit d’une main experte. Le bruit sec du bouchon fit se réjouir les deux amies dont les yeux pétillèrent à l’unisson avec le iquide ambré dont O… emplit l’un après l’autre les deux verres. Il prit le premier par le pied et, toujours à genoux, le tendit à Vanessa, la regardant droit dans les yeux. Il la trouva décidément ravissante et il comprit aussitôt l’attirance que, visiblement, sa Femme Domina éprouvait pour elle.
Elle le regardait avec un sourire narquois, se contentant d’un petit signe de la tête pour le remercier. Il saisit le second verre et le tendit à S…, la fixant avec ce qu’elle sentit être une réelle admiration amoureuse. Ce sentiment accrût encore sa sureté d’elle-même, et O… le sentit très nettement dans son regard dominateur. D’une voix très assurée, à la fois ferme et douce, elle lui dit :
- Merci zuma, tu peux disposer maintenant, on se resservira nous-mêmes. Et je t’appellerai quand nous souhaiterons passer à table.
- Bien Madame.
Il se releva, fit une sorte de révérence un peu maladroite qui fit sourire S… et il retourna dans la cuisine pour finaliser les derniers préparatifs du diner. Les deux amies se sourirent d’un air entendu, heureuses d’être ensemble et servies par O…
Au service de son épouse Domina et de la magnifique invitée!
Conscientes de ce qu’elles avaient toute la soirée devant elles, elles délaissèrent pour un temps leurs jeux érotiques, préférant continuer à faire connaissance. Après tout, elles ne s’étaient rencontrées que le matin-même, et elles avaient encore beaucoup à apprendre l’une sur l’autre.
Depuis la cuisine, O… entendait les deux femmes discuter de façon enjouée et rire ensemble. Sans doute le champagne contribuait-il à leur bonne humeur. Il entendit les verres tinter à nouveau puis le silence se faire. Peut-être s’embrassaient-elles à nouveau ?
Cette idée provoqua chez lui un début d’érection, son membre emplit sa cage. Son inconscient commençait à admettre la place qui était la sienne.
A suivre