Etudiant soumis à la recherche de sa première dominatrice
J’avais dix-huit ans. Deux mois plus tôt, j’obtenais mon bac et désormais commençaient pour moi mes années de l’enseignement supérieur. Bon élève, j’était accepté dans une classe préparatoire littéraire d’un lycée montpelliérain et là où mes amis intégraient en nombre l’université et entamaient des années de fêtes étudiantes, je me préparais à deux longues années de labeur acharné.
Le jour de la rentrée, j’étais affecté dans l’une des deux classes de première année. En tout, la classe comptait une quarantaine d’élèves. Plus de trente étaient des filles, constat qui, il faut le dire, me réjouit assez. Les premiers jours furent éprouvants, cours intensifs, interrogations orales hebdomadaires, dissertations à répétition. Je logeais dans un studio, situé à quelques centaines de mètres du lycée, ce qui me garantissait indépendance et tranquillité.
Lorsqu’arrivait le samedi, les élèves de la classe avaient l’habitude de sortir dans les bars de la ville. Ce fut pour moi l’occasion de faire mes premières sorties nocturnes, accompagnés d’une bonne quinzaine de jeunes filles de 18 ans, qui ne manquaient pas d’attirer les regards.
Pour ma part, plutôt timide, je rêvais d’une plus grande proximité avec beaucoup de ces filles, sans pouvoir imaginer qu’elle allait intervenir plus vite qu’imaginé et sous des formes insoupçonnées. Mes expériences avec les filles étaient limitées. Quelques relations durant quelques semaines, où j’avais embrassé ma partenaire, mais rien de plus. Voir ces filles danser, dans la pénombre des bars musicaux, se déhancher, certaines l’une contre l’autre, renforçait toujours plus mon envie, sans que je n’ose jamais la satisfaire. Parmi mes fantasmes remontant à l’adolescence, il y avait cette attirance irrépressible pour les pieds et les chaussures des filles. Je me rêvais allongé sous les pieds de la belle Marie, une superbe blonde bouclée, élève brillante à l’intellect parfait. Je rêvais secrètement d’être dominé et humilié, par une fille, ou même par plusieurs. Ce sentiment d’infériorité était peut être à l’origine de ma timidité. Là où la plupart des garçons usaient sans vergogne d’approches lourdingues, quitte à se faire remettre à leur place, je restais figé chaque fois qu’une des filles de la classe me disait quelque chose de gentil.
Qu’elles étaient nombreuses les filles de cette classe pour lesquelles j’aurais rampé au son d’un claquement d’un doigt ! Carole, la belle métisse venue de la Réunion, au corps de rêve. Claire, une jolie blonde au sourire magnifique. Marine, une jeune fille au style « cool », toujours la cigarette à la bouche. Des dizaines d’autres filles stimulaient mon imagination, rassasiaient mes regards pendant les heures de cours de littérature et peuplaient mes rêves de pensées et d’images inavouables… Pour chacune d’entre elles, leur physique me séduisait. Mais par dessus tout, elles étaient des élèves brillantes, intelligentes et cultivées. Elles représentaient le summum de ce qu’une femme peut être, et je les admirais de ma petite position, au fond de la salle, contre la fenêtre. J’étais à la recherche de ma première dominatrice.
Très beau début de récit. J’ai vraiment hâte de lire la suite et de savoir comment ce jeune homme va se faire soumettre par toutes les filles de sa classe