Tout avait commencé par la réception d’un simple sms en début d’après-midi :
- Viens !
Un seul mot, mais lourd de sous-entendus. Une invitation ? Non, le point d’exclamation ne laissait aucun doute, il s’agissait d’un ordre. Je m’étais fait draguer par elle à la terrasse d’un café, et la situation avait basculé très vite. Au « bonjour madame » d’une prise de connaissance avait succédé le soir même chez elle, un « oui maîtresse » qui ne m’avait plus quitté depuis. Il y en a qui couchent dès le premier soir, moi j’avais déposé les armes à ses pieds pour une obéissance absolue. Sans doute avait-elle repéré au premier regard mes prédispositions à la soumission. Cela faisait maintenant une semaine que j’étais son jouet, sa possession, alors autant dire qu’à son sms si court je ne pus que répondre avec empressement :
- Oui maîtresse, j’arrive tout de suite
Ordre de me rendre au domicile de ma Maîtresse dominatrice
Ma réponse signifiait beaucoup de choses : son emprise sur moi, ma peur d’elle et mon excitation. Comme nos appartements se situaient à un quart d’heure à pied l’un de l’autre, je fus vite sur place. Une fois arrivé, je constate que l’appartement n’est pas fermé à clef. J’y pénètre. Il semble vide. Je gagne la chambre, lieu habituel pour nos séances. Sur le lit se trouve une tenue de femme visiblement présentée à mon attention (collants ajourés, petite culotte et soutien-gorge, jupe courte et petit pull en laine, escarpins et perruque. Je me travesti sans attendre, elle peut apparaître à tout moment et n’aimerait certainement pas me voir tergiverser. Un tube de rouge à lèvres se trouve aussi sur le lit, je comprends qu’elle veut que je me maquille.
A peine le temps de quitter la pièce, un bruit de talons et ma dominatrice en tenue me coupe la route. Elle m’ordonne de regagner la chambre puis de me mettre à genoux à ses pieds. Elle me mate et me soulève la jupe, me caresse un peu, montre tout simplement son contrôle total sur moi. Je ne bouge pas d’un millimètre et je la laisse faire jusqu’à ce qu’elle m’ordonne de m’installer à quatre pattes sur le lit. Elle commence à m’attacher solidement, pieds et poignets reliés d’abord entre eux puis aux quatre coins du lit à barreaux.
Inconscient car encore assez novice, je prends la parole sans autorisation pour lui dire :
- J’adore ce que vous me faites maîtresse !
- Oh mais tu vas adorer à en souffrir… me répondit-elle.
- J’aime qu’une femme me dresse.
- Je l’ai vu au premier regard l’autre jour au café.
Attaché, réduit au silence puis sévèrement corrigé!
Ne souhaitant plus que je m’exprime sur ma condition d’esclave sexuel, elle ajoute le mord à balles pour m’interdire toute parole. Je me laisse faire, de toute façon je n’ai plus aucun choix. Attaché, réduit au silence, je la sens roder autour de moi avec son fouet. Elle m’inflige une sévère correction, les coups de fouets claquent dans la pièce et me rougissent copieusement les fesses. Puis elle alterne avec la douceur d’un plumeau avec lequel elle me caresse les couilles et les cuisses. Je suis sous son contrôle total, elle alterne plaisir et souffrance, fouet et plume. Puis elle me punit par des fessées supplémentaires. Ensuite, elle se place derrière moi, m’interdit de me retourner, je sens qu’elle me doigte le cul avec de la vaseline, je sais ce qui m’attends…
Elle m’insère un plug anal, puis se place devant moi et saisit un à un mes seins pour y placer des pinces à tétons. Elle me fixe et m’oblige à baisser les yeux, puis me laisse méditer sur ma condition avec ordre de rester ainsi à quatre pattes sur le lit.
Quand elle revient un quart d’heure plus tard, mon plug est tombé et une des pinces à seins s’est décrochée, ce qui la met hors d’elle et elle me corrige de nouveau très violemment au fouet pour ce qu’elle considère être un manque d’obéissance.
Ligoté et bâillonné, dans l’attente du retour de ma Maîtresse dominatrice!
Elle porte désormais un gode-ceinture et me pénètre sauvagement avec. Elle s’acharne sur moi, me défonce en levrette, m’écarte férocement tout en me plaquant sur le lit, pour marquer sa puissance et sa possession. Après m’avoir bien limé, elle me réinstalle la pince à seins plus serrée sur le téton droit, m’arrachant au passage un cri de souffrance et jouissance mêlées. Après m’avoir bien fait le cul, elle y réintroduit le plug anal. Je suis totalement à elle. Elle m’ordonne de me redresser à quatre pattes sur le lit et de l’attendre dans cette position jusqu’à nouvel ordre.
Ligoté et bâillonné, la seule chose que je puisse faire c’est de lui envoyer des sms avec mon portable qu’elle m’a laissé à portée de main comme pour une invitation à m’en servir. Il me semble entendre le bruit de ses clefs dans la porte puis des talons qui s’éloignent, j’ai le sentiment qu’elle m’a laissé seul chez elle et qu’elle est sortie en ville. Après une vingtaine de minutes, je me décide à prendre le risque de lui envoyer un sms :
- Vous êtes sortie maîtresse ?
Quelques minutes plus tard :
- Oui, et ne bouge pas !
Je préfère lui avouer la vérité :
- J’ai perdu mon plug de nouveau.
- Moi ma patience… Tu mérites une nouvelle punition, dès que je rentre.
- Vous êtes partie au même café qu’où vous m’avez harponné maîtresse ? Je brûle de le savoir…
- C’est tes petites fesses que je vais brûler en rentrant ! Et maintenant silence, je fais mes repérages.
A son retour, de nouveau puni, puis vidangé et enfin libéré!
Je restais donc impuissant à l’attendre, elle rentrerait quand elle voudrait. Une paire d’heures plus tard, à nouveau un bruit de clefs dans la porte. Ma Maîtresse dominatrice vient de rentrer. Ma désobéissance (mon plug est tombé, malgré moi) ainsi que mes sms l’ont énervée. Elle entend bien me soumettre complètement. Alors elle prend le fouet et enchaîne les coups, avec rythme et violence. Elle me rougit les fesses peu à peu tout en filmant la scène et en m’obligeant à lui dire que j’aime ça. Ne pouvant parler avec le mord à balles, je lui réponds « oui » d’un signe de tête. Elle continue à s’acharner un moment puis saisit dans son placard pour l’enfiler, un petit cardigan noir en laine angora. Ce pull à petits boutons est doux et sexy, elle sait quand elle le porte qu’elle me fait aussitôt bander, je lui ai avoué dès le premier soir.
Elle le glisse sur le lit, sous mes couilles et mon sexe, s’assoit à côté de moi, me mate et m’ordonne de commencer à me masturber dessus mais avec l’interdiction de jouir sur son petit pull.
Je commence à me frotter sur la laine, sa douceur m’érotise, je continue, ma Maîtresse dominatrice me mate et apprécie. Je reste attaché. Elle me force à continuer ma masturbation, je suis au bord de jouir. Elle ne le veut pas et ses ordres ne se discutent pas, je suis là pour lui obéir. Au bout d’un moment mon rythme de frottement s’intensifie trop, je vais jouir et venir dans son petit pull et le couvrir de sperme si ça continue.
Satisfaite de me voir ainsi, elle me saisit la queue dans sa main et finit de me branler pour que je vidange sous ses pressions répétées et en rythme. Elle sourit, me libère et m’ordonne de me rhabiller et de m’en aller.
Je prends congé, et au moment de franchir la porte d’entrée, ma Maîtresse dominatrice me dit :
- A bientôt ma lope, j’exigerai encore plus de toi à la prochaine séance…
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