J’ai rencontré Maîtresse Claire en voiture. Enfin, en réalité, j’ai grillé un feu rouge et je lui suis rentré dedans. Mais ça, je crois que ma Maîtresse vous l’a déjà raconté. Aujourd’hui, je suis devenu son apprenti soumis. Ainsi, je suis, entièrement, sous son contrôle, sur le plan sexuel et sentimental bien sûr, mais pas seulement. Je dois l’appeler chaque jour pour lui faire le compte rendu de ma journée, et pour qu’Elle me donne des instructions pour les jours suivants. Parfois, Maîtresse me donne ses instructions tout de suite, c’est toujours le cas quand il s’agit de ma sexualité avec ma copine, soit Elle m’interdit de lui faire l’amour, soit Elle m’impose certaines pratiques, ou certaines positions.
Ma sexualité prise en main par Maîtresse Claire
Je dois dire que ma sexualité avec ma copine est beaucoup plus épanouie depuis que Maîtresse Claire l’a prise en main. Et si ma Maîtresse m’interdit de faire l’amour à Alicia, Elle compense toujours en m’obligeant à la faire jouir d’une autre manière, en la caressant, en la léchant. Alicia a découvert certaines pratiques dont ma Maitresse est à l’initiative, et elle apprécie beaucoup. Par exemple que je lui lèche les pieds pendant qu’elle lit ou regarde la télé, ou bien elle s’assoit sur mon visage pour se faire lécher le sexe et l’anus. Alicia est autoritaire, et parfois je dois jongler si ses exigences sont en décalages avec celles de Maîtresse Claire. Car Maîtresse Claire est LA Maîtresse absolue, LA Femme supérieure, et ses instructions priment.
Et d’autres fois, Madame Claire prend le temps de la réflexion. Quand ses instructions engagent mon avenir, Elle ne donne pas ses ordres à la légère. Par exemple, je dois choisir un stage de six mois pour mes études, il y a plusieurs facteurs à prendre en compte, le salaire, le lieu, l’intérêt de l’entreprise… Chacun donne son conseil, Alicia, mes parents, … J’ai donné tous les éléments à ma Maîtresse, et j’attends sa décision, que je suivrai. Il y a un certain confort à appartenir à une Maîtresse aussi autoritaire, plus besoin de prendre de décisions, Elle les prend, et par définition, ces décisions sont les bonnes.
Ma rencontre avec « sophie », le soumis de ma nouvelle Maîtresse
Mais revenons à cette fameuse journée où j’ai rencontré Maîtresse Claire.
Nous étions arrivés chez son soumis, je portais sa valise et son sac à main.
- Prends l’escalier ordonna-t-Elle, c’est au 5ème étage, tu m’attendras en haut devant l’ascenseur, en position prosternée.
Je gravis l’escalier quatre à quatre. Arrivé en haut, je pris la position requise, tout essoufflé.
Madame sortit de l’ascenseur. Avançant son pied sous mon visage, elle me donna son escarpin à baiser.
- Suis-moi, à quatre pattes.
Nous entrâmes dans un appartement, elle devant, moi à 4 pattes derrière. Une personne attendait, prosternée, une longue chevelure noire, une perruque ? Le haut du corps était nu. En bas, elle portait des bas noirs, des portes jarretelles et une culotte assortis, des escarpins également noirs à haut talons. Homme ou femme, c’était difficile à dire dans la position qui était la sienne. Madame avança son pied pour qu’il soit baisé, comme Elle venait de le faire avec moi. L’esclave baisa les pieds de sa Maîtresse, puis sur un claquement de doigts, il se coucha à plat ventre. Madame lui marcha dessus sans précaution, enfonçant ses talons dans son dos et dans ses fesses.
- Sophie, je te présente Nico, c’est un jeune apprenti soumis, il a des dispositions, mais je vais voir ce qu’il vaut réellement, et peut-être investirai-je du temps dans son dressage. Nico, je te présente Sophie, c’est un de mes soumis, ce n’est pas son vrai prénom tu l’as compris. Je l’ai rebaptisé comme ça, je fais tout ce que je veux avec lui, il m’appartient. Cela tombe bien que tu le rencontres, tu vas pouvoir évaluer le niveau d’exigence requis pour devenir ma propriété. Il est élevé, tu vas t’en rendre compte. Sophie, debout, enlève ta culotte, montre à Nico ta condition.
Début de mon apprentissage!
L’homme, car c’en était un, s’exécuta, et je vis que son sexe était prisonnier d’une sorte de cage, verrouillée avec un cadenas. Son regard semblait aimanté par les chevilles de Madame Claire, et je compris pourquoi, Elle portait une fine chaine en or autour de la cheville, sur laquelle était suspendue une petite clé, et je venais de comprendre à quoi celle-ci servait.
- Eh bien Sophie, tu es hypnotisée par ma cheville ? dit Madame Claire, taquine.
- Nico, nu ! ordonna-t-elle.
Elle avait l’art de passer de l’un à l’autre, en maintenant une tension palpable. Ni Sophie ni moi n’avions parlé. Je me déshabillai rapidement.
- A quatre pattes chien! Tu vas venir récupérer cette clé avec les dents, et tu libèreras Sophie.
- Mais Madame, protestai-je, je suis hétéro, je ne suis pas gay…
Madame Claire s’approcha doucement de moi, et me gifla à toute volée.
- Tu es ici pour me servir, moi seule décide, si ça ne te plait pas tu pars, c’est compris ? Homo, hétéro, ça ne signifie rien, ça ne compte pas, seul mon plaisir compte et mes ordres! Tu commences très mal ton apprentissage esclave, couche toi sur le dos !
Je pris la position demandée en bredouillant des excuses. Aussitôt, Madame appuya la semelle de son escarpin sur mon sexe tendu. Ça faisait très mal, je criai et demandai pardon, mais Madame était fâchée, Elle écrabouillait mon sexe comme un mégot.
- Tu as compris maintenant dit-Elle en reculant de quelques pas ? Allez exécution ! Mais d’abord, je vais t’attacher les mains dans le dos pour être sûre que tu ne triche pas.
Les ordres fusaient!
Ouvrir la chaine avec les dents, les mains liées dans le dos n’était pas chose aisée, d’autant que Madame ne me facilitait pas la tâche. Elle s’était assise sur le canapé et balançait sa jambe, ce qui rendait ma tâche quasi impossible.
- Quel imbécile, dit-Elle, il faut croire que tu n’es pas très motivé. Sophie, aux pieds, viens relayer ce maladroit.
« Sophie » était plus doué que moi, sans doute était-il aussi plus motivé. Il réussit à récupérer la clé assez rapidement.
- Bien dit Madame, donne la clé à Nico, avec la bouche, et ne la faites pas tomber. Nico, libère-le !
Je m’appliquai maintenant pour ouvrir le cadenas, le sexe de « Sophie » avait gonflé et était compressé dans la cage. J’avais le nez collé dessus. Enfin je réussi à le libérer. La cage s’ouvrit et le sexe se déplia au maximum. J’étais surpris par sa taille, « Sophie » n’était pas très grand mais plutôt musclé, et son pénis mesurait bien 20cm !
- Bien, Sophie, détache-le, Nico, ouvre ma valise !
Les ordres fusaient.
J’ouvris la valise, et je découvris toute une gamme d’instruments : un fouet, un martinet, des godemichets de différentes tailles, dont un double !
- Apporte-moi le godemiché double.
Je m’empressai d’apporter l’instrument, et équipai Madame avec soin.
- Suce!
Correction avec le fouet pour « sophie » et moi!
Je suçai le membre, agenouillé aux pieds de Madame. Je m’appliquai, Madame me tenait par les cheveux.
- Tu aimes ça salope, pas vrai ?
- Mmmm
- Bon ça suffit! Sophie, va me chercher le fouet et le martinet! Mettez-vous tous les deux à quatre pattes sur le canapé, les fesses bien levées. Sophie à gauche, Nico à droite.
Madame Claire prit le fouet dans sa main gauche, car l’instrument réclamait une grande précision, et le martinet dans sa main droite.
- Vous allez recevoir chacun 50 coups de fouet expliqua-t-Elle. Nico tu vas recevoir le martinet, pour avoir abîmé ma voiture, Sophie, tu vas recevoir le fouet, uniquement pour Mon bon plaisir.
Sa phrase fut ponctuée d’un rire cristallin.
- Jeune homme, sache que le martinet n’a rien à voir avec le fouet. Prend exemple sur Sophie, elle va recevoir sa punition sans broncher, je peux te le garantir.
- Comptez!
Les coups commencèrent à pleuvoir, Madame Claire frappait alternativement de la main droite et de la main gauche, un coup de fouet pour Sophie, un coup de martinet pour moi. Elle était très habile, les coups étaient secs et précis, et Elle ne prenait pas de pose ! Plus la correction avançait, plus Madame fouettait fort.
Au bout de 20 coups, j’étais en pleurs, alors que Sophie était impassible. Je serrai les dents, je ne demanderai pas grâce !
Au 30ème coup, Sophie commençait à gémir et à tressaillir. Au 40ème, nous étions tous les 2 en pleurs, mais aucun ne demandait grâce. Madame cinglait implacablement, un fouet dans chaque main, un fouet pour chaque esclave…
Réduit à un objet de plaisir, à un jouet!
Enfin la correction prit fin. Sophie et moi sanglotions sur le canapé.
- Tu es bien douillet mon garçon, commenta Madame Claire.
- C’est bien Sophie tu as été courageuse, tu vas être récompensée. Prépare l’anus de mon jeune apprenti.
Sophie introduisit un doigt dans mon anus, étalant un produit froid.
- Place toi devant Nico. Nico, met toi à quatre pattes, bien cambré, tu vas sucer Sophie, et applique toi, je veux qu’elle soit satisfaite, elle l’a mérité, et présente moi tes fesses, je vais m’occuper de ton cul.
- Madame, c’est la première fois, je n’ai jamais sucé, et je n’ai jamais été sodomisé non plus…
- Eh bien, une double première, profites en bien mon apprenti esclave !
ET Elle pénétra mon anus sans plus attendre, en même temps que Sophie avait saisi mes cheveux et introduit son sexe dans ma bouche. Madame et « Sophie » accordèrent rapidement leur rythme, les sexes emplissaient simultanément ma bouche et mon cul. La sensation était nouvelle, j’étais un objet de plaisir, un jouet. Et ça me plaisait.
- Tu peux gicler dans sa bouche Sophie autorisa Madame, je veillerai à lui faire tout boire.
« Sophie » ne se fit pas prier, à peine l’ordre formulé, il gicla dans ma bouche, me tenant fermement pour m’empêcher de recracher. Madame détacha son harnais, laissant le gode dans mon cul.
- Couche-toi sur le dos, ordonna-t-Elle.
Madame se positionna au-dessus de moi, j’avais une vue unique sur son sexe rasé. Soudain il tressaillit, une giclée d’urine m’atterrit sur le visage.
- Bois esclave !
Je bus tout le liquide, cette méthode était efficace pour m’obliger à avaler aussi le sperme.
- C’est bien apprécia Madame, pour un un apprenti soumis tu te débrouilles bien. Je t’autorise à te branler devant nous. Ensuite tu nettoieras.