Mise à l’épreuve, par Madame, Maîtresse domina (11)

Mise à l’épreuve, par Madame, Maîtresse domina (10)

 

Jusqu’où Madame, Maîtresse domina, va-t-elle me mettre à l’épreuve ?

J’ai la réponse quelques minutes plus tard.

Une fois le sol parfaitement nettoyé, je suis libéré de mon banc. J’ai toutes les peines du monde à me tenir debout tant je suis épuisé. Les quatre femmes diaboliques me jaugent du regard et leurs petits sourires ne me dit rien qui vaille.

Un dernier test avant de devenir l’esclave de ma Maîtresse Domina

Madame prend alors la parole :

• Jusqu’ici tu t‘es montré très obéissant et endurant, me dit-elle. Il est temps de passer à ta dernière épreuve. Tu dois comprendre qu’à mon service, un esclave doit pouvoir tout subir, de ma part mais également de la part de mes invités quelles que soient leurs envies. Son seul et unique but est de satisfaire. Si tu parviens à au bout de ce dernier test sans demander grâce, je suis disposée à te prendre en période d’essai durant un mois. Comme tu l’as compris, en dehors des tâches ménagères, de la cuisine et des courses, tu me serviras de papier toilette mais aussi de masseur, ce qui te permettra d’avoir accès à des parties de mon corps jusqu’ici interdite. Ce sera ton unique et seule récompense en plus d’une vidange une fois par mois effectuée sous diverses contraintes. Comprends-tu ce que je te dis ?

• Oui Maitresse.

 

• Es-tu toujours disposé à te mettre à mon service ?

 

• Oui Maitresse.

 

• Te sens-tu capable de subir ce dernier test ?

 

• J’ignore de quoi il s’agit Maitresse.

Pour seule réponse, je reçois une monumentale gifle de sa part.

• Peu importe de quoi il s’agit, tu n’as pas écouté ce que j’ai dit ? Tu dois tout accepter sans rechigner.

• Oui Maitresse. J’accepte Maitresse.

 

• Très bien. Suis -moi!

Ma Maîtresse domina m’entraine dans la pièce transformée en donjon, suivie de près par ses trois invitées.

Emmené dans le donjon personnel de ma Domina

Je suis alors allongé sur le fauteuil gynécologique. Mes mains sont enfermées dans des bracelets vissés au sommet de ce dernier, tirés vers le haut. Dame Lori me serre la taille à l’aide d’une ceinture, quant à Dame Sarah et Dame Chantal, elles m’attrapent chacune une jambe. Ensuite, elles me les basculent en arrière jusqu’à ramener mes chevilles au niveau de la poitrine. Mes chevilles sont enfermées, elles, aussi dans de solides bracelets en fer vissés au fauteuil.

Me voilà le bassin relevé, ma queue, mes testicules et surtout mon anus sont dangereusement exposés. La position n’est guère confortable mais cela leur importe peu.

 

Madame me musèle à l’aide d’une bâillon-gode qu’elle serre derrière ma nuque. Un sexe en plastique de taille respectable remplace désormais ma bouche, qui est totalement remplie par une boule de plastique qui m’empêche d’émettre le moindre son.

Madame s’adresse, ensuite, à ses invitées.

• Sarah tu t’occuperas de lui travailler son petit trou. Tu as des mains assez fines pour cela, Chantal tu joueras avec ses couilles et Lori, tu auras l’honneur de t’occuper de sa queue.

La vulgaire Dame Chantal ne perd pas de temps et libère mon petit oiseau de sa cage de chasteté. Ce dernier, frustré durant une journée entière se raidit sans tarder malgré la peur qui me dévore l’estomac.

• Quant à moi, m’annonce ma Maitresse domina, j’ai envie de prendre du bon temps.

Début de l’enfer, avec d’extrêmes souffrances!

Et la voilà qui qui se place au-dessus de mon visage, une jambe de chaque côté et relève sa jupe. Je peux alors constater qu’elle n’a pas de culotte. Son sexe merveilleusement charnu m’apparait en gros plan et vient s’empaler résolument sur le god.

• Vous pouvez y aller, dit-elle avant de me toiser durement.

Son regard dur me fixe au-delà de sa formidable poitrine.

• À tout moment, tu peux me demander d’arrêter en faisant non de la tête mais ce sera pour toi un échec.

J’acquiesce en silence et commence, alors, l’enfer.

Je ne peux pas la voir car  elle est cachée par l’imposant corps de Madame. Cependant, la jeune Sarah a enduit l’une de ses mains de vaselines et commence aussitôt à me travailler l’anus dans le but évident de la faire entrer dans mon fondement. Dame Chantal commence, elle, un malaxage hard de mes couilles avec un enthousiasme terrifiant alors que Dame Lori s’amuse à passer une roulette piquante sur mon gland turgescent.

Je me tortille sous l’effet de cette multitude de souffrance. Je gémis dans mon bâillon alors que Madame a commencé de lents mouvements de va et vient sur le god sans jamais me quitter un seul instant du regard, goûtant ma souffrance, la moindre mimique déformant mon visage. La fine main de Dame Sarah s’enfonce toujours de plus en plus loin.

Dame Chantal presse, tord, écrase mes pauvres testicules dans le but évident d’obtenir un hurlement de ma part. Ce qu’elle ne tarde pas à obtenir d’autant plus que Dame Lori a entrepris d’enfoncer dans mon sexe un plug d’urètre sans la moindre douceur, entamant elle aussi un mouvement de va et vient. Cette horrible masturbation ne provoque en moi aucune jouissance, au contraire même, elle me met au bord de l’évanouissement.

Test Réussi! Désormais, au service de cette fabuleuse Domina!

Et Madame, ma Maîtresse domina, continue de me chevaucher, très excitée, chacun de mes gémissements la poussant vers l’orgasme.

Les trois folles derrière elle, s’en donnent à cœur joie et la main de Dame Sarah finit par s’enfoncer jusqu’au poignet.

Cependant, je parviens à tenir. Ainsi, je ne veux pas demander grâce même si la douleur est intenable. Je ne cesse de crier dans mon bâillon. L’expression de mon regard doit être d’une telle intensité qu’il suscite chez Madame une jouissance aussi soudaine que spectaculaire. Elle aussi hurle de plaisir, m’inondant le visage, tel une femme fontaine.

Ensuite, elle reste un moment assise sur moi, reprenant son souffle, puis elle m’accorde pour la première fois un sourire.

• Vous pouvez arrêter, dit-elle enfin.

• Quel dommage, se plaint Dame Sarah en retirant sa petite main.

 

• Jamais personne n’est parvenu à passer ce test en dehors de mon précédent esclave. Je pense que tu as gagné le droit d’être à mon service.

Elle se retire puis remet sa jupe en place en la lissant à l’aide de ses mains.

• Je vais te faire signer un contrat dans lequel seront listés tes tâches et devoir. Tu m’appartiens désormais.

Certains y verraient là une punition mais ces simples mots sonnent à mes oreilles comme une récompense.

Malgré la douleur de mes testicules et de ma queue martyrisée, je me sens enfin heureux, prêt à vivre une vie de servitude.

 

Fin.