Ma Maîtresse domina referme la porte du placard en donnant deux tours de clé, me laissant seul dans une obscurité totale, terrorisé d’être ainsi livrée à l’impitoyable et sadique Naomi.
Je ne sais combien de temps je reste ainsi enfermé dans mon placard, suant sous la cellophane, incapable de faire le moindre geste. Bientôt, le gout légèrement âcre des collants de ma Maitresse domina finit par disparaitre peu à peu à mesure que ma salive les imbibe. Et je me mets à somnoler, me réveillant parfois en sursaut pour me rendre compte que rien n’a changé.
Quelle heure peut-il bien être ?
Au bout d’une attente interminable, un claquement de porte me met en alerte. Serait-ce la terrible Naomi ?
Apparition de l’impitoyable et sadique Naomi!
J’ai rapidement la réponse. La porte du placard s’ouvre brutalement. Je cligne des yeux à plusieurs reprises avant de récupérer une vision à peu près normale.
C’est elle. Sa fine silhouette me surplombe. Son visage aux pommettes hautes est racé mais lui donne aussi un air terriblement cruel. Je suis terrifié mais je ressens également une terrible excitation. Ses cheveux longs noirs de jais sont attachés en queue de cheval. Elle porte un rouge à lèvre rouge vif, un petit chemiser blanc et une jupette sur des collants noirs très foncés. Je n’avais pas remarqué la dernière fois à quel point elle possédait une cambrure à se damner.
- Ta Maîtresse domina m’a autorisé à faire ce que je voulais, m’annonce-t-elle de sa voix aiguë. Tu dois être puni apparemment, cela tombe bien, j’ai plein d’idées.
Son petit sourire me fait froid dans le dos. Elle tire alors la table montée sur roulettes sur laquelle je suis attaché dans la chambre, au grand jour.
- Si tu ne supportes pas ce que je vais te faire subir, tu dois crier trois fois dans ton bâillon. Je te libérerais mais tu ne reviendras jamais ici, tu auras échoué. Tu as compris ?
Je hoche la tête.
- Très bien.
Torturé par la terrible Naomi!
Après avoir bloqué les roulettes, la voilà qui grimpe sur la table pour se mettre au-dessus de moi, perchée sur des escarpins noirs vernis. Elle commence par m’écraser le visage. Rapidement, elle entreprend de piétiner mes testicules saillants sous la cage de chasteté. Je gémis dans mon bâillon à chaque pression puis elle s’intéresse à mon petit oiseau en passant le bout de son index sur mon gland, maintenu décalotté. La sensation est fulgurante. Mon sexe tente de se redresser mais en vain, ce qui n’échappe pas à l’attention de Naomi.
Elle en glousse de bonheur sans pour autant cesser ses mouvements diaboliques. Cela dure une éternité! Elle ne semble jamais se lasser de m’exciter avec ses doigts, sa salive qu’elle laisse couler sur mon sexe, une horrible plume avec laquelle elle me chatouille tout en me caressant les testicules. Je n’en peux plus, mon sexe dégouline de semence.
Elle grimpe ensuite de nouveau sur moi, enjambe mon visage et commence à faire des mouvements de va et vient sur mon nez. Je rentre en contact avec le fond de son collant et sa petite culotte. Je sens son odeur et perçois son renflement. J’aimerais pouvoir y goûter mais elle ne semble pas vouloir m’accorder ce bonheur. Puis elle retire l’un de ses escarpins et commence à frotter son pied gainé partout sur mon visage, insérant son gros orteil dans mes narines.
Libéré de l’horrible cellophane!
Je suis porté à ébullition.
- Tu n’as pas eu l’air d’apprécier hier quand je me suis servi de toi comme papier toilette, me susurre-t-elle à l’oreille. Tu aimerais recommencer aujourd’hui ?
Evidemment, je hoche furieusement la tête. Je suis tellement ardent que je ne demande que ça.
- Même si je fais la grosse commission ?
Je ne suis plus si sûr d’un seul coup, elle veut vraiment aller jusque-là ? Mais je ne dois rien refuser, sinon je cours le risque d’être banni.
Je fais donc timidement oui de la tête.
- Dans tes rêves uniquement, tu ne m’auras jamais !
Elle en rigole de plaisir avant de descendre de la table. Elle sort de la pièce et revient dans la pièce armée d’un ciseau pour couper l’épaisse gangue de cellophane qui me transforme en momie.
J’avoue que c’est un soulagement immense, mon corps est luisant de sueur.
- Mets-toi debout!
Toujours bâillonné, je m’exécute. Pouvoir enfin bouger, délier mes muscles me fait un bien fou.
- Tiens-toi debout, interdiction de bouger! Je trouve que tu n’es pas présentable, tous ces poils me dégoutent ! Nous allons remédier à cela.
Epilation complète de mon corps
Avec un sourire de mauvais augure, elle sort de son sac des bandelettes collantes habituellement utilisées dans les salons de soins esthétiques. Elle décide alors de commencer une épilation complète de mon corps en commençant par la poitrine.
C’est la première fois que je subis en étant libre de mes mouvements mais pas question de la repousser ou d’avoir un mauvais geste. Je sais que cela fait partie de l’épreuve et que je dois être capable d’endurer.
Naomi commence par la poitrine, me posant les bandelettes puis tirant violemment dessus pour m’arracher les poils. Le premier geste me surprend et m’arrache un cri étouffé. Je comprends pourquoi elle m’a laissé mon bâillon. A cause de la douleur, je me penche en avant. Ensuite, vient une sensation de brûlure intense marquant l’endroit mis à nue. Mais je tiens bon, je me redresse, soufflant fort par les narines. Naomi continue, sans pitié. Chaque arrachage me fait gémir et tressauter de la tête au pied. Je vois qu’elle y prend un immense plaisir. Son sourire est cruel, son regard empli de jouissance.
Après ma poitrine, ce sont mes jambes puis mes bras, mes fesses. Evidemment. elle garde le meilleur pour la fin : mes parties intimes.
Lorsqu’elle martyrise mes testicules, j’en pleure de douleur.
Début de la véritable épreuve!
Une fois l’opération terminée, tout mon corps est à vif mais je n’ai pas demandé grâce, j’ai tenu bon !
Naomi prend un peu de recul pour contempler le résultat.
- C’est bien mieux comme ceci, tu avais l’air d’un singe. Mais ce n’est que le début de ton nettoyage. Pour la suite je vais devoir t’immobiliser à nouveau pour éviter les mauvaises surprises. La véritable épreuve commence maintenant. Suis-moi dans le Dungeon!
La pièce de Madame, ma Maîtresse domina, réservée aux punitions.
Je redoute le pire.
A suivre….