Nous étions six dans cette villa de vacances : ma Maîtresse dominatrice, trois de ses amies, moi-même et un autre soumis. Nous étions tous les deux en cage de chasteté.
Ce jour là, je n’avais pas préparé le petit déjeuner suffisamment tôt pour ma Maîtresse dominatrice et ses amies. Pour ma punition, je dûs rester enfermé dans une cage d’environ 1m70 dans une pièce sombre. Ce fût l’autre homme soumis qui eut l’honneur de servir à ma place pendant la journée.
Ce qui m’avait fait le plus souffrir, ce n’était pas d’avoir été enfermé mais de ne pas avoir pu servir et d’avoir eu le temps de me lamenter sur mon sort. De temps en temps, j’entendais des voix au loin, mais j’étais délaissé.
Vers 20h, la porte s’ouvrit enfin. Ma Maîtresse vint me voir. La lumière m’éblouissait tellement que je n’osais même pas lever les yeux.
-C’est ça, baisse les yeux ! Bon, par contre ce soir, tu vas avoir besoin d’enfiler ça ! : me dit ma Maîtresse en posant des menottes dans ma cage. Peux-tu les mettre tout de suite en mettant bien tes mains en évidence, que je puisse voir?
Etre attaché, d’une manière ou d’une autre!
Je m’exécutai, aussitôt, en me retournant dans ma cage, avec difficulté car elle était, vraiment, petite. Ensuite, je me positionnai en tournant le dos à ma Maîtresse, puis je m’attachai les mains dans mon dos. J’entendis, ensuite, des bruits de talons s’approcher pour ouvrir ma cage.
-Vas y, sors et mets toi à genoux devant ta Maîtresse!
J’essayai de « reculer à genoux ». Au bout de 30 secondes, je finis par sortir de ma cage et je m’effondrai par terre, ce qui m’attira des moqueries de ma Maîtresse au passage. Puis je me redressai pour me mettre à genoux.
-Nathalie et son soumis sont repartis aujourd’hui. Nous ne sommes plus que trois filles. Ce soir, nous allons sortir toutes les trois, entre filles, pendant que toi tu vas rester ici. Je te sors juste de ta cage pour que tu puisses te ressourcer avant qu’on revienne. Maintenant lève toi !
Ma Maîtresse m’attrapa par la taille pendant que je m’exécutais, pour m’aider à me relever alors que j’étais menotté. Puis elle se tourna derrière moi pour me mettre une deuxième paire de menottes. Ensuite, elle attrapa mes testicules en les serrant d’une main alors qu’elles étaient déjà serrées par la cage de chasteté, tout en m’étouffant avec sa deuxième main. Elle s’approcha de mon oreille pour la lécher une fois, puis elle commença à murmurer ses intentions.
-Par contre, tu vas rester attaché. Quand on va revenir et qu’on aura bien bu, tu devras être à ma merci. Tu devras me supplier de te prendre, car tu m’appartiens … Tu comprends?
Rester sage, et être prêt à servir sa Maîtresse dominatrice !
Je hochai la tête pour lui signifier que j’avais compris. Ma Maîtresse relâcha ma respiration tout en continuant à serrer mes testicules. Puis elle sortit une clé pour me libérer de ma cage de chasteté.
-On va laisser à l’air ce qui m’appartient. Je veux qu’elles soient encore pleines quand on reviendra. Gare à toi sinon. Maintenant, suis-moi !
Ma Maîtresse commença à marcher, tout en continuant à me tenir les testicules. Nous nous dirigeâmes vers le salon, où les deux autres Dames étaient déjà prêtes à partir. Je me retrouvai, seul, face à trois sublimes femmes dominatrices. En me voyant, l’une d’entre elles s’étonna auprès de ma Maîtresse de me voir libéré de ma cage de chasteté.
-Tu penses que c’est sage de le laisser comme ça? C’est un coup à ce qu’il redevienne désobéissant comme ce matin!
-Je pense que cela ira comme ça! : répondit ma Maîtresse. Il va se tenir tranquille ne serait-ce que pour me faire plaisir. N’est-ce pas? : me dit-elle en se plaçant près devant moi.
Je hochai la tête pour acquiescer.
-Bon, par contre, je te confie une mission pendant que nous ne sommes pas là : ajouta-t-elle en allant chercher un gode de taille moyenne. Il va falloir que tu t’enfiles ça pour qu’on puisse facilement te goder quand on revient. Tu peux faire ça pour moi?
Je hochai la tête. Ma Maîtresse me sourit avec un :
-Allez, sois sage!
Ensuite, elle me salua avec une légère gifle. Puis les dominatrices partirent en fermant à clé derrière elles.
Je me retrouvai donc, seul, menotté dans le salon.
D’abord, j’en profitai pour aller manger, ce que je pouvais, puis pour aller aux toilettes, me laver, etc.
Passé minuit, je commençai à de demander si ne je devrais pas commencer à me goder comme demandé par ma Maîtresse. Je commençai, finalement, vers 1h du matin, mais personne ne revint. Je réessayai donc vers 2h, puis 3h, etc. A 5h du matin, ma Maîtresse n’était encore pas revenue.
Et voilà comment ma Maîtresse m’a appris à me faire goder toute la nuit =)
Chapitre précédent : Obéir à sa Maîtresse dominatrice ou rentrer chez soi
Très belle histoire continue à raconter ta vie de soumis