Soirée SM avec ma domina BDSM dans un club libertin! (2)

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Le ton est donné! Je défaillis l’espace d’un instant, le temps d’intégrer où nous sommes. Ensuite, je m’emplis d’extase, parce que ca y est : on y était ! Elle me tend mon verre puis elle claque des doigts, l’index vers le sol. Je me mets à genoux pour trinquer avec ma Maîtresse, domina BDSM. Nous affichons, à ce moment précis, chacun, un large sourire. Cela signifie que la soirée va pouvoir commencer.

Verres vidés, Maîtresse se lève, tire sur ma laisse, et se dirige vers une autre salle. Nous arrivons dans des backroom, où des couples font l’amour, chacun devant une dizaine de paires d’yeux. Il y a plusieurs couples homme-femme, dans diverses positions et deux femmes ensembles, spectacle dont Maîtresse se délecte. Ensuite, il y a, également, une Maîtresse et un soumis en train de se faire limer par un gode-ceinture dont la taille, me pétrifie, littéralement.

  • T’es pas prêt pour ça, toi ?, me dit-Elle

Ensuite, elle tire sur ma laisse, et baisse les yeux pour croiser mon regard. Je suis, de nouveau, à genoux à côté d’Elle.

  • Non Maîtresse, et je pense que j’en suis loin.

Nous profitons du spectacle quelques minutes, puis nous continuons notre visite.

A genoux pour le léchage des bottes de ma domina BDSM

 

domina BDSM

 

Nous arrivons dans une nouvelle salle, avec juste quelques bancs disposés le long des murs, comme un genre de salle de repos. Maîtresse s’assoit sur un des bancs puis elle me demande de me mettre à genoux :

  • Allez, lèche mes Docs, je sais que t’en crève d’envie, et tu l’as bien mérité!

Quelle joie ! Je tombe à quatre pattes, en moins d’une seconde, et je me mets au travail. Ma langue s’affaire à nettoyer les moindres recoins de ses bottes, à l’avant, les côtés, les coutures jaunes spécifiques à cette marque, et le long du zip qui remontait au genou. La botte droite, puis la gauche.

  • Stop, ça suffit!

Je m’exécute, non sans une pointe de déception, tant j’aurais aimé continuer encore et encore. Maîtresse décroche la laisse de mon collier :

  • Debout, à poil. Tout de suite!

 

Je défaille de nouveau.

 

Nu, encagé, à quatre pattes, prêt à recevoir les coups de martinet!

 

C’est la première fois que je vais me retrouver complètement nu en public. Je lève les yeux pour lancer un regard en direction de ma domina BDSM. Son regard, à Elle, ne laisse place à aucune négociation. Je me dis alors qu’Elle m’a fait la surprise de m’amener ici. Il est, donc, hors de question que je la déçoive de quelque manière que ce soit.

Je me lève, retire mon pantalon, mon t-shirt, et mon string. Maîtresse claque des doigts en direction du sol. Je me remets à quatre pattes, tête en direction du mur, suivant ses instructions. A partir de ce moment là, toute l’assistance peut voir la cage de chasteté qui pend fièrement entre mes cuisses. Même le dos tourné, je peux sentir les regards posés sur mon entrejambe, et entendre les bribes de conversations et d’étonnement devant cet engin inconnu. Il faut préciser que Le Mas Virginie reste avant tout un club libertin. Une majeure partie de la clientèle ne connait donc pas cet accessoire.

Maîtresse ouvre son petit sac à dos en toile, et en sort le martinet. Elle se lève, se met dos à moi et dos au public. Ensuite, elle s’accroupit vers moi et me met un coup de langue dans l’oreille. Instantanément, ma cage est prête à exploser. Enfin, elle me dit dans le creux de l’oreille :

  • C’est à mon tour de m’amuser. Je sais que tu es trop fier pour me dire en public d’arrêter, alors je ne vais pas retenir mes coups. Tu vas avoir mal, chien. Tu es prêt ?

C’est, en plus, à moi de dire si je suis prêt ou non ; à moi de donner le top départ de ma correction publique. Bien que les mots sortent difficilement de ma bouche, je ne me démonte pas :

  • Oui Maîtresse!

 

Humilié et poussé dans mes retranchements par ma domina BDSM!

Elle se relève. Les lanières de cuir caressent, délicatement mon dos, de ma nuque à mes reins, puis mes hanches, mes fesses, mes cuisses. Je sens Sa botte venir doucement soupeser ma cage. Elle repose Son pied au sol, et dit haut et distinctement :

  • Tu comptes les coups, et tu me remercie à chaque coup!

Rien ne me sera épargné ce soir! Mais j’entends la satisfaction et le plaisir dans Sa voix, ce qui me donne un regain de force et de courage. A partir de maintenant, je fais abstraction du reste : il n’y a plus qu’Elle et moi :

  • Bien, Maîtresse!

Le martinet frappe mon dos, assez doucement :

  • Un. Merci Maîtresse!

Le deuxième coup, sur mes fesses, est à peine plus fort :

  • Deux. Merci Maîtresse!

Ouf, Maîtresse a décidé d’y aller relativement soft, me dis-je. Avant que les lanières ne s’abattent violemment sur ma cuisse droite. Je me tends, crie intérieurement, mais je m’efforce de ne rien laisser transparaitre.

  • Trois. Merci Maîtresse!

Je dis cette phrase d’une voix visiblement pas suffisamment audible à Son goût :

  • J’ai rien entendu. On recommence à zéro.

Je me suis fais avoir comme un bleu. J’ai à ce moment précis, la conviction que ma domina BDSM a prévu son coup, afin d’ajouter une petite dose d’humiliation à la situation. J’aime quand Elle me pousse dans mes retranchements, qu’Elle repousse mes limites un peu plus. Elle le sait, et Elle en joue pour Son plaisir, et pour mon bonheur.

  • Bien, Maîtresse. Je Vous demande pardon, Maîtresse.

Cinquante coups de martinet devant une bonne cinquantaine de personnes!

Le premier coup de la nouvelle série vient violemment meurtrir ma cuisse droite, précisément au même endroit que le précédent. Je me tends à nouveau, mais ne craque pas :

  • Un. Merci Maîtresse!

J’ai une voix forte et intelligible.

S’ensuivent 49 autres violents coups repartis, à peu prêt, équitablement, entre mes cuisses, mon dos, et mes fesses :

  • Cinquante. Merci Maîtresse!

Puis, plus rien. J’essaie tant bien que mal de me reconnecter au monde. J’entends ça et là des voix, sans trop comprendre ce qui se dit. Quelques secondes passent, j’entend un claquement de doigts.

Le signal. Immédiatement, je me retourne, j’embrasse Sa botte gauche, puis la droite ; je pose le front au sol :

  • Merci, Maîtresse!

 

  • Debout. Tu remets juste ton string et ton pantalon, que tout le monde puisse voir les marques sur ton dos.

Je me lève et je ne me rends compte qu’à ce moment là qu’une bonne cinquantaine de personnes a assisté à ma correction.En fait, je suis en extase, comme si mon esprit était ailleurs. Je suis heureux de l’avoir fait, heureux de voir la fierté dans les yeux de ma Maîtresse.

Je me rhabille, puis me remets à genoux, face à ma Maîtresse, qui s’est rassise sur le banc. Elle accroche la laisse à mon collier, et m’ordonne de faire un quart de tour, avec interdiction de poser les yeux au sol, afin que je croise les regards de toutes les personnes encore présentes dans la salle.

Le jeune soumis, émoustillé par le spectacle des coups de fouet!…

Maîtresse sort son téléphone de son sac. Pendant qu’Elle vaque à ses occupations, mes yeux contemplent la salle, et la vie qui reprend son cours pour le public qui s’est arrêté d’admirer mon dressage. Mais une paire d’yeux regarde en notre direction avec insistance. Un jeune homme, d’une vingtaine d’années. Je le fais remarquer à Maîtresse :

  • Qu’est ce qu’il veut, à ton avis ?, me demande t’Elle.

 

  • Je pense que c’est d’assister au dressage au martinet, qui a dû l’émoustiller quelques peu, Maîtresse.

Maîtresse retourne scruter son écran. Quelques minutes passent encore. Ensuite, Elle range son téléphone dans son sac, et aperçoit de nouveau le jeune homme, qui entre temps s’est rapproché de quelques places. Maîtresse me demande alors :

  • Mais il veut quoi ? Parler ?

 

  • Je pense que si Vous lui adressez la parole, Vous en ferez le plus heureux des soumis pour les six prochains mois. Après moi, bien sûr, vu la soirée que je vis, dis-je en souriant, et en La regardant, les yeux emplis de tendresse.

Maîtresse sourit à son tour, me caresse le visage, approche ma tête contre Sa cuisse, et caresse mes cheveux. Nouvel instant d’extase.

Ma domina BDSM autorise le jeune soumis à lui lécher les bottes!

domina BDSM

Elle repousse délicatement ma tête de Sa jambe. Elle se tourne en direction du soumis solo, pointe Son index en sa direction, et dirige Son index en direction de Ses bottes. Ni une, ni deux, le soumis solo galope en notre direction, et s’agenouille devant Maîtresse. Elle le toise du regard, et lui dit :

  • Tu nous fixe depuis tout à l’heure. Tu voulais demander quelque chose à Moi, ou à Mon chien ?

J’aime tellement quand Maîtresse m’inclut dans Sa phrase. Ce soir, nous ne faisons qu’un.

  • Non, Madame. Je voulais seulement Vous dire que j’ai beaucoup aimé regarder quand Vous avez puni Votre soumis au martinet, tout à l’heure, répond il, avec toute la candeur du soumis débutant, période que l’on a toutes et tous connu.

 

  • Mais ce n’était pas une punition, Mon chien n’a rien fait de mal aujourd’hui. C’était juste pour le plaisir. Un simple dressage.

Je le vois un peu partagé entre excitation, et crainte de la réalité, après avoir vu de loin le résultat sur mon dos et mes fesses d’un « simple dressage ». Maîtresse ne le laisse pas répondre quoi que ce soit. Elle claque des doigts en direction du sol, tout en lui disant :

  • Embrasse Mes bottes, et retourne à ta place!

Il ne tarde pas à se mettre à quatre pattes, et à embrasser les bottes de ma domina BDSM, encore et encore, non sans qu’une pointe de jalousie apparaisse en moi. C’est à moi de lécher Ses Docs, pas à un autre ! Mais je fais fi de ce ressentiment, bien que Maîtresse s’en soit aperçu. Après tout, c’est moi qui lui ai parlé du soumis solo, alors j’assume ma bourde. Une dizaine de secondes passe, avant que Maîtresse lève Sa botte, pour le repousser délicatement. Le soumis solo remercie sa Maîtresse éphémère du plaisir qu’Elle lui a donné, puis retourne à sa place. Ma jalousie aura fait un heureux, ce soir.

Direction le bar puis la piste de danse…

Après toutes ces émotions, Maîtresse se lève, et tire sur ma laisse. Nous voila repartis pour poursuivre la visite. Petit arrêt au bar pour reprendre les mêmes consommations que lors de notre premier passage. Juste une petite dizaine de minutes, pendant laquelle Maîtresse m’interroge sur mes impressions, mon ressenti, mon état d’esprit. Que dire ? Je suis aux anges. Je vis une soirée absolument exceptionnelle. Les idées sont tellement en bazar dans ma tête que j’exprime ça comme je peux.

Maîtresse quitte son tabouret, je la suis. Direction la piste de danse, toujours – ou de nouveau – sur les sons électro du DJ. Elle s’arrête au bord de la piste. Cela va aussi me faire du bien de danser un moment, pour me remettre les idées en place ; surtout que j’adore ce style de musique. Elle ne bouge pas, me regarde quelques secondes :

  • Tu veux une invitation pour te mettre à genoux ?

Fausse joie ; pas de danse pour moi ce soir.

  • Non, Maîtresse. Pardon, Maîtresse!

Je me mets à genoux. Elle se met à danser, tandis que je remarque quelques visages qui étaient présents dans la salle d’à côté lors de la correction. Maîtresse danse peut-être une quinzaine de minutes – je n’ai plus trop la notion du temps, à ce moment là – puis m’ordonne de me lever. Elle se dirige de l’autre côté de la piste. Et là, je vois que Maîtresse se dirige vers ce qui m’a complètement échappé à notre premier passage dans le club : une croix de St André. Nous arrivons devant :

  • Face au mur ; lève les bras, écarte les jambes!

 

Attaché à une croix de St André à la vue de tous les danseurs!

dominatrice BDSM

Maîtresse sort de son sac les 4 mousquetons qu’Elle n’a pas oublié de prendre avec Elle, les accroche aux bracelets de poignets et de chevilles, et m’attache les quatre membres à la croix. Elle m’a fait grâce de me faire retirer mon pantalon, dans cette salle ou 200 personnes sont en train de danser. Mais la morsure des lanières du martinet ne tarde pas à se faire ressentir. Plus question de compter, ma domina BDSM m’inflige un dressage en public. Cinq, peut-être dix minutes. Je n’ai cette fois pas eu le temps de comprendre ce qui allait se passer. Je pars de nouveau dans un autre monde. Et l’atterrissage allait être aussi abrupt que le décollage. Les coups cessent. Je sens les mains de Maîtresse libérer mes quatre bracelets de la croix.

  • Tourne toi!

Je m’exécute. Aussitôt, ma domina BDSM me rattache les 4 membres à la croix, mais face au public, et retourne danser sur la piste, esquissant un large sourire, me laissant exposé à la vue de tous. Je défaille, une fois de plus. Elle part de l’autre côté de la piste, se cache derrière un groupe de danseurs, afin que ne l’ai plus en vue. Tout se bouscule à nouveau dans ma tête : humiliation, fierté, honte, euphorie… J’essaie de garder mes yeux au sol, pour ne pas croiser le regard de qui que ce soit, mais mon esprit soumis, et l’envie de trouver le regard de ma Maîtresse m’en empêchent.

Encore dix ou quinze minutes passent, avant que Maîtresse ne revienne, sourire encore plus glorieux, et me libère de la croix. Elle s’approche de mon oreille, et me susurre :

  • Bravo mon chien. Je suis fière de toi!

Elle m’enlace fortement, me met mes mains derrière Son dos afin de faire de même, et m’embrasse longuement sur la bouche. Nous nous enlaçons un long moment. De nouveau, il n’y a plus rien, ni plus personne autour de moi. Je suis seul avec Elle.

 

A suivre

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