Soumis obéissant au service du plaisir de ma femme
Mes idées se bousculaient. J’aimais ma femme et j’étais heureux, malgré la terrible correction reçue, d’avoir enfin réussi à lui faire plaisir de cette façon si particulière et pleine de dévotion. Camille et Sophie l’avait précédée pour descendre. Je retins délicatement ma femme par la main. J’embrassais ses fesses que j’adorais tant, puis je la tournais doucement par la taille. Elle était restée nue depuis que nous avions quitté la cabine.
Je dirigeais à nouveau, de moi même, ma bouche vers son entrejambe. Elle s’assit dans le cockpit. Je lui offris à nouveau un superbe orgasme avec ma langue. Pendant que nous nous calmions, ma tête posée sur ses genoux, ses mains caressant mon visage, nous entendions les commentaires de Sophie et Camille. Elles disaient que ça y est, c’était parti, que j’y prenais goût visiblement et qu’elles attendaient leur tour avec impatience …
Ma femme sentit à ce moment un frisson me parcourir, et que je me raidis. Elle sentit immédiatement mon appréhension, et dit :
-allons mon chéri, regarde le service que les filles nous ont rendu, sois gentil, soit un bon soumis obéissant si tu ne veux pas qu’il t’arrive encore des histoires !
Je fis un tout petit oui en bougeant ma tête sur ces genoux.
-Ah c’est bien je vois que tu comprends maintenant mieux que tu as intérêt à m’obéir, non?
Je fis à nouveau le même petit signe de la tête.
Nouvelles instructions pour la soirée
-Bien nous en reparlerons tout à l’heure. En attendant termine la lessive, et sache que j’ai beaucoup apprécié le cadeau que tu viens de me faire. Tu verras vite que tu as intérêt non seulement à m’obéir, mais aussi à prendre soin de moi comme tu viens de le faire !
-Oui ma chérie ! –
-Ah ! tu as enfin retrouvé l’usage de la parole ! : dit-elle en m’indiquant du doigt de terminer la lessive, tout en se dirigeant vers l’intérieur.
Je terminais, sans entendre leur conversation, mais en entendant qu’elles riaient assez souvent puis je descendis avec elles. Ma femme me dit que ce soir j’étais dispensé de préparer le repas. Elle me dit d’aller prendre une bonne douche fraîche, et de me reposer, dans notre cabine ou ailleurs, en lisant, en dormant ou comme je voulais. Camille ajouta :
-oui il faut que tu sois en forme pour ce soir !
A nouveau, je fus paralysé. Ma femme se lança alors dans une explication. Elle savait que je l’aimais, et elle comprenait que je veuille lui réserver ce plaisir. Cependant par obéissance et par reconnaissance, puisque c’était aussi son souhait, je devais accepter ce qui m’était demandé. Elle me dit aussi qu’elle aimerait ne pas avoir à me faire fesser à nouveau ce soir vu l’état de mes fesses, mais qu’elle le ferait quand même si nécessaire, etc ..
Aux ordres de ma femme
Elle ajouta elle appréciait ma retenue à offrir cela à d’autre qu’elle, mais que si c’était à sa demande ça revenait au même. De plus en aucun cas, elle ne me ferait faire l’amour à une autre qu’elle, évidemment. Bref c’était elle qui fixait les limites. Elle dit le tout avec son sourire charmeur, sur un ton doux et agréable, mais inflexible (je me demande comment elle y parvient). Elle termina par cette incroyable petite paire de claques, tendre mais terriblement humiliante.
Les yeux rouges des larmes qui montaient, et la voix tremblante, je dis :
-oui ma chérie !
Une fois de plus, devant elles trois, souriantes et silencieuses, ma femme dit :
-très bien, alors maintenant à la douche !
Elle me donna une tapette sur les fesses, qui eut pour effet que je m’y précipite en courant, sous leurs petits rires affectueux. Je me calmais sous la douche, en comprenant que je n’avais pas d’autre choix que d’obéir à ma femme. Je pris la décision de me mettre à la tâche quand elle me le demanderait dans la soirée. Cependant, j’étais un peu inquiet de savoir si j’allais bien y arriver.
L’apéritif
En sortant, je m’assis tranquillement dans le bateau. J’étais aller donner et chercher un bisou à ma chérie, j’en avais besoin. Je pris une revue pendant qu’elles terminaient les préparatifs. Cela sentait très bon, elles étaient de bonne humeur et ne s’occupaient pas de moi, ce qui me fit du bien en cette fin de journée. Nous avons ensuite bien profité de l’apéritif à l’extérieur, avec un magnifique coucher de soleil.
Elles avaient préparé plein de bonnes choses, on se régala. J’oubliai même ma nudité, à laquelle j’étais maintenant habitué. En fait, cela n’était plus une épreuve pour moi étant données les événements. Nous avons poursuivi la soirée en dînant à l’intérieur, les esprits s’échauffaient sous l’action de la boisson. Puis, à la faveur d’un moment plus silencieux, ma femme se tourna vers moi :
-alors mon chéri, as-tu bien réfléchi ? Es-tu prêt à remercier comme elles le souhaitent Camille et Sophie ? As-tu besoin d’une nouvelle fessée pour t’y encourager ?
Elle posa sa main sur la mienne, sur la table.
-Non ma chérie, pas besoin de fessée, je t’en supplie, je vais les remercier comme tu me l’as demandé. Je te promets de faire de mon mieux et d’être un bon soumis obéissant.
Tirage au sort pour l’usage du soumis obéissant
Camille et Sophie applaudirent en criant de joie, et ma femme me prit la tête dans ses mains pour me gratifier d’un langoureux baiser. Ensuite, elle dit en me regardant droit dans les yeux, et en tenant toujours ma tête entre ses mains :
-je suis fière de toi !
-J’espère y arriver du premier coup ! : répondis-je en lui souriant.
-J’en suis sûre ! : dit ma femme en commençant à me caresser le torse et les tétons pour me faire bander.
Elle me sourit, et se tourna vers Camille et Sophie :
-bon les filles ! je crois qu’il est prêt ! Le moment est venu pour vous de tester les nouvelles compétences de mon mari, qui commence ?
-moi ! : explosèrent-elles en même temps.
Elles tirèrent au sort, et Sophie gagna. Elle se leva, et me prit par le bras pour me faire me lever aussi. Puis, à ma grande surprise, elle saisit mon sexe encore presque bandé à fond dans sa main. Elle m’entraîna vers la cabine arrière sous les rires de Camille et de ma femme, qui se leva aussi. Elles nous rejoignirent, se postant dans l’entrée de la cabine, alors que j’étais à genoux devant Sophie encore debout. Elle pointa son doigt vers ses pieds, et je me prosternai pour les embrasser.
Fessée pour le soumis obéissant
Après quelques instants, je sentis quelque chose de léger tomber sur ma tête, que je relevais donc. C’était sa culotte qu’elle avait descendue ! En relevant la tête, je me trouvais donc face à son sexe, très près. Sophie était d’origine polonaise, blonde à la peau très claire, c’était toujours une belle fille depuis toutes ces années. Je fus plaqué d’un coup contre son sexe : elle m’avait poussé avec ses deux mains pour me plaquer contre elle. Elle avait très envie et ne s’embêtait pas de préliminaires.
-Embrasse-moi !
Je m’exécutais sans difficulté. Debout son sexe n’était pas encore ouvert. Elle commença à onduler doucement. Puis elle s’assit en m’attrapant par le cou entre ses deux pieds. Elle m’attira, ainsi, vers elle en pliant ses belles jambes, jusqu’à saisir ma tête entre ses mains. Elle tira avec force ma tête entre ses jambes, qu’elle avait gardé écartées, vers son sexe ouvert. Je résistais alors en disant :
-doucement !
Alors elle dit :
-Camille !
Je sentis, tout de suite, une forte claque sur chacune de mes fesses. Elles avaient tout prévu ! Je criais « aïe » de douleur et de surprise, elle me plaqua à nouveau la tête contre son sexe. Je sentais la présence de Camille derrière moi, très proche. J’entendis ma femme me lancer un encourageant :
-allez mon chéri, vas-y !
Au service de la copine de ma femme
Puis je lâcha prise, et me mis à embrasser puis à lécher le sexe de Sophie déjà trempé. Elle était très excitée, et me fit pourtant ralentir, même faire quelques petites pauses, pour faire durer son plaisir. Après un bon moment où elle me faisait faire ce qu’elle voulait, posant parfois ses pieds sur mes épaules ou sur ma tête, elle se mit à onduler fortement son corps. Cela devenait très chaud, elle gémissait de plus en plus fort, puis elle explosa de plaisir en criant :
-Oh oui, Nicolas, Oh oui, Nicolas!
Elle s’écroula, inerte, sur le lit de la cabine. Tout en restant à genoux, je me redressai, et elle garda chacune de ses jambes posées sur chacune de mes épaules. Derrière moi, les commentaires élogieux, et les « alors Sophie » interrogateurs, se faisaient entendre. Elle répondit que ça avait été vraiment super bon, et qu’on devrait recommencer. Cependant, Camille n’oublia pas de rappeler à sa copine que c’était chacune son tour. J’avais l’impression d’être un jouet qu’elles se disputaient …