Deux semaines plus tard, j’étais « convoqué » chez elle dès le mercredi car c’était les vacances scolaires. J’étais loin de me douter que j’allais vivre cinq jours mémorables, les pires de ma vie de soumis.
Un cadeau pour un bon chien soumis!
Revoir ma Maîtresse, après deux semaines, me redonnait le trac que j’avais connu au début de notre relation.
Elle m’ouvrit la porte, pieds nus, dans un pyjama en satin, rayonnante.
- Bonjour!
- Bonjour Maîtresse!
Je me mis immédiatement à genoux pour déposer un baiser sur chacun de ses pieds. Ensuite, je filai dans la salle de bains.
Je rejoignis Maîtresse qui me mit mon collier puis elle me dit,
- J’ai un cadeau pour mon chien soumis !
Je me demandai bien de quoi il s’agissait et je craignais le pire.
Maîtresse partit dans la chambre et ramena un magnifique plug-queue !
- Un chien sans queue, ça n’existe pas, et même si cette queue est en crin de cheval, ça fera l’affaire !
Une humiliation de plus, pensai-je, mais j’étais surtout inquiet de la taille du plug car j’étais plutôt sensible de ce côté-là.
Maîtresse mit un peu de lubrifiant sur son doigt et me pénétra pour la première fois. Je n’aimais pas cette sensation mais je subis en silence. Enfin, elle retira son doigt et me pénétra avec le plug lubrifié.
Je ne pus m’empêcher de gémir, mais une fois en place, cela devint supportable.
- Ah je vais me régaler quand je vais te voir marcher et courir à quatre pattes avec ta queue!
Elle avait probablement envie de s’amuser en m’humiliant car une balle apparut dans sa main et elle la lança dans le salon.
- Va chercher!
De suite, je m’exécutai. A quatre pattes, je ramassai la balle avec ma bouche et lui rapportai comme un bon toutou soumis.
Bien sûr, elle la lança à nouveau.
- Allez, plus vite!
Je fis au plus vite malgré les genoux qui me faisaient mal. De plus, le plug me gênait et la queue battait l’arrière de mes cuisses à chaque mouvement, me rappelant le ridicule de ma position.
Obligé de me comporter comme un bon chien soumis!
Maîtresse souriait, apparemment le spectacle lui plaisait.
- T’es un bon chien!
Et elle me caressa la tête.
- Tu veux la « babale »?
Elle mit la balle un peu en hauteur.
Je compris que je devais me dresser sur les genoux pour essayer de l’attraper avec ma bouche.
- Et les pattes, et la langue, et l’aboiement, tu veux que je sorte le martinet ?
La seule pensée d’être fouetté me motiva pour être le plus convaincant possible. Aussi, je mis mes deux mains au niveau de ma poitrine, coudes collés au corps, poignets cassés, paumes vers le sol, exactement comme les pattes d’un chien. Ensuit, je tirai la langue en haletant bruyamment, et j’aboyai dès qu’elle remontait la balle pour me narguer.
Puis elle lança la balle à nouveau et je lui rapportai aussi vite que je pus.
Bien sûr, j’eus droit au même scénario deux fois de plus.
Je ne pensais plus, je n’étais plus moi-même, j’étais vraiment devenu son chien soumis.
- T’es un bon chien, allez, fini de jouer, c’est l’heure de manger !
Maîtresse partir à la cuisine et revint avec son assiette de riz aux crevettes et ma gamelle remplie du même contenu.
Elle était belle dans sa tenue d’intérieur, naturelle, sans artifices. Moi, j’étais nu à ses pieds, la tête dans ma gamelle, mangeant bruyamment pour aspirer la nourriture. Cependant, je me sentais à ma place, heureux dans cette position, dans ce quotidien ordinaire d’homme soumis, dont j’avais si souvent rêvé.
Après le repas, utilisé comme WC humain
Le repas fini, Maîtresse me laissa un long moment en attente, le visage maculé de nourriture, probablement pour que je me sente sale et soumis.
Puis j’eus le droit à un débarbouillage avant d’être tiré vers le siège WC. Je ne savais que trop bien ce qui m’attendait.
Maîtresse s’alluma une cigarette. Moi, j’avais les yeux rivés sur son sexe et son anus, prêt à ouvrir la bouche, mais cette vue m’excitait toujours autant. D’ailleurs, Maîtresse remarqua mon érection et, s’en amusa avec son pied nu.
Ensuite, elle se mit à uriner. Un flot, que je savais parfaitement maîtriser dorénavant, coula dans ma gorge sans que ma bouche ne se remplisse.
Enfin, son anus s’ouvrit et le bout marron de son caca apparut. Au fur et à mesure qu’il apparaissait, je le voyais grossir et me demandait s’il ne serait pas trop long.
Finalement, je le reçus dans ma bouche, et bien qu’il fût au fond de ma bouche, une partie dépassait de ma bouche.
Maîtresse aimait me regarder ainsi en me disant que j’avais l’air dégoûtant, tout en me laissant croire que j’allais devoir le manger !…
Mais cette fois- là, elle sortit de ma bouche tout le contenu et partit aux toilettes.
Je fus surpris par sa clémence et j’étais soulagé de ne pas avoir à en manger un morceau !
A la disposition de ma Maîtresse pendant la soirée
Ce soir-là, Maîtresse ne me fouetta pas, elle me garda à ses pieds tout en regardant la télé. Au cours de la soirée, elle se leva subitement, baissa sa culotte de pyjama, se pencha et dit,
- Bouffe-moi le cul!
Bien sûr, je me fis un plaisir de lui obéir car je vouais une véritable admiration pour son fessier.
- Humm, j’aime sentir ta langue chaude, vas-y enfonce-la!
Quelques minutes plus tard, elle se releva et dit,
- ça suffit!
Puis, elle se rassit.
J’adorais être ainsi à sa disposition et faire tout ce qui lui passait par la tête, et ce malgré la frustration que je ressentais de bander comme un fou pour rien.
En fin de soirée, juste avant d’aller se coucher, je l’entendis me dire :
- Tu as peut-être oublié que je te voulais plus efficace comme WC humain… et j’ai décidé de t’entraîner… Alors, je vais mettre dans ta bouche tout ce que j’en ai retiré tout à l’heure. Tu auras toute la nuit pour le déguster, le manger, et souffrir pour mon plus grand plaisir!
J’étais ahuri. C’était cauchemardesque. Je me suis souvenu que la crotte en question dépassait de ma bouche, j’avais envie de pleurer.
Joignant le geste à la parole, Maîtresse alla chercher la maudite assiette et mit dans ma bouche toute sa crotte froide, puis la poussa au fond avec ses doigts pour que je puisse refermer ma bouche.
Ensuite, elle scotcha ma bouche, faisant même le tour de ma tête pour que le scotch tienne ma bouche parfaitement fermée.
J’en eus des hauts le cœur mais je ne pouvais m’échapper.
J’étais à genoux face à elle et elle me contempla.
Obligé de manger la crotte de ma Maîtresse
Je voyais dans son regard tout le sadisme qui l’animait. Elle prenait un plaisir évident à me voir les yeux exorbités, rouge, prêt à vomir, l’implorant du regard.
L’excitation était à son comble car elle écarta les cuisses et commença à se caresser.
- Tu la sens se diluer dans ta bouche ?
J’acquiesçai avec un geste de la tête de haut en bas. Mais j’avais envie de vomir et je m’asseyais parfois subitement pour que « ça passe », un réflexe sans efficacité, puis je me remettais à genoux.
Maîtresse se délecta du spectacle un long moment tout en se caressant gentiment.
C’était envahissant pour moi de souffrir ainsi et d’être le témoin de son indifférence, pire, de son plaisir sadique.
- Tu vas bouffer ma merde toute la nuit, et demain matin, ta bouche sera vide et je serai fière de toi… »
J’espérais au fond de moi qu’elle dise ça pour me faire peur mais qu’elle me libère un peu plus tard, mais ce ne fut pas le cas.
Congédié après une nuit cauchemardesque!
Je passai une nuit abominable. Cela me prit des heures d’efforts, mais je vins au bout de ma tâche. Quand Maîtresse se réveilla le matin et arracha le scotch pour vérifier l’intérieur de ma bouche, elle eut le plaisir de découvrir une bouche vide.
- J’imagine que ça été difficile ?
Je secouai la tête de haut en bas vigoureusement pour lui faire comprendre à quel point ce fut fastidieux. Ainsi, j’ai cru devoir arracher le scotch et aller tout cracher un bon nombre de fois.
« Je sais. En effet, je ne me suis pas endormie tout de suite hier soir. Je t’ai observé discrètement et ça m’a procuré un plaisir intense de te voir autant souffrir parce je l’avais décidé.Ce pouvoir me comble. Maintenant, tu vas te laver, te rhabiller et partir te promener ou te reposer je ne sais où car j’ai envie de me détendre et de me préparer pour ma soirée. Tu reviendras vers 18h et je t’expliquerai ce que j’ai décidé pour toi.
J’obtempérai et la quitta pour me réfugier dans une chambre d’hôtel bon marché et dormir toute la journée.
A suivre