Virginie, dominatrice sévère? : Les retrouvailles (6)

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Virginie, dominatrice sévère? : Les retrouvailles (5)

 

 

La semaine fut à l’image de cette première journée, longue, sans nouvelle de Virginie, sa nouvelle Maîtresse dominatrice, qui ne répondait pas quand Alain appelait, fatigante. La cage de chasteté était de plus en plus pénible à supporter et le fait de ne plus pouvoir se masturber provoquait un manque et une grande frustration.

Enfin un SMS de sa Nouvelle Maîtresse Dominatrice!

C’est finalement le vendredi soir que sa nouvelle dominatrice lui envoya un sms vers 22h.

  • Fourre-toi le gode et viens attendre mes ordres dans la rue devant chez moi!

L’ordre était simple et clair et Alain se dépêcha d’obéir aux ordres. Il prit une douche et s’enfourna le gode dans l’anus, ce qui fut difficile et douloureux. Arrivé devant l’immeuble où habitait Virginie, il lui envoya un sms pour signaler sa présence et attendit sa réponse.

Mais il n’y eut aucune réponse et Alain attendit durant des heures dans la rue ce qui fut très inconfortable entre le froid, le gode et le fait de rester debout malgré la fatigue. La nuit fut particulièrement longue et froide et ce n’est pas du tout émerveillé qu’Alain vit le soleil se lever.

Vers 9h du matin il reçut un message de Virginie: « Va chercher des croissants et viens me préparer mon petit déjeuner ».

Soulagé d’avoir enfin des nouvelles, il se précipita dans la première boulangerie qu’il voyait et acheta plusieurs croissants. Ensuite, il se présenta devant la porte de chez Virginie et sonna. Il entendit sa voix dire « c’est ouvert » depuis la chambre. Il entra et vit sa superbe dominatrice dans son lit par la porte ouverte de sa chambre qui donnait sur l’entrée.

superbe dominatrice

Petit déjeuner au lit pour Virginie!

Elle lui sourit.

  • Va dans la cuisine et prépare moi un café et un jus d’orange, dit-elle. Tu trouveras un plateau pour m’apporter le tout. Dépêche toi.

 

  • Oui Maître.

Il posa son manteau dans le salon et alla dans la cuisine pour tout préparer. Un peu plus tard, il entra dans la chambre un plateau à la main qu’il déposa sur le lit de Virginie à ses côtés. Il s’agenouilla au bord du lit et attendit. Virginie se redressa et prit la tasse de café.

De l’autre main elle caressa le visage d’Alain, glissant ses doigts sur ses lèvres qu’Alain se mit naturellement à lécher.

  • Je t’ai manqué ? demanda-t-elle

 

  • Oui Maître. Beaucoup, répondit Alain.

 

  • Pauvre petite chose, dit Virginie toujours souriante. Montre-moi comme tu es beau avec ta cage et ton gode.

Alain se déshabilla et se tint debout au bord du lit. Virginie prit ses boules dans sa main.

  • Tu dois être bien rempli et très excité, dit-elle.

 

  • Oui Maître, dit Alain.

 

Elle tâta le bout du gode qui ressortait de son anus.

  • Bien, dit-elle. A plat ventre!

Alain s’allongea sur le ventre et attendit tandis que Virginie terminait son petit déjeuner. Après avoir terminé son café et avoir mangé un croissant, Virginie sortit du lit et posa ses pieds sur le dos d’Alain. Elle portait une nuisette courte en satin noir. Elle se leva et resta ainsi sur le dos d’Alain qui sentait son excitation monter encore plus.

  • Rapporte le plateau et rejoins-moi dans la salle de bain avec un bol!, ordonna-t-elle.

 

Une offrande de sa Maîtresse Dominatrice

Puis elle se dirigea vers la salle de bain. Alain se releva et prit le plateau pour le ramener dans la cuisine. Il trouva rapidement un bol dans un placard et entra avec dans la salle de bain dans laquelle Virginie se tenait fièrement, les jambes légèrement écartées, magnifique et féminine. Elle lui fit signe de s’agenouiller devant elle. Il s’exécuta et tendit le bol vers elle.

Le visage d’Alain était proche du sexe de Virginie ce qui augmenta encore plus son excitation. Virginie releva sa nuisette, révélant son entre jambe à Alain qui se sentait au paradis.

  • Tiens le bol entre mes jambes, dit-elle.

Alain approcha le bol entre les jambes de Virginie qui urina à l’intérieur remplissant copieusement le bol. Alain était plus excité que jamais. Quand elle eut terminé, Virginie passa une lingette entre ses jambe pour se nettoyer.

  • Pose le bol par terre, devant moi, dit-elle.

Alain déposa le bol.

  • Maintenant lappe ce cadeau merveilleux que je te fais!, dit-elle. Et n’en laisse pas une goutte!

Alain se cambra vers le bol et plongea ses lèvres pour aspirer l’urine de Virginie. Il se dépêcha d’avaler car le goût était très désagréable mais son excitation était toujours plus grande. Il but l’urine jusqu’à la dernière goutte et lécha même le bol pour s’assurer de ne pas en perdre.

  • C’est très bien, dit Virginie.

 

  • Merci pour cette offrande Maître, dit Alain. C’est un honneur Maître.

 

  • Vas faire le ménage pendant que je fais ma toilette!, dit elle.

 

  • Oui Maître, dit-il en s’emparant du bol.

 

  • Et dépêche-toi, dit-elle. J’ai prévu tout un programme pour aujourd’hui.

Puis elle referma la porte derrière lui. Alain alla dans la cuisine et commença par faire la vaisselle.

 

Virginie, superbe en tenue de cavalière!…

Après avoir terminé le rangement dans la cuisine, Alain alla s’installer à genoux dans le salon pour attendre son Maître. Virginie apparut enfin. Elle portait une tenue de cavalière, un pantalon moulant blanc avec une veste près du corps. Sa Maîtresse dominatrice tenait dans ses mains une longue lanière de cuir et des gants de cuir. Elle s’installa sur le canapé.

  • Va chercher mes genouillères dans le placard et la boîte qui est posée à côté.

Alain galopa à quatre pattes dans la chambre et ouvrit le placard pour retirer les genouillères en cuir noir. Il trouva facilement une boîte juste à côté et se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir dedans. Il rapporta le tout à Virginie et se tint à genoux devant elle.

  • Et bien ne reste pas planter là et mets moi mes bottes, dit-elle en enfilant ses gants.

Alain était surexcité et ouvrit la fermeture de la botte droite et enfila la botte sur la jambe de Virginie. Il fit la même chose pour l’autre jambe. Virginie fit claquer ses talons au sol.

  • Lèche ordonna-t-elle.

dominatrice

Alain plongea sa langue sur le cuir de sa botte immédiatement. Virginie l’observait en souriant. Elle faisait bouger son pied de haut en bas et regardait Alain s’adapter à ses mouvements avec sa langue. Quand elle pointait son talon, il le suçait, quand elle relevait son pied, il léchait la semelle qui se présentait à lui.

  • Tu aimes lécher mes bottes, dit-elle.

 

  • Oui Maître, dit Alain. C’est un honneur pour moi.

 

  • Tu penses mériter un tel honneur ? demanda-t-elle.

 

  • Je ne sais pas Maître répondit Alain. Vous êtes seule juge Maître.

 

  • Oui, dit-elle. Toi tu es là pour obéir.

 

  • Oui Maître.

 

  • Tourne-toi que je vois tes boules!, dit-elle.

 

Tenue complétée par des éperons en fer avec au bout une petite étoile en fer et aux bouts pointus!

Alain se déplaça en montrant ses fesses à Virginie, écartant les cuisses pour qu’elle puisse accéder facilement à ses boules qui pendaient. Virginie pris la lanière de cuir et l’enroula autour de ses boules puis fit un noeud serré. Elle tira légèrement sur la lanière pour vérifier que tout était bien attaché. Alain eut une réaction au moment où Virginie tira sur la lanière, entraînant ses boules avec.

Elle en profita pour faire bouger le gode qui sortait de son anus tout en tirant par à-coup. Alain se mit à lécher plus frénétiquement les bottes de Virginie pour compenser la gêne et pour se montrer obéissant et soumis. Virginie lui donna un coup de sa botte pointu sur le visage.

  • Ca suffit, dit-elle. Va chercher ton collier et ta laisse!

Elle posa la lanière sur sur dos et Alain se dépêcha d’aller chercher la laisse et le collier puis revint face à elle. Virginie prit le collier qu’elle lui enfila et serra fermement autour de son cou puis attacha la laisse au collier.

  • Bien, dit-elle. Il est temps d’ouvrir la boîte pour que tu vois la belle surprise que je te réserve.

Alain prit la boîte et l’ouvrit. A l’intérieur, se trouvaient des éperons en fer avec au bout une petite étoile en fer et aux bouts pointus. Il fut excité à la vue de ces beaux éperons mais, également, inquiet de leurs capacité à faire souffrir.

  • J’ai trouvé ça sur internet et je me suis dit que cela compléterait à merveille ma tenue pour te dresser, dit-elle en souriant. Maintenant tu peux me les mettre.

Prêt pour le dressage et un abandon total à sa Dominatrice?

Alain s’appliqua pour attacher les éperons sur les bottes de Virginie, s’assurant qu’ils tenaient bien. Virginie se leva et fit quelques pas pour admirer le résultat. Le bruit du talon qui claque sur le sol avec celui des éperons ainsi que la démarche pleine d’assurance de Virginie fascina Alain qui désirait plus que tout ramper à ses pieds. Son sexe gonflé dans la cage de chasteté le démangeait fortement. Il était rouge d’excitation.

Virginie se tint devant lui les mains sur les hanches et les jambes légèrement écartées, souriante.

  • Comment me trouve-tu ? demanda-t-elle

 

  • Vous êtes merveilleuse, magnifique, divine Maître répondit-il avec émotion.

 

  • Alors prosterne toi donc!, dit-elle. Je sais que tu le désires tant.

 

  • Merci Maître Dit Alain en se prosternant au sol devant elle, son visage tout proche de la pointe de sa botte.

Virginie s’avança un peu et colla son éperon sur le visage d’Alain.

  • Es-tu prêt pour ton dressage?, demanda Virginie.

 

  • Oui Maître, répondit Alain sans hésiter.

 

  • Es-tu prêt à t’abandonner totalement à moi?, demanda-t-elle

 

  • Oui Maître.

 

  • Je vais faire de toi ma chose, dit-elle. Tu vivras par moi et pour moi car c’est ton rôle, ta place en ce monde.

 

  • Oui mon Maître dit Alain.

 

  • Bien, dit-elle. Je n’en attendais pas moins de toi. Tu es trop faible pour être autre chose que ma larve. Tu n’es pas un homme mais une chose que je vais modeler. Tu seras mon chef d’oeuvre, le symbole de ma supériorité.

 

  • oui Maître.

 

Pose d’un baillôn boule!

 

Virginie s’éloigna et revient avec la cravache et le baillôn boule.

– A quatre pattes!, ordonna-t-elle.

Il obéit. Virginie inséra le baillôn boule dans sa bouche et le serra au maximum. Alain ne pouvait plus bouger sa langue et se sentait presque étouffer avec cette énorme boule dans sa bouche. Il mit un peu de temps à reprendre sa respiration tout en ne pouvant s’empêcher de baver sur la boule. Pendant ce temps, Virginie s’empara de la laisse et tira fermement dessus.

  • Assis!, dit-elle avec fermeté.

 

Alain se mit sur ses genoux.

Virginie posa sa semelle sur la lanière de cuir et s’assura qu’elle était tendue.

  •  A quatre pattes!, dit-elle.

Alain tenta de se mettre à quatre pattes mais fut stoppé par la douleur, ses boules retenues par la lanière de cuir. Voyant qu’il stoppait dans son élan, Virginie lui donna un coup de cravache.

  • J’ai dit à quatre pattes!, dit-elle d’un ton sévère.

Alain tenta doucement de se mettre à quatre pattes mais la lanière retenait toujours ses boules. Virginie le cravacha à nouveau et il fit l’effort de tirer lentement pour essayer de se redresser et de se tenir à quatre pattes. La douleur se faisait de plus en plus forte à mesure qu’il tirait en avant. Virginie donna alors un coup de cravache sur ses boules pour le stimuler. Il poussa un cri de douleur étouffé efficacement par le baillon boule dans sa bouche et se recroquevilla sur lui même.

 

Prêt à obéir et à souffrir pour sa Maîtresse?

Elle enfonça alors son talon sur sa main tout en le cravachant énergiquement.

  • Obéis, larve! dit-elle.

La douleur faisait souffrir Alain qui avait du mal à respirer et à réfléchir. Il se décida à se redresser, tirant sur la lanière avec ses boules et finit après de nombreux effort à se tenir à quatre pattes un peu avachi sur lui même. Virginie retira son talon de sa main et laissa glisser la lanière sous sa semelle. Alain reprit ses esprits en soufflant à travers la boule dans sa bouche. La bave dégoulinait. Il était rouge et boursouflé à cause des efforts et de la douleur. Virginie lui tournait autour tandis qu’il reprenait ses esprits.

  • Tu dois obéir à mes ordres quels qu’ils soient, dit-elle calmement. Sache que ce sera toujours plus douloureux de ne pas obéir. Tu dois apprendre à accepter tous les supplices pour moi. Tu dois souffrir pour moi et tu dois en être reconnaissant. As-tu compris ?

Alain fit oui de la tête.

 

A suivre

 

 

 

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