Soumis à Maîtresse L, la traite(1)

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Depuis que Madame L. m’a prise en main, je suis devenue sa chose, son petit toutou soumis sa salope entièrement soumise. J’ai endossé le rôle d’une chienne entièrement dévouée à  sa Maîtresse, prête à tout pour satisfaire ses envies, ses caprices, son besoin de se défouler et de concrétiser ses fantasmes pervers les plus fous, en transgressant les conventions traditionnelles.

Réduit à l’état de « petite catin » par Maîtresse L…

 

Dans un premier temps, connaissant mon attirance très forte pour me féminiser, elle a tout de suite accepté mon penchant secret et en est même devenue l’instigatrice. Dès que je suis en sa présence, elle transforme donc sa dépravée docile, en une femelle habillée de manière très sexy, s’affichant devant elle comme une trainée en chaleur.

Selon les jours ou son humeur, elle me fait revêtir diverses tenues: une mini-jupe en cuir, tellement courte qu’elle laisse apparaitre le haut de mes bas noirs et la partie blanche de mes cuisses. Un joli tanga ou un shorty en dentelle ou une culotte fendue complètent ma tenue, ainsi que des escarpins à talons hauts. En dessus de la ceinture, un petit bustier vient recouvrir le body qui me colle à la peau ou la guêpière qui me comprime et affine ma taille. A la maison, elle ne m’autorise souvent qu’une nuisette très courte, lui permettant de passer la main dessous, pour  vérifier ou flatter mon cul de petite pute …

Car, oui, elle m’a littéralement réduit au statut et à l’état de « sa petite catin », qu’elle dresse et commande pour son plaisir et je dois bien l’avouer, pour le mien, car je m’épanouis dans cette tranche de vie qu’elle m’offre régulièrement.

Il faut dire que dans sa tenue de Maîtresse, tantôt revêtue d’une combinaison en latex,  moulante et sexy qui lui colle à la peau, tantôt dans la tenue d’une femme bourgeoise et bcbg, elle m’éblouit et m’hypnotise grâce à sa beauté et son charisme naturel. Lorsque ses yeux clairs comme de l’eau de roche me fixent, me détaillent et me pénètrent de leur beau regard bleu, je fonds complètement et je m’abandonne entièrement à sa volonté et à ses ordres.

…et j’aime m’abandonner entièrement à sa volonté!

 

Maîtresse

 

Du bout de sa cravache, elle relève tout doucement le bord festonné de ma lingerie, et le cuir vient effleurer mes parties intimes, allant de mes fesses rebondies jusqu’à mon entrejambes parcouru de frissons et de picotements. Souvent la douceur et la précision de ses doigts remplacent le cuir et glissent sur ma peau pour baisser les bretelles de mon soutien-gorge ou de ma nuisette. Mes tétons deviennent alors totalement accessibles et il suffit qu’elle les frôle pour que les deux bourgeons de chair s’éveillent et durcissent tout en prenant du volume.

Maîtresse les saisit alors délicatement entre pouce et index et les fait rouler sous ses doigts, avant de les étirer avec douceur et de les pincer délicatement. Je suis particulièrement réactif à cette caresse toute féminine. Une chaleur descend le long de ma colonne vertébrale, une tension s’installe dans mon bas ventre et des envies irrésistibles assaillent mon sexe.

Maîtresse L. sait parfaitement dans quel état de soumission sensuelle, le travail de mes petits seins me fait basculer. Mes gémissements et contorsions en sont la preuve. Et elle ne se prive pas de me le faire remarquer:

  • On dirait que ma poupée est toute excitée de se faire tripoter le bout des mamelles. Tu es une vraie petite pute, ma chérie. Je suis certaine que si je vérifie ton sexe de salope, il va être mouillé et trempé. Et je ne parle pas de ton clito, il a dû doubler ou tripler de volume…

Et mettant sa menace à exécution, elle vient avec un doigt, soulever le bord de ma culotte, de laquelle s’échappe mon membre rouge, gonflé et tendu sous l’effet magique du travail de mes tétons.

  • J’en étais certaine, Isabelle. Un vrai clito de nymphomane et de salope… Je vais devoir m’occuper de toi !

C’est l’heure de ma traite!

Comme elle le fait régulièrement, Maîtresse L. s’adresse à moi de  sa belle voix sûre qui n’autorise aucune tergiversation:

  • Isabelle, c’est l’heure de ta traite. Je suis sûre que ton sexe est en feu, belle salope. Et que tu regorges de jus à évacuer. Installe-toi dans la position habituelle !

Simplement vêtue d’une nuisette fleurie sexy, de bas couleur chair, d’une culotte rose satinée, fendue devant et derrière, et de chaussures à talons vertigineux, je ne fais pas attendre ma maîtresse. Je connais par cœur le rituel de ma traite et je m’en réjouis d’avance, même si je dois abandonner à ma dominatrice, toute décision sur le temps, le rythme et la façon de me vider complètement.

Je me positionne donc comme prévu, à quatre pattes sur le canapé ou le lit. Le visage face au mur, je laisse suffisamment de place derrière moi pour que Maîtresse L puisse s’assoir de façon à être à la bonne hauteur pour pratiquer mon « milking ».

Elle commence par me flatter les fesses, pour en apprécier la rondeur, la souplesse et la fermeté. Très vite, une première claque sonore s’abat sur mon postérieur joufflu, suivi d’une seconde aussi sonore:

  • Dis donc, Isa, quelle est cette posture de pucelle que tu adoptes? Tu sais très bien que tu dois toujours écarter tes cuisses en grand, lorsque tu te présentes à moi. Et cambre-toi, creuse tes reins et fais-moi pointer ton cul de petite salope. Montre-moi comment tu es chienne.

 

 

Fessé par Maîtresse L à cause de ma mauvaise position!

 

Je m’exécute mais peine à satisfaire Madame L. par la position adoptée. Du coup, les gifles sur mes fesses se succèdent au rythme d’une véritable fessée, pas trop forte mais suffisante pour faire rougir mon postérieur. Lorsqu’enfin, ma cambrure est jugée satisfaisante, la fraicheur des doigts de Madame vient apaiser la chaleur intense et la brûlure qu’endurent mes fesses et mes cuisses.

  • Et bien voilà, quand tu y mets de la bonne volonté, tu y arrives. J’adore te voir comme ça, comme une roulure qui s’offre. Maintenant, tu poses tes mains sur tes fesses et tu les écartes, pour que je voie ton petit trou et ta raie. J’espère que tu es parfaitement rasée, tu sais que je n’apprécie guère les poils.

Je redoute cet instant. Je sais parfaitement que je n’ai pas eu le temps de jouer du rasoir aujourd’hui pour plaire à ma Maîtresse et cela risque de ne pas passer inaperçu. Et en effet:

  • Je ne te félicite pas Isabelle. Te présenter pour ta traite dans cet état. Ce n’est pas digne de l’apparence de la salope sexy que j’essaie de te donner. Tu mériterais que je te laisse sans te traire pour plusieurs jours, avec interdiction de te toucher. Cela te plairait?
  • Oh non, Maîtresse, s’il vous plait. J’ai vraiment besoin de ma traite. Je ferai tout ce que vous voudrez.

Madame L. réfléchit un instant, puis:

  • Il y a peut-être une solution, mais tu dois l’accepter sans rechigner. Je peux transformer ta punition, en prenant en main ton épilation intime. Pas en la réalisant moi-même, mais en confiant cette tâche à une amie à moi, esthéticienne de son métier. Je peux prendre rendez-vous avec elle pour qu’elle t’épile, en ma présence bien entendu et selon mes indications. Alors, choisis, c’est soit cette solution, soit l’abstinence totale pour une période indéterminée.
  • J’obéirai à tous vos ordres Maîtresse. Je vous laisse décider pour moi.
  • Très bien, ma chienne, je vais l’appeler tout de suite. Je ne l’ai pas précisé, mais pour aller chez elle, tu seras bien sûr en tenue d’homme, mais en portant dessous la lingerie que je t’aurais sélectionnée.

 

Rendez-vous pour une épilation juste après ma traite!

Madame L. n’attend pas de réponse de ma part. Elle compose un numéro sur son portable et s’entretient avec son amie, sans ne plus faire cas de moi.

  • Vanessa, c’est moi. Je t’appelle, car j’ai besoin d’un rendez-vous assez urgent pour une épilation. Pas pour moi, mais pour ma « boniche » soumise, tu sais Isabelle dont je t’ai déjà parlé. Imagine toi qu’elle s’est présentée à moi aujourd’hui, avec ses parties intimes négligées. J’ai donc décidé que j’allais lui montrer ce qu’est vraiment une épilation nette et parfaite pour une femelle de son espèce. Quand puis-je emmener cette petite catin? Pas avant après-demain? et bien d’accord, nous serons là à l’heure. Tu verras, elle est très docile…

Elles échangent encore quelques plaisanteries et rires à mon sujet avant de raccrocher et que Maîtresse L me dise:

  • Dans deux jours donc. Mais je ne veux pas que tu arrives au rendez-vous trop excité, je vais te traire pour te soulager.

Et ma traite rituelle débute. Madame L glisse ses mains le long de mes cuisses. Ses doigts trouvent l’ouverture de la culotte fendue et parcourent tous les replis de l’aine et du sillon fessier, puis se dirigent vers le lourd paquet pendant entre mes jambes. La paume de sa main empoigne les couilles encore fripées et détendues qui se balancent sous mon corps au gré des mouvements que m’impose ma dominatrice. Elle saisit entre le pouce et le majeur, la base de mes testicules et enserre la chair flasque comme dans un anneau. Le tout avec délicatesse et dextérité, pour ne pas brusquer les deux boules fragiles. Celles-ci apparaissent alors, rondes, rebondies, rouges, presque obscènes tellement la pression des deux doigts les comprime et les met en évidence.

 

Début de ma traite!

De son autre main libre, Maîtresse vient s’approprier la tige de chair qui pend mollement la tête en bas. Habilement, sa main s’entoure autour de la colonne et commence à en faire précautionneusement coulisser la peau pour dénuder en totalité le gland, puis le recouvrir de sa peau rose. Maîtresse L adopte un rythme de traite délibérément lent.

Elle sait parfaitement que plus la traite sera lente, désirée, et retenue, plus mon plaisir sera grand et la vidange, totale et complète.

  • Regardez-moi ce gros pis, dit-elle, tout en continuant ses mouvements lents. Je suis certaine qu’il va nous donner du bon lait tout à l’heure. J’adore me transformer en fermière pour extraire tout ce bon jus de ma salope. Je vais te vider complètement, jusqu’à la dernière goutte et vais récolter ce bon produit pour une utilisation peu traditionnelle.

Ce faisant, une fois que mon membre a grossi et allongé entre ses doigts, Madame L. tout en me décrivant ce qu’elle voit et ce qu’elle me fait, poursuit le processus en alternant les mouvements de va et vient verticaux avec des périodes de pauses, où sa main devient inactive. Elle commente ce procédé ainsi:

  • Je m’arrête, car je n’ai pas envie que ta tétine devienne si dure que tu ne puisses pas te retenir. Et aussi, parce que quand elle est encore à moitié rigide, je te maitrise totalement. Je trais cette grosse mamelle, pas pour qu’elle gicle, mais pour qu’elle laisse écouler son petit lait tout en douceur, uniquement quand je le déciderai, comme une vache qui déverse sa production dans le seau…

 

Complètement à la merci de Maîtresse L!…

Et effectivement, les moments de temporisation rendent ma queue à moitié flasque. Et lorsque la traite reprend tout en douceur, mon pis se rallonge et pend entre mes jambes, sans devenir vertical et dur. La sensation est complètement étrange, à mille lieux d’une masturbation classique.

Je sens tout mon corps, concentré sur ce bout de chair mis à la disposition de ma Maîtresse qui me manipule et me tient à sa merci.  Je suis submergée de sensations excitantes, de désirs refoulés et frustrés par la lenteur et les interruptions savantes des va et vient. Un plaisir différent de d’habitude se propage dans tout mon bas ventre et irradie jusque dans mon cul.

Puis brusquement, Madame L. qui tient toujours dans sa main gauche la base de mes couilles pour les exhiber sur le côté, dirige ma queue avec sa main droite, complètement en arrière, positionnant mon membre à l’opposé de sa position habituelle lors de l’érection. Le gland regarde vers elle et elle accroit ainsi encore davantage sa prédominance sur la tige de chair qui est dorénavant à l’horizontale entre mes cuisses.

  • Il est rougeoyant, ton clito Isabelle. Des gouttelettes en sortent malgré toi, preuve de ton excitation. Mais ne compte pas sur moi pour accélérer la cadence, espèce de salope. Tu juteras ton lait lorsque je te le dirai.

La sensation est inouïe, d’autant que je n’ai plus conscience du temps que prend ma traite. Je suis sur un nuage, avide de jouissance, et désirant en même temps que ce moment ne s’arrête jamais.

 

…mais sensation inouïe et grand moment de jouissance!

Au bout de je ne sais combien de minutes, Maîtresse rajoute un plaisir ou une contrainte supplémentaire à ma jouissance. Elle glisse sur mon anus puis dans mon fondement, un petit plug qu’elle a humecté de lubrifiant. Avec douceur et petit à petit, il pénètre mon cul et vient se positionner presque naturellement sur ma prostate, qu’il entreprend de masser avec douceur.

Les sensations que je ressens évoluent encore à cause de ce nouvel instrument inquisiteur. Le plaisir ne se concentre plus uniquement sur mon clito toujours trait par intermittence ; une chaleur diffuse, intense et rayonnante envahit l’intérieur de mon ventre, faisant trembler mes cuisses et convulser mon boyau interne.

Mon traitement dure -t-il encore des heures? C’est l’impression que j’ai, mais qui est bien entendu inexacte, même si je sais que Madame prend un malin plaisir à m’entendre gémir, supplier, réclamer ma jouissance. Celle-ci arrive finalement comme annoncé, lorsque Maîtresse le décide, et sans que je n’aie une quelconque intervention sur la fin de la traite. Ma jouissance est alors toute interne, mon sexe à moitié-dur laisse échapper de lui plusieurs filets de petit lait, peu puissants, mais longs, lents et conséquents. Toute la crème extraite est recueillie par Maîtresse dans un bol qu’elle tient sous ma queue toujours positionnée en arrière. Lorsque les dernières gouttes sont tombées ou essuyées sur le rebord du récipient, Madame relâche doucement mon membre pour le ramener à la verticale et elle m’annonce:

  • Félicitations Isabelle, ton clito s’est bien comporté. Et ta production d’aujourd’hui est excellente en quantité. En qualité aussi je suppose. Et d’ailleurs, tu vas avoir l’honneur de l’apprécier, car c’est toi qui va ingurgiter ton petit lait jusqu’à la dernière goutte. Directement du producteur au consommateur, petite chanceuse …

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5 réflexions au sujet de “Soumis à Maîtresse L, la traite(1)”

  1. Le milking DeMaitresse L. doit constituer pour son soumis une expérience inoubliablearriver à faire vider à fond ses testicules sans pour autant qu’il éprouve le plus petit orgasme demande à coup sûr une grande dextérité de cette maîtresse très
    expérimentée. Avoir ainsi mon organe trituré et malmené j’en ai toujours rêvé. André novice soumis qui à votre hâte d’une telle Dominatrice rencontrer

  2. Waouh !!
    C’est exceptionnel, la maîtresse fait preuve d’une sensibilité magique et pourtant sa domination reste parfaite.
    C’est simplement la maîtresse parfaite. Naturelle, douce mais imposante, elle ne force pas dans ses actions. J’adore grave, une maîtresse pareille est une grâce pour son soumis.

  3. Dans l’attente du chapitre 2 🥰
    Je rêve d’être ainsi pris en main par ma maîtresse sans violence

    • J’ai envoyé l’épisode 2 du journal de « Soumis à Maîtresse L. » Pour l’instant, il est placé en attente de publication. Peut-être celle-ci ne va pas tarder ?

  4. bonjour c est superbe j aimerai trouver une maitresse mais c est pas facile sur le net j esoere trouver car j ai si chaud et besoin d humiliations merci pour vos nouvelles mes hommages

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