De retour à la maison, Enzo rangea les courses puis s’attela à la préparation du repas du soir. Jasmine en profita pour appeler sa mère puis consulter l’état des comptes bancaires du couple. Soudain, elle eut une nouvelle idée pour encore plus dominer son homme!
Prise de contrôle totale sur les finances du couple par la Reine Jasmine!
Ainsi, elle déverrouilla le téléphone d’Enzo et en supprima les applications bancaires. Puis depuis son propre smartphone, elle modifia les mots de passe et supprima ensuite le numéro de son mari des procédures de récupération.
Elle avait juste fini, lorsqu’il arriva avec les plats. Pendant qu’il la servait, elle l’informa illico de sa décision concernant leurs comptes. Sur le coup l’ancien professeur eut un choc mais il n’était pas vraiment en position de négocier pour le moment, et il acquiesça silencieusement. Cette nuit il espérait une libération de la cage (ou au minimum de pouvoir la faire jouir avec sa bouche), ce n’était pas le moment de compromettre ses chances !
Pendant le repas, Jasmine dévora à belles dents. Soudain l’ancien professeur sursauta. Il venait de sentir le pied son épouse dominatrice tapoter sous ses testicules.
- Tu veux bien aller nous chercher le dessert, mon ‘toutou adoré’ s’il te plait ?
Son regard était bien plus décidé que ses mots.
- Tout de suite, ma Princesse ! s’empressa-t-il.
Lorsqu’ils eurent fini, elle se leva pour aller s’étendre sur le canapé avec son smartphone et la télécommande de la télévision. Désormais bien domestiqué, le futur esclave, débarrassa la table, passa un coup d’éponge sur la nappe et fit la vaisselle. Des papillons dansaient dans son ventre, lorsqu’il vint s’agenouiller à ses pieds pour regarder le film.
Une heure plus tard, il balayait et rangeait la maison tandis que la jolie berbère se douchait. Elle regagna enfin la chambre en peignoir et lui fit signe de passer à son tour à la salle de bains, ce qu’il fit avec empressement.
Massage des jambes!
Une fois au lit, la jeune femme se replongea dans son téléphone. Le jeune retraité s’approcha d’elle, nu sur le lit, à quatre pattes, le cœur battant. Son membre emprisonné vibrait d’espoir entre ses cuisses. Allait-elle enfin le libérer ? Il commença par embrasser ses magnifiques jambes bronzées. Puis de baiser humide en baiser humide, il descendit jusqu’à ses pieds. Son excitation monta d’un cran. Elle eut un bref regard blasé.
- Je ne serais pas contre un massage de jambe, tu sais ? Fit-elle, revenant à son écran d’un air distrait.
- Ah… Mais…. Oui, bien sûr… mon amour, » fit-il avec espoir en prenant le tube de crème.
Au bout d’une trentaine de minutes d’un délicieux massage de jambes, elle posa ton téléphone et se retourna sur le dos.
Il lui sourit, plein d’idées coquines en tête. Déjà sa verge durcissait, butant contre la cage. Ses testicules étaient lourds et légèrement douloureux. Elle le regarda, impassible, de ses grands yeux sombres.
- Alors… tu voulais que je jouisse ? Hein ? Sourit-elle soudain, cruelle.
- Est-ce que tu veux que… je te lèche… tenta-t-il.
- Pas du tout ! Surtout, ne bouge surtout pas !
Le ton et le regard étaient très fermes.
Le cœur du professeur faillit exploser, et son sexe se tendit dans la cage, lorsqu’elle ôta sa culotte impudiquement. Hélas, elle se tourna sur le côté pour prendre dans sa table de nuit son vibromasseur rose et son godemichet noir. Son mari était toujours à quatre pattes entre ses jambes, totalement ébahi. Il ne voulait pas en croire ses yeux.
Plaisirs solitaires pour la Reine Jasmine avec son vibromasseur et son godemichet!
D’un geste vif, elle coinça les deux mains de l’encagé sous ses deux pieds et écarta largement les cuisses pour qu’il voie bien l’objet de son désir. Entre ses cuisses bronzées, apparaissait son sexe rose bordé d’une peau plus foncée. Il aurait voulu la caresser, mais ses mains étaient immobilisées. C’était symbolique, évidemment, mais il était bloqué et toute tentative de désobéissance pourrait lui coûter cher.
Des vagues de désir impuissant remontaient dans son ventre et ses reins, car Enzo venait de comprendre avec horreur. Il resterait ce soir un spectateur passif. Mais quelle perversité ! Il ne comprenait pas que Jasmine puisse être aussi cruelle.
Dans sa jolie petite chatte, son épouse dominante sentait monter de délicieux picotements à le voir ainsi. Quelle excitation nouvelle et violente de savoir son mari si vulnérable et si dépendant d’elle ! Il était à sa merci désormais. Il la désirait comme un fou et pourtant il restait planté la comme un idiot décérébré, esclave de ses émotions et de son sexe en rut.
Un sentiment de pouvoir absolu décupla ses sensations lorsque le vibromasseur entra en contact avec ses parties intimes.
Elle gémit et se pinça les lèvres…
« Ohhh que c’était boooon aujourd’hui ! »
Dominer son homme, ainsi, décuplait ses sensations. L’homme vit, fasciné, le petit appareil rose parcourir ses longues lèvres de haut en bas, déjà l’entrée de son vagin luisait de désir.
Totalement frustré devant le spectacle de son épouse dominatrice au bord de l’orgasme!
Jasmine gémit et renversa la tête en arrière lorsque le vibro entra en contact avec son clitoris. Elle fit quelques cercles et redescendit, déjà au bord de l’orgasme. Le visage de son mari était crispé par la frustration, il aurait fallu le prendre en photo… une tête de chien… en cage !!!
« Il faut absolument que je lui offre un collier et une laisse ! » Nota-t-elle intérieurement.
Enzo restait ainsi le visage à trente centimètres du sexe de son épouse qui se faisait du bien toute seule. Il se sentait parfaitement inutile. Et comme il était en cage, il comprenait parfaitement le message qu’elle voulait imprimer dans son cerveau. En réalité, je n’ai pas besoin de ta queue du tout, MOI je peux jouir autant que je veux, TOI, tu en es incapable et si tu veux jouir un jour… il faudra me convaincre par une obéissance totale ». C’était clairement ça le message.
Le corps de l’Algérienne fut secoué par un premier orgasme intense qui lui arracha un hurlement sauvage.
Son mari ne la reconnaissait plus. Elle empoigna le gode noir et le suça avec gourmandise tout en le regardant au fond des yeux. Puis elle se l’introduisit lentement dans le vagin en poussant de longs soupirs.
Les yeux du professeur étaient exorbités tant il aurait voulu être à la place du sexe noir. Sa pauvre verge était congestionnée dans la coquille, incapable de se déployer. Il se sentait misérable et prisonnier de son désir.
Quel plaisir de dominer son homme!
La jolie jeune femme reprit le vibro rose de l’autre main et entreprit l’ascension vers un nouvel orgasme qui s’annonçait encore plus ravageur.
Son mari sentit alors que quelque chose se déchirait dans son cerveau. Il commençait à comprendre qu’il entrait dans une immense période de servage. Elle prenait le pouvoir et elle aimait vraiment dominer son homme! Se pourrait-il qu’elle ne veuille plus lâcher la gouvernance du couple désormais ?
Enzo devait l’accepter et se soumettre à elle, s’il voulait éviter de souffrir plus. Elle le ferait plier, déjà il n’était plus en mesure de se redresser. Chaque tentative de rébellion ne ferait qu’exciter la jolie berbère. Le sang de ses ancêtres farouches coulait dans ses veines.
Elle jouit une seconde puis une troisième fois. Un plaisir veule et doux alimentait les reins du mâle en continu, il s’aperçut avec honte que son sexe coulait. Un filet de liquide séminal s’écoulait lentement de son gland, ce qui était nouveau et désespérant. Elle le vit aussi et sourit.
Jasmine se détendit et posa ses jouets sur son chevet. Elle allongea ses jambes, relâchant ainsi les mains de l’homme soumis à sa volonté. Il put se redresser enfin, frustré et mort de honte.
- Allez !… on dort maintenant, j’ai bien joui et j’ai sommeil ! rit-elle.
- Oui… mon amour… merci pour le cadeau… que tu viens de me faire… dit-il (n’ayant pas grand chose à dire pour essayer de sauver la face).
- Mais je t’en prie, tout le plaisir était pour moi !!! mais, allons, tant mieux si tu as pris ton pied, cest parfait !!! …tu sais… il va falloir t’habituer… Sourit-elle, diabolique.
- J’ai bien compris le message, mon amour… souffla-t-il humblement.
Cette humiliation supplémentaire lui envoyait des ondes chaudes dans le bassin.
- Parfait… On verra ça… Allez dodo mon toutou ! Couche toi et dors, maintenant ! fit-elle sur un ton sans appel. Sinon… je te préviens, je t’attache dans la cabane à outils du jardin !
La Reine Jasmine, une dominatrice naturelle!
Enzo s’allongea à côté d’elle impressionné par la farouche volonté qui se dégageait d’un si joli petit corps. Il eut du mal à trouver le sommeil, l’esprit ravagé par la stupidité de son propre instinct mâle.
Ses fantasmes maudits l’avaient mené tout droit dans un piège redoutable. Il avait adoré être ainsi humilié et rabaissé, et elle le savait pertinemment ! Dominante naturelle, elle trouvait d’instinct les bonnes actions pour assoir définitivement son autorité et dominer son homme.
Enzo en avait pleinement conscience. Ceci allait évidemment avoir des conséquences extrêmement importantes pour la suite, tellement importantes que le jeune retraité avait beaucoup de mal à en évaluer l’étendue.
Tout ce qu’il savait c’est qu’un océan de servitude s’étendait désormais devant lui, le vaincu.
A suivre
très belle histoire ,qui me rappelle la mienne fut un temps.