L’annonce
Tout commença avec une annonce. Je cherchais du travail depuis un certain temps lorsqu’on m’en proposa un dans un salon de massage. Etrangement, aucune qualification n’était demandée. Je pensais donc que mon rôle serait de passer le balai et d’accueillir les clients. Enfin, je pensais qu’on me confierait le genre de choses qui ne demande pas de formation particulière. j’etais loin de penser que j’allais devenir une esclave de pieds pour Femmes Dominantes.
Je me rendis donc au salon en fin d’après-midi. Je fus reçu par Sandrine, une jeune femme d’une trentaine d’année, haute d’un mètre 65 des pieds à la tête, la propriétaire du salon. Elle m’entraîna dans une arrière-salle à l’écart du reste où se trouvait simplement un canapé et un tabouret, face à face.
Sandrine s’installa dans le canapé, qui avait l’air des plus confortables. Je m’assis sur le tabouret, dur et assez désagréable.
Sandrine était plutôt jolie : blonde, les yeux en amande, le teint halé, et de longues jambes magnifiques laissées apparentes par sa robe très courte.
Entretien d’embauche
Nous commençâmes à discuter des formalités, des présentations rapides et une liste de mes qualifications qui ne semblait pas beaucoup l’intéresser. Au bout d’un moment, elle me coupa la parole et, d’un geste, désigna l’ensemble de la pièce.
-Que croyez-vous que l’on fasse, ici ?
-Eh bien, c’est un salon de massage.
-Certes, mais quelles prestations offrons-nous ?
-Des massages du dos, du cou, des pieds…
-Oui, mais c’est la dernière partie qui m’intéresse le plus : Des pieds. Vous savez, nos services sont assez coûteux. Ainsi, la majorité de notre clientèle se compose de femmes plutôt fortunées qui viennent profiter de massages relaxants dans un endroit tranquille. Cependant, nous pensons qu’elles méritent mieux. C’est déjà très agréable de se faire masser les pieds par quelqu’un qui est agenouillé en face de vous. On se sent comme quelqu’un d’hors-du-commun. Une véritable princesse. Mais il y a quelque chose que même une princesse n’oserait pas demander à son serviteur : Lui lécher les pieds.
Voilà ce que nous souhaiterions proposer à notre clientèle. Un jeune garçon comme vous, nu et à leur entière disposition, leur nettoyant les pieds avec votre langue. Après une épuisante journée de travail et de marche, elles viendraient s’abriter ici, loin du brouhaha et des sollicitations, au calme, pour qu’on ôte leurs chaussures et qu’on s’occupe pendant de longues minutes de leurs pieds échauffés et irrités. Ce serait votre travail. Permettre à mes clientes de se détendre en lisant un magazine, en écoutant de la musique ou tout simplement en somnolant pendant que vous léchez leurs pieds et les débarrasser de la saleté.
Proposition pour devenir esclave de pieds
C’était une proposition des plus étonnantes mais également très excitante. J’étais fétichiste des pieds depuis mon plus jeune âge, comme beaucoup d’hommes dans le monde, mais je n’avais jamais osé en parler.
Et voilà qu’en répondant à une annonce d’embauche, on me proposait de vivre mon rêve ? D’en faire mon métier ?
Je sentais mon sexe durcir et gonfler, sous mon pantalon. Sandrine le remarqua et sourit.
-Ma proposition a l’air de vous plaire. C’est le cas ?
-Oui, plutôt.
-Vous accepteriez, si votre candidature était retenue ?
-Oui, bien sûr. Mais… Quelles seraient les compétences requises pour être retenu ?
Elle décroisa les jambes et les tendit devant moi.
-Met-toi à genoux ! m’ordonna-t-elle d’une voix subitement devenue froide. Je vais te tester et voir ce que tu vaux. Commence par enlever mes bottes !
Sans attendre, je tombai à genoux à ses pieds et défis les lacets qui maintenaient ses bottes serrées, puis j’ôtai ses chaussures. Deux pieds parfaitement sculptés et entretenus s’offrirent à mes yeux. Sandrine remua ses orteils sous mon nez.
-Avant de me les lécher, montre-moi que tu les désire et les vénère. Mes clientes devront se sentir comme des déesses, ici. C’est très important. Peu importe l’odeur ou l’aspect de leurs pieds, tu dois les chérir et les désirer.
Essai pour devenir esclave de pieds
J’obéis et commençai à caresser ses pieds et à promener mon nez dans le creux de ses voûtes plantaires, inspirant profondément et m’imprégnant de leur senteur. Puis, je me mis à embrasser le dessus de ses pieds et ses orteils, avec une grande délicatesse. Je me surpris moi-même : J’étais plutôt doué.
Sandrine avait l’air conquise. Elle souriait et laissait ses pieds à mes soins. Au bout de quelques minutes, elle me demanda de me déshabiller entièrement. Quand je fus nu, elle m’inspecta et caressa mon pénis en érection. D’après elle, il allait falloir que j’apprenne à me contrôler et à bander sur demande des clientes. Certaines aimeraient sans doute voir le mâle à leurs pieds en érection mais d’autres pourraient ne pas apprécier.
-Je t’autorise à travailler avec ta langue, maintenant, dit-elle enfin. Nettoie-les bien. Fais en sorte qu’ils brillent !
Tout fut fait selon ses envies. Je léchai ses pieds, parcourant le contour de ses talons du bout de la langue, gobant chacun de ses orteils et les suçant un à un. Elle me guidait par la parole, m’indiquant où il fallait que je m’attarde et quelles zones de ses pieds étaient les plus sensibles.
Je vis qu’elle se détendait, sur le canapé, et qu’elle fermait les yeux pour profiter de ce moment.
A un moment, elle enfonça à moitié son pied droit dans ma bouche et se mit à le faire tourner. De son autre pied, elle me couvrit le nez et les yeux, me plongeant dans le noir. Je ne voyais plus rien, n’entendait plus que sa respiration. Seul existait le goût de son pied dans ma bouche et sur ma langue, et l’odeur de celui qui était posé sur mon nez.
Le contrat d’embauche particulier
Elle retira son pied quand elle vit que je commençais à m’étrangler.
Pour finir, je la massai et malaxai ses pieds durant une vingtaine de minutes. Pendant que je faisais cela, elle m’expliqua les détails du contrat.
-Désormais, tu logeras ici, dans une petite chambre au fond du salon. Il y a un panier pour chien, un peu élargi pour qu’un être humain puisse y dormir. Ce sera là-dedans que tu dormiras. Je ferais installer une gamelle à côté que je remplirais de nourriture et d’eau matin et soir, pour toi. Pendant la journée, midi compris, tu ne mangeras rien d’autre que ce que ta langue récoltera sous les pieds des clientes.
Tu porteras un collier de chien, pour marquer ton appartenance à la boutique, et surtout à moi. A partir du moment où je le mettrais autour de ton cou, tu deviendras ma propriété à part entière, tout comme ce bâtiment. Bien entendu, en tant qu’esclave de pieds, tu ne seras pas payé. Tout ce que les clientes paieront me reviendra. Mais tu auras un toit, de la nourriture et un endroit où dormir en permanence.
Tu me vouvoieras, moi et mes clientes, et te tiendras obligatoirement à genoux en face d’elles, jamais debout.
Si tu acceptes ces termes, alors nous mettrons tout cela par écrit et tu commenceras la semaine prochaine, le temps que tu déménages tes affaires. »
J’acceptai immédiatement et ne le regrettai pas.
Les clientes
Aujourd’hui encore, je travaille dans ce salon. Les débuts furent difficiles car les horaires étaient infernaux. Je me levais à cinq heures du matin pour recevoir les premières clientes les plus matinales et n’avait le droit d’aller me coucher qu’après vingt-trois heures car le soir, lorsque le salon était fermé, c’était Sandrine qui m’utilisait pour son plaisir personnel.
Les clientes étaient des femmes fortunées, des héritières, des banquières, des femmes d’affaires, des diplomates ou des épouses d’hommes très riches. Je reçus même quelques célébrités du show-business, des chanteuses et des actrices très connues.
Habituées à être servies et obéies dans la vie de tous les jours, elles ne mirent pas longtemps à s’habituer à mes services. Cela devint très naturel pour elles. Certaines devinrent des habituées qui revinrent très régulièrement, jusqu’à plusieurs fois par mois.
La plupart étaient intransigeantes et savaient exactement ce qu’elles voulaient en venant. Elles étaient reçues dans une salle isolée et insonorisée, très confortable et très chaleureuse, et s’installaient dans un large fauteuil de cuir. Une pile de livres et de magazines était posée à côté d’elles pour qu’elles puissent se servir. Elles avaient aussi à leur disposition une télévision et un ordinateur portable pour s’occuper et écouter de la musique. Celles qui venaient aux heures de repas pouvaient même commander un plat préparé par un restaurateur de luxe et le déguster. Pendant ce temps-là, je m’occupais de leurs pieds.
Elles ne faisaient presque pas attention à moi, me considérant plus comme un objet que comme un être vivant.
Détails d’une séance de soin des pieds
Je commençait invariablement par une courte séance de massage des pieds pendant laquelle je pouvais juger de leur état et des mesures à prendre. Souvent, ils étaient très à l’étroit dans leurs chaussures et donc se mettaient à transpirer abondamment et à s’échauffer. Généralement, on me présentait donc des pieds moites, luisants de sueur et très fortement odorants. Mais comme me l’avait dit Sandrine, je devais les vénérer et les chérir.
Je me mettais alors à les renifler, à plonger mon nez entre leurs orteils chauds et humides et à inspirer pour emplir mes poumons de leur senteur. Afin de flatter ces dames, je leur disais alors que leurs pieds sentaient délicieusement bons, que leur parfum était divin. C’était un honneur dont un esclave comme moi n’était pas digne que de pouvoir respirer leurs effluves.
Cela pouvait durer longtemps, selon que la cliente appréciait ou non les compliments. Certaines, fatiguées et pressées, m’ordonnaient de passer à la suite mais d’autre se prélassaient pendant des dizaines de minutes alors que je n’étais occupé qu’à renifler leurs pieds.
Ensuite, je me mettais à les lécher et les nettoyer avec application. Il ne devait subsister aucune saleté.
Certaines avaient des pieds très soignés et propres, bien que rendus odorants par la marche, mais d’autre négligeaient le soin de leurs pieds. Je trouvais alors des peaux mortes et de la crasse entre leurs orteils, de la poussière et des traces de salissure sous les ongles et sous la plante des pieds… Il me revenait le devoir de les en débarrasser.
Esclave de pieds heureux !
Je devais bien sûr tout avaler, bien que ce n’était pas agréable du tout. Je pouvais alors remarquer de nettes différences de goûts entre certains pieds, des saveurs piquantes, acides, plus ou moins salées, voire amères. Chaque cliente était différente et, après plusieurs mois, j’étais capable d’en reconnaître certaines les yeux fermés, rien qu’au goût.
Quand le pied était entièrement nettoyé, j’en essuyais la salive avec une serviette en soie et plaçait un large récipient en métal en-dessous d’eux, empli de lait chaud. Mes clientes plongeaient leurs pieds à l’intérieur et me laissait les masser, les frotter, les récurer, les caresser… La saleté que j’avais potentiellement pu oublier se mêlait alors au lait. De plus, il arrivait que des clientes, amusées, m’ordonnent de le boire sous leurs yeux.
Elles posaient leurs pieds trempés sur ma tête tandis que je lapais le lait à la manière d’un chien.
Enfin s’ensuivait une nouvelle période d’essuyage que je terminais en couvrant les pieds de mes clientes de crème hydratante et d’huiles parfumées. Elles pouvaient ensuite mettre fin à la séance ou décider de se détendre un peu plus longtemps pendant que j’embrassais leurs orteils.
Une séance durait ainsi entre une et trois heures. Je pouvais aller jusqu’à servir quinze clientes en une journée. Je n’avais pas de jour de repos, bien entendu, et je travaillais sans répit ni loisir du lever au coucher du soleil. J’étais un esclave, mais un esclave heureux.
Un esclave de pieds très demandé !
Après une année ou deux, des rumeurs coururent et grâce au bouche-à-oreille, les activités « secrètes » du salon se firent connaître dans des classes moins aisées de la population. Aujourd’hui, je ne sers plus uniquement des femmes fortunées ou célèbres mais aussi des femmes du commun et des étudiantes. Certaines viennent avec leurs amies pour un enterrement de vie de jeune fille, une fête, ou quelque chose comme ça. Leurs pieds sont bien moins soignés que ceux des autres clientes mais je ne fais aucune différence et m’en occupe avec dévouement et servilité.
Pour amuser les clientes, Sandrine s’est mis à proposer, pour un prix un peu plus élevé, de posséder une cravache avec laquelle me fouetter, pendant la séance. Cela ne fait pas trop mal mais certaines clientes plus sévères que les autres l’utilisent pour me rappeler à l’ordre quand elles jugent que je ne suis pas assez concentré sur mon travail. D’autres, par simple plaisir, aiment m’asséner des coups de cravache sur le dos et les fesses pendant et après la séance.
Le soir venu, après que je me sois occupé de ses pieds, Sandrine me passe de la pommade cicatrisante et je vais ensuite me coucher, exténué.
Si vous êtes une femme et que vous entendez un jour parler de ce salon, pourquoi pas y faire un tour ? Demandez « un service très spécial » à la gérante et j’aurais alors l’honneur de m’occuper de vos pieds.
Quelle merveilleuse passion. Elle fait un peu souffrir les fetichistes dun PIED feminin que nous sommes mais dommage de traverser la vie sans connaître ce délice!
Quelle bêtise! Et ça se dira des Hommes, MDR. Bref.
j ajoute que si des « patronnes , maitresse , dresseuse d esclave male » sont interressée , elles peuvent m envoyer 1 proposition , je me ferai 1 plaisir de devenir un veritable aspire sueur de pieds de princesse
wouah , quel plaisir , il est bien dommage que CE metier n existe pas , j aurai deja postuler , des fois je me demande si des esclaves de pieds comme moi reusisse a vivre leur passion
Erratum : leurs pieds et non pas leur pied.
En punition, je suis prêt à lécher les pieds de toutes les membres et visiteuses qui verront ces deux fautes impardonnables s’afficher sur leur écran et avaler tout ce que je récolterai. ^^
Voilà un métier que j’aimerais bien exercer quelque temps malgré la modicité du salaire.
La crasse entre les orteils des dames et demoiselles constituerait un mets de premier choix et une récompense suffisante en soi. Lécher la sudation de leur pied serait parfait pour accompagner la dégustation de ces agglomérats venus du paradis féminin.
Je me surprends à regretter que de telles conditions ne puissent exister dans le monde réel.
En tout cas, je me suis d’autant plus immergé dans cette histoire qu’elle foisonne de détails alléchants.