La nuit était tombée depuis une bonne heure et Pierre, nu, à genoux, aux pieds de Maîtresse Margot, se détendait après toutes ces émotions. De ses fesses attendries émanait encore une douce chaleur, conséquence du traitement que sa Maîtresse dominatrice lui avait fait subir. Rien à voir, bien entendu, avec l’exceptionnel châtiment que le soumis avait reçu avant lui mais, tout de même, pour son postérieur encore novice, ç’avait été une « rouste » suffisante pour qu’il s’en souvienne.
Maîtresse Margot joue avec son soumis!
Alors qu’il avait encore été cadenassé dans ses fers et bâillonnés, Maîtresse Margot avait entrepris de venir jouer avec son corps, sans prendre le soin de retirer les douloureuses petites pinces qui lui meurtrissaient les tétons depuis un moment.
Elle avait tout d’abord longuement caressé son sexe prisonnier, en insistant bien, verbalement, sur ses dimensions menues et son inexpérience. Cela avait humilié et excité Pierre au plus haut point.
Lorsque Maîtresse Margot eut été satisfaite de l’érection contenue de Pierre et de la couleur cramoisie qui avait envahi ses joues honteuses, elle s’était attaquée à ses tétons. Loin de les libérer des mâchoires de bois, elle avait au contraire joué avec les terribles instruments, les serrant encore plus, les tordant, les tirant.
Elle s’était délectée des mugissements étouffés de Pierre et de l’expression de souffrance sur son visage. Elle lui ôta enfin les deux pinces en les tirant simplement, sans prendre soin de les ouvrir. Dans un dernier cri de douleur, Pierre sentit le sang affluer de nouveau dans les petits appendices auparavant comprimés, lui déclenchant une ultime décharge électrique.
Puis elle s’était occupée de son postérieur pour le moment intact. Une fessée très longue et très progressive avait suivi, d’abord à la main, puis au paddle, enfin à l’aide d’une petite badine de bois. Comme d’habitude, l’intensité des coups avait augmenté petit à petit, ne laissant aucun répit au derrière endolori de Pierre.
Ces jeux avaient duré une bonne demi-heure, excitant encore plus Pierre.
Soumis libéré de ses chaînes et de son bâillon pour le rangement du donjon!
Puis il fut temps de passer à autre-chose. Maîtresse Margot libéra son soumis de ses chaînes et de son bâillon, en prenant soin de bien lui laisser ses fers. Après avoir exigé, et bien entendu obtenu des remerciements de celui-ci pour le traitement qu’elle lui avait fait subir, elle lui avait ordonné de ranger le donjon.
Tandis qu’il apprenait à refaire correctement le lit à baldaquin, ou qu’il comprenait où étaient censés être rangés ou suspendus les différents éléments de torture et les différents liens, ses manquements, ses inattentions et ses imperfections étaient punis par de nouveaux coups de badine sur ses fesses déjà bien rouges. Maîtresse Margot l’invectivait également de plus belle, l’humiliant de nouveau au sujet de sa virginité ou de son petit sexe.
Quand tout fut rangé, Maîtresse Margot invita Pierre à aller passer un uniforme d’écolier disposé dans sa cellule et à revenir dans la salle de classe du donjon pour travailler à ses études. Encore plus humilié, il avait enfilé la culotte courte, la chemisette blanche, la cravate, les chaussettes blanches montantes et les chaussures de cuir brun. Il avait transvasé ses affaires de cours de son sac à dos contemporain vers le maroquin de cuir à l’ancienne qui venait compléter sa tenue d’écolier des années 50.
Dans cet accoutrement ridicule, il était remonté vers le donjon.
Ensuite, deux heures d’étude!
Maîtresse Margot était désormais nue sous un peignoir immaculé. Elle avait donné l’ordre à Pierre de s’asseoir à un pupitre du premier rang de la petite salle de classe qui occupait un coin de la pièce. Elle lui avait aussi ordonné d’étudier pendant les deux heures suivantes, tandis qu’elle prendrait un bain.
Avant qu’il ne s’exécute, elle l’avait libéré de ses fers et de son collier de soumis. Puis elle avait quitté la pièce. Sur le tableau noir amovible, une main fluide avait écrit à la craie blanche, en pleins et déliés : « les puceaux obéissants ne parlent pas pendant la classe ».
Avec peine, Pierre était parvenu à se concentrer sur son travail universitaire.
Bien qu’étudiant sérieux, il avait, comme tous ses camarades, parfois du mal à se remettre à la tâche une fois rentré le soir, après une journée remplie.
Finalement, ayant reçu l’ordre de le faire, et n’ayant pas la permission de quitter son pupitre d’écolier avant que le temps imparti ne soit terminé, il parvint à se plonger dans ses cours. Après quelques temps, il se fit la réflexion que finalement, le niveau universitaire du pays pourrait augmenter un peu si plus de Maîtresses menaient les étudiants à la baguette !
Deux petites heures après, Maîtresse Margot était venue « sonner la fin de la classe ».
Pierre avait eu le temps de bien avancer dans son travail quand elle était entrée, métamorphosée.
Retour de sa Maîtresse dominatrice…
Elle portait désormais un tailleur noir très serré qui surmontait des bas blancs très fins. Le haut de son corps était recouvert d’un chemisier blanc très conservateur que recouvrait un crucifix relativement large en métal poli.
Aux pieds, une petite paire de bottines de cuir, à mi-chemin entre un modèle passe partout contemporain et un symbole de domination, venait rappeler à l’œil attentif qu’elle restait la Maîtresse.
- Lève-toi puceau, mains sur la tête !
Avec le « oui Maîtresse » habituel, Pierre s’était exécuté.
Maîtresse Margot se déplaça jusqu’à un chevalet proche sur lequel différents accessoires de fessée étaient présentés. Après une courte hésitation, elle opta pour un martinet bien fourni en lanières de cuir.
- Maintenant, pas un mot ! Tu viens t’approcher du bureau de ta Maîtresse, tu baisses ta culotte courte, tes sous-vêtements, tu lèves ta chemise et tu te penches en avant, mains bien à plat sur le bureau !
- Oui Maîtresse, déclara Pierre avant de réaliser son erreur !
Un éclair furtif de colère et de sadisme passa à travers le regard de Maîtresse Margot. Sa Maîtresse dominatrice lui avait intimé le silence, et il avait pris la parole !
Désormais, il le savait, Maîtresse Margot avait une excuse pour faire redoubler de douleur ce qui allait suivre. N’ayant de toute façon pas le choix, docile, Pierre alla s’installer face au bureau, conformément aux ordres de sa Maîtresse dominatrice.
- Alors comme ça on se sent d’humeur désobéissante, petit puceau ? Je vais t’en passer l’envie !
…pour une petite séance de fessée!
Joignant le geste à la parole, Maîtresse Margot commença à fouetter les fesses de Pierre rapidement mais doucement. Ses fesses étaient encore échauffées du traitement subi plus tôt, mais Maîtresse Margot prît tout de même le temps de les préparer.
Comme à son habitude, elle augmenta peu à peu la force des coups. Chaque impact des lanières du martinet envoyait une petite décharge électrique sur l’épiderme rosissant de Pierre.
Après encore une minute de ce traitement progressif, elle cessa les coups. Le souffle de Pierre était déjà court, son derrière cramoisi, et son excitation indescriptible.
Maîtresse Margot présenta le manche du martinet à quelques centimètres de la bouche de Pierre et lui ordonna :
- Ouvre grand, puceau !
Il obéit et elle lui fourra le manche dans la bouche par la largeur.
- Maintenant referme ! Si tu échappes ce martinet, je te préviens que tu vas le regretter, petite bite !
Transi par la menace, pierre referma ses mâchoires autours du manche en bois.
Il sentit ensuite la main de sa Maîtresse dominatrice passer entre ses jambes écartées puis venir saisir son petit sexe emprisonné. Elle le caressa pendant un petit moment par-dessus la cage avant de l’abandonner à son excitation et de remonter vers son fessier rougi. Elle caressa ses rondeurs endolories pendant un moment en faisant des commentaires.
- Décidément, cette couleur va bien à tes fesses de puceau ! Je ne m’en lasse pas !
Enfin, sa main vint reprendre le martinet coincé entre les dents de Pierre.
- Ouvre, puceau!
Une tenue de soubrette pour la soirée!
Sans un mot, comme il en avait reçu l’ordre, Pierre s’exécuta.
- Bon. Ça suffit. Retourne dans ta cellule et va te changer avec les affaires que j’ai préparées pour toi. Quand tu reviendras, tu auras le droit de demander la parole.
A nouveau en silence, Pierre fila vers la sortie.
De retour dans sa cellule, il trouva sa nouvelle tenue pour la soirée. Une tenue de soubrette typique, presque stéréotypée, avec la petite jupe, le tablier, les froufrous, les bas, et le petit châle pour retenir ses cheveux. Il y avait même une paire de talons hauts à sa taille.
Au-delà de l’humiliation qu’il ressentait à l’idée d’enfiler cet accoutrement ridicule, humiliation qui devenait désormais une partie intégrante, et très plaisante de son quotidien, Pierre se fit une réflexion.
Il réalisa que jamais avant au cours de sa vie il n’avait eu à changer sa tenue aussi souvent.
De jeune homme ordinaire, il passait à esclave aux fers, à écolier puni, à soubrette docile, en quelques heures… le tout, avec toujours en toile de fond, le puceau soumis de Maîtresse Margot qu’il ne cessait jamais d’être.
Sa Maîtresse Dominatrice non plus, n’avait de cesse de jouer avec ses apparences et sa personnalité. Toujours imprévisible, toujours merveilleuse, mais impitoyablement sévère, elle mettait Pierre sur des charbons ardents. Le pauvre ne savait, et ne saurait probablement jamais, ce qui l’attendrait désormais au tournant.
Une seule politique pouvait lui être salutaire, désormais : se soumettre, encore et toujours. Seule une obéissance et une humilité infaillible lui offriraient le confort et la routine qu’il recherchait. Maîtresse Margot savait exactement où elle l’emmenait, et lui-même n’en savait rien. Il devait, en cela comme pour le reste, se fier entièrement à sa Maîtresse.
C’était là une réflexion étrange, sachant qu’il ne la connaissait pas depuis trois jours, mais tout semblait plus simple auprès de cette extraordinaire et improbable Femme : elle commandait, il obéissait, et les zones d’ombres n’existaient pas. Cette sensation de soumission absolue commençait à rassurer Pierre, qui avait toujours été profondément nerveux par nature. Il trouvait dans l’obéissance une sécurité comme aucune autre.
A genoux devant Maîtresse Margot
Enfin, il eut passé et ajusté son humiliante tenue. Il était temps d’aller rejoindre sa Maîtresse dominatrice et d’en apprendre plus sur ce qui l’attendait pour le reste de la soirée.
De retour à l’intérieur, il constata que Maîtresse Margot, elle, n’avait rien changé à sa tenue précédente.
- A genoux, ma soubrette pucelle ! Et mets tes mains sur ta petite tête de soumise !, Déclara celle-ci dans un sourire radieux.
Elle semblait ravie de l’effet que procurait la tenue sur le comportement de Pierre. Il le savait, ses joues étaient aussi cramoisies que ses fesses.
- Oui Maîtresse, fit Pierre qui avait recouvré à l’instant le droit à la parole, tout en s’exécutant.
Lentement, lascivement, Maîtresse Margot s’approcha de Pierre qui ne bougeait pas d’un iota de sa position de soumission. Elle prenait bien soin de faire claquer légèrement ses bottines à chaque pas, dans une sonorité autoritaire.
Elle s’immobilisa à un mètre de Pierre. A genoux, son regard était au niveau des hanches larges de sa Maîtresse qui le faisaient fantasmer depuis le début.
Bien entendu, Maîtresse Margot le savait et jouait de cet atout pour exciter encore plus son soumis.
Collier de cuir et cadenas pour le soumis
L’air de rien, elle tourna le dos à Pierre, qui vit se dévoiler de nouveau l’ample postérieur de sa Maîtresse Dominatrice. Elle resta ainsi quelques secondes qui parurent une éternité, pour le plus grand bonheur de Pierre qui goûtait chaque seconde de ce spectacle.
Puis, en ricanant un peu, elle commença à onduler légèrement, se lançant dans une danse du ventre qui accentuait encore plus ses courbes généreuses.
- Profite du spectacle, mon petit puceau. Voilà une paire de grosses fesses à laquelle tu ne goûteras jamais !
Enfin, elle cessa sa danse et se retourna en direction de Pierre. En un claquement de talons, elle partit d’un pas beaucoup plus rapide dans le dos de son soumis, toujours contraint à l’immobilité.
Les bruits de bottine cessèrent près de ce que Pierre savait être une petite table d’angle ancienne, puis reprirent. Cette fois-ci, en se rapprochant de Pierre.
La prochaine sensation que Pierre eût fut celle de son collier de cuir qui glissait de nouveau contre la peau de son cou. Un bruit de cadenas plus tard, il était de nouveau solidement verrouillé à Pierre, symbole apparent et humiliant de sa condition de soumis.
Pierre sentit les mains de Maîtresse Margot glisser le long du collier, profitant de sa texture, palpant sa matière.
Puis elles quittèrent son encolure.
Préparation du dîner
Une nouvelle sensation gagna Pierre : un courant d’air un peu plus frais au niveau de son fessier. Par un procédé qu’il ne pouvait voir, Maîtresse Margot maintenait suspendu l’arrière de la jupe de soubrette qu’il portait.
Comme celle-ci avait pris soin de n’ajouter qu’un simple string blanc à la tenue de Pierre, ses fesses étaient désormais totalement accessibles, malgré ses habits. Pierre ne pouvait en ignorer le but.
- Bon. Je commence à avoir faim mon puceau. Relève-toi, ôtes tes mains de sur ta tête. Tu vas nous préparer le diner, une fois de plus sous ma direction. Fais attention à ce que tu fais, sinon tes fesses vont en pâtir !
- Bien Maîtresse, fit Pierre en se relevant.
Par la suite, ils étaient tous deux allés aux cuisines. Comme le jour d’avant, Maîtresse Margot avait guidé Pierre dans la préparation.
Après les séances de fessées de la journée et de la veille, Pierre avait le derme des fesses hyper sensibilisé. Loin de se blinder, il ressentait pour le moment tous les coups encore plus fortement qu’au début.
Pour cette raison, il s’efforça de redoubler d’attention, non seulement pour satisfaire sa Maîtresse dominatrice, mais aussi pour éviter les coups de la redoutable cuillère de bois contre ses rondeurs déjà tuméfiées.
Malgré tout, il n’avait pu, durant la préparation, échapper à quelques volées de bois qui venaient lui rappeler aussi bien sa condition que son état physique actuel.
Ils avaient ensuite mangé à une table basse du salon. Maîtresse Margot avait dîné assise sur le grand canapé tandis que Pierre avait pris place devant elle, agenouillé sur un petit coussin posé sur le sol. Position dégradante du soumis, mais relativement confortable. En fait, Pierre s’imaginait mal s’asseoir après le traitement qu’avait subi son postérieur le jour même.
Fin de soirée très calme
Durant le dîner, Maîtresse Margot décida de « mettre à nu » Pierre, lui faisant avouer ses autres fantasmes les plus secrets, ses craintes, ses limites… elle dressait une carte de la personnalité de son soumis. Pierre n’ignorait pas que ces informations seraient utilisées plus tard pour un dressage mental encore plus intime et poussé, mais il coopéra docilement.
Tout d’abord, il savait qu’il devait obéir corps et âme à sa nouvelle Maîtresse dominatrice. De plus, ce dressage mental, cette éducation totale de l’être, c’est ce qu’il désirait désormais. Il en était sûr. La proximité, depuis seulement quelques temps, avec cette Femme improbable, l’avait transformé, mis en extase. Ses doutes du début étaient évaporés et il savait que ce n’était que le début.
La soirée s’était finie calmement. Après des heures de dressage avec ses différents « clients », et la suite avec Pierre en fin de journée, Maîtresse Margot était fatiguée et le déclara. Elle ne souhaitait pas que son puceau lui donne du plaisir avec la langue, ni le fesser plus longtemps.
Elle alla l’enfermer dans sa cellule de soumis et partit se coucher. Pierre, ce soir-là, eut à nouveau du mal à trouver le sommeil. Il le trouva finalement, et ses rêves, pour une rare fois, ressemblaient à sa réalité.
A quand la suite de ce roman passionnant?
La suite la suite la suite!!!!!!!!!!
Merci beaucoup. Quelle histoire passionnante