Soubrette mâle au service de jeunes dominatrices (13)

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jeunes dominatrices

 

Etais -je donc en train de défier  pour de bon pour la première fois ce quatuor de jeunes dominatrices si sûres d’elles qui avaient déroulé leur programme jusqu’à présent sans difficulté?  Elles avaient, en effet, maîtrisé chaque étape du processus qui m’avait progressivement anéanti et amené au comble de la déchéance.

De fait, j’avais décidé de ne pas prendre ce téléphone. Ainsi, j’essayai de ne pas m’enfoncer encore plus profondément dans cette aventure en train de chambouler toute mon existence et peut-être de sceller un aboutissement au point de non retour.

Et cette réaction de ma part, visiblement non anticipée, distilla un doute propre à enrayer cette belle machine conquérante et bien organisée qui avait pu sans encombre me neutraliser et avancer ses pions jusqu’à présent.

C’est dans de tels moments qu’il faut vite réagir pour pousser encore plus l’avantage acquis, et profiter d’une faiblesse inopinée de l’ennemi, jusqu’à le faire grossir suffisamment pour remettre en cause ce statut de vaincu qui s’était imprégné dans mon esprit pour mon plus grand malheur.

Mais évidemment, la problématique en face était du même ordre, étouffer dans l’oeuf ce possible début de rébellion inattendu, capable de faire écrouler tout l’édifice savamment érigé par ce collectif si bien soudé pour développer son implacable scénario.

 

Rebellion contre ces jeunes dominatrices

 

Maîtresse Jessica avait soudainement perdu de sa superbe. Elle avait toujours son téléphone à la main. Cependant, je craignais sa réaction. En effet, elle était, tellement, habituée à terrasser ses victimes d’un seul regard perçant .

Et les autres? Et si elles n’étaient finalement que des supplétifs à l’autorité incontestable de celle qui avait conduit les opérations avec éclat et brio ? Ainsi, une fois, leur leader dépouillée de son aura, ce petit monde semblait figé.

Il fallait en profiter sans plus attendre ! Accompagnant le geste à mes pensées rebelles, je rompis brusquement avec ma posture de résigné à genoux, mains sur la tête. Je me levai pour faire face, enfin, à mes adversaires et me placer ouvertement en situation d’affrontement. J’étais prêt à brûler mes vaisseaux pour une victoire décisive, à même de me faire sortir de cette aventure insensée que je venais de subir.

Je dois dire que ces jeunes dominatrices avaient du talent pour exploiter les faiblesses du mâle que j’étais. Ainsi, elles m’avaient assigné le statut de soubrette et même de »demoiselle pipi » et qui plus est à l’extérieur, ce qui m’avait valu une humiliation publique.

 

Rebellion stoppée net par Mademoiselle Camille

 

Le souvenir de cette humiliation publique me redonna de l’énergie.

C’est donc  d’un air décidé, voire agressif, que je fixai mon attention sur Maîtresse Jessica. Elle était clairement la chef. Je comptais bien dans la foulée l’emporter sur toute la ligne, en ignorant les autres.

J’eus le temps d’articuler d’un ton ferme, qui m’étonna moi-même :

-Ecoutez, mesdemoiselles ( et non maîtresse pour la première fois) il est temps que…..

et voila que Mademoiselle Camille, sans doute la plus rouée et la plus subtile, avec force sourire, coupa posément mon intervention et s’exprima en ces termes qui allaient s’avérer dévastateurs :

-Alors delphine, pourquoi tu te fâches ainsi?

C’était prononcé comme dans une conversation entre connaissances de longue date, d’égal à égal et avec franchise.

Et en s’avançant vers moi, son regard suave et malicieux, me fit chavirer. Elle était radieuse. Comment résister à une telle beauté charmeuse ? On ne peut que désirer être à ses pieds. De plus comme chacun sait, le mâle est très vulnérable.  Il est, souvent, trahi par son sexe qui réagit au quart de tour dès que des pensées lubriques se font jour dans son esprit.

Et c’est bien par ce biais que Mademoiselle Camille pensait m’atteindre. En effet, elle avait compris que la pure force brutale avait provisoirement cessé d’être efficace.

 

Retournement de situation

 

Le résultat escompté ne se fit pas désirer longtemps et donc d’un ton un peu moins doucereux et ouvertement moqueur :

-de quoi te plains-tu donc delphine ?ce que je vois là est  éloquent! à qui vas-tu faire croire que tu serais en révolte contre le sort qui t’es dévolu, et pour lequel nous mettons toute notre ardeur pour le mettre en oeuvre?

Plus elle me parlait, et plus mon membre se dressait ! Il aurait été vain de le cacher à la vue de mon entourage ! Les autres jeunes dominatrices murées dans le silence, prenaient garde de ne pas interrompre le travail de reconquête entrepris avec dextérité par leur amie.

La suite fut alors délectable pour celle qui avait brillamment retourné une situation délicate, prenant au dépourvu ses compagnes à un instant décisif.

Elle se permit alors de prendre ma queue dans sa main, sans violence, mais plutôt pour montrer sa maîtrise et affirmer une prise de possession toute symbolique, et sans relâcher la pression, elle continua :

 

De jeunes dominatrices, expertes pour trouver des proies potentielles!

 

-enfin delphine, crois-tu que nous soyons du style à nous tromper de cible? Nous sommes des éducatrices nées, pour le bien des mâles qui ne rêvent que de soumission à l’autorité féminine sans oser se l’avouer, mais qui n’attendent que de trouver sur leur chemin celles qui vont leur permettre d’assouvir leurs fantasmes les plus inouïs.
Nous reniflons très vite nos proies potentielles. Aussi, nous ne perdons jamais notre temps avec les autres .
Oui, nous avons été très dures et très sévères avec toi, mais c’était uniquement pour ton bien, pour te donner ce qu’au fond de toi-même tu aspires à vivre !

Nous t’avons vu assez de fois à ta fenêtre avec des tenues de soubrette ravissantes, des blouses et tabliers de fille de ménage. Même parfois, nous avons été surprises de te voir porter des robes sous de petits tabliers. Nous étions donc sûres dans notre choix avant de nous investir dans ton éducation.
Oseras -tu me dire en face le contraire ?

 

Mademoiselle Camille, redoutable d’ingéniosité !

 

Même à ce stade, le ton restait posé.  Il était digne d’un entretien avec un psycho-sexologue si j’ose dire, et c’était redoutable d’ingéniosité. J’étais subjugué par ce savoir faire en passe de définitivement annihiler ma dernière tentative de rébellion.

Mais Mademoiselle Camille se permit une audace inimaginable. En  devançant ma réponse à la question qu’elle venait de me poser, et sans consulter le groupe, tant elle était certaine du nouvel état des choses, elle ajouta :

-Chiche delphine, si tu penses vraiment que l’avenir que nous te proposons n’est pas envisageable, dis le clairement, à haute voix ! Et nous jurons solennellement que nous disparaitrons de ta vie pour toujours, en te laissant seul prisonnier de tes fantasmes qui ne seront jamais assouvis, avec simplement ce souvenir d’un moment unique où ils auront été réalisés par nos soins.

Le mutisme prolongé des autres demoiselles avait valeur d’acquiescement, tant les derniers développements leur avaient échappé.

 

Au pied du mur!

 

-Par contre, si comme j’en suis convaincue, tu ne rêves que de soumission à l’autorité féminine, tu devras également le formuler sans la moindre ambiguïté. Tu le feras oralement, puis dans la foulée par la signature d’un contrat de soumission que nous préparerons aussitôt. Ce contrat te liera à tes Maîtresses pour une durée minimale que nous fixerons, sans possibilité pour toi de t’en délier.
Enfin, je serai loyale jusqu’au bout, si tu acceptes ta nouvelle vie, il est naturel, que tu sois sévèrement punie, pour ta rébellion J’entends par là, une punition exemplaire, qui marque une vie, mais dont tu nous sera éternellement reconnaissante par la suite.
Je sais parfaitement l’origine de ton début de révolte. C’est pourquoi je sais tout autant comment corriger cet écart de conduite pour te remettre dans le droit chemin. En conséquence, on inaugurera ton allégeance par un entrainement à l’humiliation publique, avec épreuve immédiate en cas de réponse positive de ta part.

Après ces paroles empreintes de solennité, elle relâcha la pression sur ma queue. Celle- ci se dressa dure comme je ne l’avais encore jamais vécu: sans équivoque !

C’est à cet instant précis, que Mademoiselle Camille, lâcha opportunément d’un ton volontairement grave :

-Alors, maintenant  delphine, on t’écoute !

Difficile de concevoir un discours plus explicite :j’étais au pied du mur!

 

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3 réflexions au sujet de “Soubrette mâle au service de jeunes dominatrices (13)”

  1. oh oui la suite la suite alors il a capitulé ou il a fini par se revolter pour de bon la es la question ceci dit s’il c’est revolté c’est fini….ce serait dommage

  2. J’adi La reprise en mains de delphine par Mademoiselle Camille.
    Nous sommes comme cela les soumis comment résister à un tel discours

  3. Merci d’être revenu et de continuer cette belle histoire.
    Surtout je vous en prie, continuez et merci encore

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