S… s’empara du billet sans un mot et, fixant d’un regard froid les yeux d’O…, le fit courir lentement sur ses lèvres, puis sur ses seins et, enfin, entre ses cuisses largement ouvertes, effleurant son clitoris. Elle posa finalement le billet dans sa niche de chevet puis, d’un ton ferme, tout en s’installant confortablement sur le dos au milieu du lit, elle demanda à son esclave de venir la prendre. O… ne se fit pas prier et il se plaça à genoux sur le lit entre les cuisses de sa Maîtresse dominatrice.
Il se pencha en avant et se plaça au-dessus d’elle, s’appuyant sur ses bras tendus, son gland effleurant le sexe de S… Sans un mot, avec une grande maîtrise d’elle-même, elle se saisit de la queue palpitante et l’introduisit en elle comme s’il s’était agi d’un godemiché en latex.
Il put constater qu’elle était totalement prête, sans doute sous l’effet des caresses que, un instant auparavant, Vanessa lui avait prodiguées. Elle fit un signe de tête à O… qui, sans une seconde d’hésitation, s’introduisit complètement en elle d’une poussée, resta un instant immobile au fond d’elle puis commença un lent mouvement de va-et-vient. Elle s’adressa alors à Vanessa :
- Ma chérie, tu veux bien te placer à ma gauche sur le lit ? Ce sera plus confortable pour la suite…
Vanessa, littéralement subjuguée, par le spectacle de S. et de son mari
Sans se faire prier, à la fois fascinée et excitée par le spectacle qui s’offrait à elle, Vanessa contourna son Amante et son mari pour venir s’allonger à nouveau à côté de S…, mais cette fois à sa gauche, appuyée sur le coude droit, les jambes à demi repliées. Elle ne put résister à l’envie de l’embrasser et, tandis qu’O…, s’appuyant sur ses bras toujours tendus, continuait à aller et venir lentement et profondément dans le sexe de son Épouse, Vanessa posa ses lèvres sur celles de son Amante, sa main gauche s’aventurant sur ses seins fermes dont les pointes durcirent immédiatement sous l’effet de cette caresse appuyée.
Leurs langues se mêlèrent un long moment, puis leurs lèvres se décollèrent et S… murmura à Vanessa dans un sourire :
- Attends un peu…
Puis, s’adressant à son esclave, tout en claquant des doigts, elle prononça ce simple mot :
- côté !
Dans ce qui semblait être un réflexe quasi pavlovien, veillant à bien maintenir sa queue toujours profondément fichée dans le sexe de sa femme, O… cessa son va-et-vient et se redressa un peu plus sur ses avant-bras. Il pivota sur le côté droit de sa Maitresse dominatrice, s’allongeant alors sur le lit presque perpendiculairement à elle, plaçant ses jambes au-dessous de celles, à demi repliées, d’une Vanessa littéralement subjuguée par ce spectacle. S… plia légèrement la jambe gauche pour la faire passer au-dessus du bassin de son esclave, l’emprisonnant désormais dans les longs ciseaux de ses cuisses.
Tout le haut de son corps était ainsi dégagé, jusqu’à son pubis. Son sexe, bien que plein de la queue de son mari, était parfaitement accessible à la masturbation qu’elle prodiguait systématiquement à son clitoris chaque fois que, pour son seul plaisir, elle lui demandait de la pénétrer de cette façon.
Scène excitante entre cette magnifique dominatrice et son esclave
Pour l’humilier, elle avait coutume de dire qu’il ne la faisait pas jouir, mais qu’il l’y aidait comme l’aurait fait un gode, ce qui était on ne peut plus exact.
Jugeant la position satisfaisante, elle fit un nouveau signe de tête à O… qui reprit son lent mouvement de va-et-vient en elle, connaissant parfaitement le rythme qui lui convenait.
Elle commença alors à se caresser de la main gauche, pressant son bouton à nouveau gorgé de désir d’un mouvement circulaire de ses doigts. Elle tourna son visage vers celui de Vanessa, restée volontairement silencieuse pour ne pas troubler ce rapport sexuel si particulier.
- Fais-moi jouir pendant que mon gode me lime, lui dit-elle doucement, plongeant son regard dans celui de la jeune femme.
Toujours sans un mot, elle-même très excitée, Vanessa ne se fit pas prier et se pencha sur son Amante, l’embrassa à nouveau à pleine bouche tout en déplaçant sa main gauche de ses seins vers son entrejambe largement ouvert. Elle plaça ses doigts sur ceux de S… et les accompagna dans leur masturbation, s’adaptant au rythme que son Amante suivait pour faire monter son plaisir.
Au bout d’un moment, S… retira d’elle-même ses doigts de son clitoris afin de laisser le champ libre à ceux de Vanessa. Elle s’abandonna totalement aux caresses de la jeune femme, lui offrant à nouveau son sexe tout comme elle offrait sa bouche à sa langue possessive. De sa main droite, elle prit un immense plaisir à caresser les seins lourds qui pressaient les siens, sentant les pointes durcir à mesure que, à l’unisson du sien, montait le désir de son Amante.
Esclave, simple spectateur, des ébats entre sa dominatrice et Vanessa
Depuis la position qui était la sienne, à la vue de ce spectacle dont il n’était qu’un acteur mineur, O… sentait le sang battre dans ses tempes et dans son sexe, et il dut se concentrer énormément pour ne pas laisser le désir l’envahir jusqu’à un point de non-retour. Il n’avait pas le droit d’éjaculer, il le savait, et il devait se focaliser sur le seul plaisir de sa Maîtresse dominatrice. Les ébats de sa Femme et de son Amante, vus d’aussi près, étaient fascinants, et il se sentait réellement privilégié d’être autorisé à y participer, fut-ce dans le rôle du gode-vivant qu’il assumait pleinement.
Au fond de lui, il remercia silencieusement sa Femme et Maîtresse dominatrice pour ce cadeau qu’elle lui faisait, véritable don du ciel. Au bout d’un long moment, il sentit le plaisir monter dans le corps de sa Maitresse dominatrice, et il s’appliqua à maintenir le rythme lent et continu dont il savait qu’il l’aidait à jouir. S… commença à agiter son bassin plus frénétiquement sous les savantes caresses de Vanessa.
Tout à coup, elle se tendit, se dégagea du baiser de Vanessa, et entrouvrit la bouche, prête à crier son plaisir. Elle plongea la main droite dans les cheveux d’O… et commença à les tirer, d’abord doucement puis de plus en plus fort à mesure que la vague approchait. Ne pouvant plus contenir son désir de jouir, elle eût un spasme et se cabra, poussa un gémissement qui devint un hurlement en tirant violemment sur les cheveux de son esclave qui contint difficilement un cri de douleur. Le plaisir la traversa pendant un long moment après lequel Vanessa, qui avait désormais ôté la main de son sexe, lui caressa doucement les seins en l’embrassant tendrement.
Mari, esclave et utilisé comme un gode vivant!
Ensuite, elle chuchota à son oreille :
- Bravo ma chérie, tu es si belle dans l’orgasme !
- Merci pour tes caresses, tu m’as fait jouir merveilleusement, lui répondit S…
- De rien, le plaisir était pour moi, vraiment. Mais, dis-moi, tu me prêterais ton gode, maintenant ? Tout ça m’a incroyablement excitée !
- Mais bien sûr Vanessa, il est à toi, fais-en ce que tu veux.
Ce disant, elle eût un geste de la main intimant à son esclave l’ordre de se retirer d’elle. Il s’exécuta et elle ajouta :
- la seule chose que je te demande, c’est de lui interdire d’éjaculer, si tu veux bien. Il l’a fait il y a trop peu de temps, je ne voudrais pas que ça devienne une habitude.
- Je comprends et sois tranquille, tu peux totalement compter sur moi. Quand a-t-il joui pour la dernière fois ?
- Je dirais que ça fait 5 ou 6 semaines environ qu’il n’a pas éjaculé. Je vérifierai sur son carnet d’esclave. Mais en moyenne, je le laisse faire 4 à 5 fois par an, ça me semble déjà beaucoup. Ah oui, un détail : zuma éjacule, mais le vocable d’orgasme ou de jouissance ne s’applique pas à lui, si tu vois ce que je veux dire.
- 4 ou 5 fois par ans, la vache, c’est dur quand même ! Mais c’est visiblement ce qui lui convient. En revanche, sur cette histoire de jouissance et d’orgasme, je ne suis pas certaine de comprendre, tu m’expliques ?
O. au service du plaisir de sa Maîtresse dominatrice et de son Amante
- En fait, c’est très simple. Pour moi, comme pour zuma d’ailleurs, la jouissance et l’orgasme appartiennent au vocabulaire des hommes et des femmes, notamment lorsqu’ils font l’amour. Un esclave n’a pas ce statut et, à proprement parler, il ne fait pas l’amour, il saille tout au plus. Lorsqu’on laisse l’esclave mener une saillie à son terme, il n’éprouve pas d’orgasme et ne jouit pas comme le fait un homme digne de ce nom, il évacue son foutre en éjaculant, c’est tout. Cela se réduit pour lui à un pur processus physiologique, animal.
- Mmm. Intéressant, j’aime beaucoup cette façon de voir les choses, et j’y adhère complètement. Peut-être devrais-tu d’ailleurs réfléchir à l’idée de ne plus lui permettre d’éjaculer en toi. En règle générale, j’adore être emplie du sperme de mes partenaires de toutes les façons possibles, et j’en bois même souvent avec grand plaisir, mais je n’aimerais pas quant à moi être souillée par du foutre d’esclave… Mais maintenant, à moi de jouer, et de jouir ! Pour commencer, je vais essayer ta méthode, en l’aménageant peut-être un peu à ma façon…
- Attends, je vais te laisser le champ libre, mets-toi au milieu du lit, échangeons nos places.
Ayant dit cela, S… se décala vers la partie gauche du lit tandis qu’O…, se sentant plus que jamais tenu d’être au service du plaisir des deux Femmes, se releva et se mit à genoux, permettant à Vanessa de s’installer au beau milieu du lit, sur le dos, les jambes largement écartées, sans la moindre pudeur. O… n’avait pas débandé et la vision qui s’offrait à lui le rendit plus dur encore.
S. très excitée par le spectacle, offert par son mari et Vanessa
Vanessa le remarqua et dit à S…, les deux femmes continuant à parler de lui comme d’un objet :
- Je l’ai déjà laissé entendre, ce n’est de loin pas la plus grosse bite que j’ai vue, mais il faut reconnaitre qu’il semble plutôt endurant ! Puis, s’adressant à lui d’un ton sec : viens gode, pénètre-moi !
O… ne se fit pas prier, désireux qu’il était d’aider cette femme superbe à éprouver à son tour du plaisir. Il se plaça entre les jambes et au-dessus de Vanessa exactement comme il l’avait fait avec sa Maîtresse dominatrice, les bras tendus, abaissant le bassin afin que son gland effleure le sexe de la jeune femme.
Comme S… l’avait fait un moment auparavant, Vanessa se saisit du membre toujours palpitant et le plaça à l’entrée de son vagin. Elle aussi était très excitée, trempée et ouverte, et il put la pénétrer en une fois dans un bruit humide. Elle gémit doucement et demanda à O… d’aller et venir en elle à un rythme à peine plus rapide que celui dont il avait usé avec sa Maîtresse.
S… observait la scène avec un mélange d’intérêt et, à nouveau, d’excitation : c’était la première fois qu’elle voyait son mari faire l’amour à une autre femme et, curieusement, elle n’en éprouvait aucune jalousie, souhaitant au contraire que son Amante éprouve avec lui un plaisir infini. Cela signifiait-il qu’O… était désormais son esclave plus que son mari ?
Était-il désormais devenu à ses yeux un simple gode-vivant qu’elle pouvait prêter à sa guise à qui lui semblait bon ?
Consciente de son absolue supériorité sur lui, elle plongea les yeux dans ceux d’O… qui, plus que jamais, se sentit la propriété de sa Maîtresse.
Vanessa, en demande, d’autres positions
Vanessa voulut adopter avec O… une position qu’il ne connaissait pas, même si elle était proche de celle que sa Femme lui imposait systématiquement. Alors qu’il était en train de la limer avec application au rythme qu’elle avait exigé, elle replia simultanément les deux jambes le plus haut possible, ses cuisses venant écraser ses seins imposants.
Elle lui demanda alors de pivoter comme il l’avait fait avec sa Maîtresse dominatrice tandis qu’elle conservait les deux jambes repliées, mais en passant cette fois la tête et le torse sous sa jambe droite. La manœuvre fut quelque peu acrobatique, mais il parvint tant bien que mal à l’exécuter, son corps se retrouvant cette fois parfaitement perpendiculaire à celui de la jeune femme et, surtout, intégralement sous ses deux jambes qu’elle avait désormais dépliées.
Dans cette position, il pouvait continuer à aller et venir en elle au rythme imposé, et elle était quant à elle placée complétement au-dessus de lui, les jambes largement écartées, l’accès à son pubis et à son sexe rendu ainsi totalement libre. Elle en profita pour commencer à se masturber et S… entreprit alors de lui prodiguer le traitement dont son Amante l’avait gratifiée un peu plus tôt. Vanessa la remercia du regard et l’attira vers elle pour qu’elles s’embrassent.
Test de résistance du gode vivant par Vanessa
Le trio resta dans cette configuration pendant un long moment et O… sentit le plaisir monter au rythme de plus en plus syncopé des mouvements du bassin de Vanessa.
Alors qu’il imaginait que la jeune femme allait, à l’instar de sa Maîtresse dominatrice, vouloir jouir dans cette position, Vanessa interrompit leurs ébats en s’adressant à son Amante d’une voix tendre :
- Mmmm… Ce que c’est bon, merci ma chérie, je ne suis plus très loin de jouir à nouveau ! Mais je crois que je vais utiliser ton gode de façon un peu plus active, si tu m’y autorises. C’est là qu’on va voir s’il est vraiment résistant !
- Bien sûr que je t’y autorise, je te l’ai dit : il est à toi. Et j’ai très envie de voir ce que tu vas en faire !
Vanessa embrassa à nouveau S… avec passion, puis elle fit signe à O… de se retirer d’elle. Elle se releva et exigea, impérieuse :
- Allonge-toi sur le dos esclave, tout de suite !
Sans un mot, il s’allongea sur le dos au milieu du lit, son sexe toujours dressé, à la fois soulagé de pouvoir relâcher un peu la pression qui le faisait s’approcher dangereusement de l’éjaculation et inquiet de la nouvelle épreuve à laquelle l’Amante de sa Femme désirait visiblement le soumettre.
Toujours plus de plaisir pour Vanessa
Sans attendre, Vanessa s’agenouilla au-dessus de lui, les cuisses largement écartées, la vulve à hauteur de son pénis.
- Aide-moi s’il te plait, dit-elle doucement à l’intention de S…
Agenouillée sur le lit, S… s’approcha et saisit la queue de son esclave de la main gauche, la maintenant bien verticale.
Elle plaça la verge à l’entrée du vagin de la jeune femme et commença à la guider à l’intérieur. Dans cette position, l’orifice s’était légèrement resserré, et Vanessa dut s’ouvrir plus complètement pour avaler le membre dans sa totalité. S… l’aida, gardant la queue bien en place afin que son Amante puisse se l’approprier entièrement.
Lorsque ce fut fait, lorsqu’il fut au fond de la jeune femme, S… ôta sa main et Vanessa commença à le chevaucher doucement, montant et descendant son bassin dans un rythme lent, laissant la hampe de chair aller et venir en elle sans qu’il n’eût rien à faire. Il plaça ses mains sur les fesses pleines et fermes de Vanessa et les écarta afin de la pénétrer plus à fond encore. Elle se laissa faire sans broncher, désormais complètement ouverte. Le plaisir commença à monter en lui, et il dut à nouveau se concentrer pour garder son self-control.
A suivre
