Déshumanisation d’un homme soumis par sa Dominatrice (6)

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Déshumanisation d’un homme soumis (5)

Je repris lentement mes esprits dans la voiture qui me ramenait chez ma Maîtresse Dominatrice.

J’arrivais chez ma Maîtresse à 20h. Heure à laquelle j’aurais juste dû donner ma réponse. Ma volonté de montrer ma motivation en répondant avant avait juste précipité ma chute.

De nouveau, à genoux devant ma Dominatrice

Dominatrice

J’étais nu, avec une cage, un plug et des poids aux testicules. Colliers et bracelets étaient mes nouveaux vêtements, ceux que l’on n’enlève pas et qui vous mettent encore plus à nu.

A genoux devant ma Maîtresse dominatrice, mon corps, marqué de tant de coups, faisait penser à une mosaïque.

Mes yeux étaient baissés.

  • Maîtresse Noémie a pris bien soin de toi à ce que je vois. Tu sauras désormais qu’il faut obéir, et uniquement obéir. Devancer, modifier, anticiper les ordres, ce n’est pas obéir.

Elle était installée dans un fauteuil, toujours aussi droite. Aucune empathie mais aucune agressivité non plus, elle énonçait juste des évidences.

  • Elle m’a dit cependant que tu avais été exemplaire dans ton comportement. C’est une bonne chose. T’infliger de la douleur n’est pas un plaisir. Cela arrive bien sûr qu’une dominatrice se défoule sur son chien pour le plaisir, mais ce n’est pas l’objectif principal. La douleur accompagne le dressage car le cerveau des soumis étant en grande partie dans ses couilles, c’est une des méthodes les plus efficaces pour le dresser. Comme un animal, pour lequel la récompense devient le plaisir de servir la Femme.

Explications sur mon dressage lors des six prochaines semaines

Elle me regarda, je sentais ses yeux pénétrer mon âme et sous ce regard, sa voix devenait le seul élément de tout l’univers à me parvenir.

  • Bientôt, tu ne penseras plus par toi-même. Ta déshumanisation a déjà commencé. Tu ne deviendras pas un animal même si tu auras certains des comportements animaux, mais tu seras juste une chose comprenante. En tant que catégorie E, on n’attend de toi qu’une parfaite obéissance et une réelle excellence dans un certain nombre de tâches, nombre limité car tu es limité. Pendant les six semaines que tu passeras avec moi, tu apprendras les bases, tu oublieras le reste de ta vie, de tes pensées, de tes habitudes, de tes envies, de tes rêves. La totalité de ton être, corps, sens, esprit et âme sera totalement consacré à ta Maîtresse Dominatrice.

Elle fit une pause, comme pour laisser chacun de ses mots trouver sa place dans mon cerveau. Je buvais ses paroles, ni heureux, ni malheureux, comme si cela s’adressait à ce que je n’étais pas encore. Persuadé cependant que tout ses mots étaient une réalité parfaite d’un monde simple et étincelant dans lequel je venais d’entrer, balourd et maladroit encore, entouré de cristal et de porcelaine.

  • Tes désirs de soumis sont caduques. Je suis sûr que tu t’en rends compte désormais. Tu rêvais peut-être cet instant ou tu imaginais lécher tout le jour le sexe de femmes offertes ou bien encore tu pensais être possédé par des godes ou que sais-je. Tout cela arrivera, ou pas. Tout cela n’est rien. Il faut que ton être entier accepte, intègre, digère le fait que tout ordre est ton désir. Ce mot même finira par ne plus avoir de sens pour toi. Comme plaisir. Le seul plaisir est celui de la Maîtresse. Le tien n’a plus de sens.

Détails sur le Cercle, dont je fais, désormais, parti en tant que soumis

Encore une pause, un silence puis la suite de ce qui m’attend.

  • Je serai ta Maîtresse. Il faut cependant que tu saches que je ne suis pas seule. Tu as rencontré Maîtresse Noémie qui se charge souvent de petites punitions.

Le mot « petite » me fit sursauter, elle esquissa un sourire mais reprit.

  • Nous appartenons au Cercle. C’est le Cercle qui délivre un matricule à tout soumis qui le rejoint, momentanément ou définitivement. Ce Cercle est constitué de nombreuses femmes dominantes qui n’ont qu’un mode de vie, celui de la Gynarchie et de très, très nombreux soumis.
  • Tu appartiens au Cercle, donc toutes ces femmes sont tes Maîtresses. Dans l’absolu, toute femme est supérieure à toi, donc ta Maîtresse, tout homme est supérieur à toi donc ton Maître, tout soumis, hormis les F et les E sont supérieurs à toi, donc tes Maîtres aussi. Je te conseille de toujours considérer que la personne en face de toi t’es supérieure, ce sera plus simple pour toi et ce sera vrai dans 99,9% des cas.
  • J’ai intégré dans la base du Cercle tous les éléments importants te concernant et déposé au coffre du Cercle tes papiers d’identité. Ton matricule sera ta nouvelle identité. On te le tatouera bientôt et on t’implantera sous la peau une puce contenant les informations de base te concernant ainsi qu’une puce GPS afin de te localiser. La puce est lisible par une simple application de smartphone développée par le Cercle. Elle permet de voir les soumis autour de soi ainsi que d’accéder aux informations basiques les concernant, photo, âge, catégorie, compétences, disponibilité, expérience… Nous te poserons aussi un collier, assez discret mais inamovible, en titane. Ainsi qu’une boucle d’oreille, elle aussi inamovible qui permettra à une dominatrice de te repérer plus facilement dans la rue.

 

En phase « zéro » dans la base de données du Cercle!

Elle continua

  • Dans cette base de données, tu es en phase « zéro ». Cela signifie que tu n’es pour l’instant d’aucune utilité, mais tu existes. Quand tu seras en phase « une », cela signifiera que tu as commencé ton apprentissage et maîtrise les bases, d’ici quelques mois je pense. En phase « deux », tu seras opérationnel sur au moins trois « compétences », par exemple ménage, léchage de cul ou massage des pieds, il te faudra bien une année complète pour en arriver là, peut-être deux. En phase « trois », tu maîtriseras toutes les compétences qu’on attend de toi, compte encore deux à trois années d’apprentissage pour cela.
  • En phase « quatre », tu n’es plus capable de servir correctement pour la plupart des compétences mais tu peux encore par exemple servir d’urinoir, cela arrivera d’ici une dizaine d’année suivant ce que tu auras enduré. En phase « cinq », tu es en ephad ou dans un mouroir. En phase « six », tu n’es plus et tu es effacé de la base dès réception du certificat de décès.

Je vais servir une dizaine d’années. Environ. Servir. Toute ma vie entre désormais dans ce mot et finalement rien d’autre. Et je ne ressens aucune révolte, aucun doute, aucune colère. J’entre en Gynarchie comme on entre en religion, avec une foi intense derrière laquelle mon être entier s’efface.

 

Suite de la liste de tous les apprentissages que je vais devoir acquérir

  • Bien. Je pense qu’il y a pas mal de demande en ménage, léchage de cul et fellation, j’ai du mal à comprendre toutes ces dominantes qui aiment que leur soumis de catégorie A se fasse sucer mais bon, c’est ainsi. Nous allons mettre ces apprentissages en priorité. Comme je suis audacieuse et que j’aime ça, je vais ajouter urinoir. Cela te fera quatre qualifications. Pour ton information, les soumis de type E doivent parfaitement maîtriser tout massage de corps ou tout léchage de corps (homme, femme et autres genres, animal de compagnie ou autre soumis de catégorie supérieure) quel que soit son degré de saleté, son odeur, son âge, son apparence bien sûr,
  • la capacité à sucer (et faire jouir) tout sexe masculin, d’homme, de soumis, d’animal de compagnie, la capacité à être pénétré par toute objet ou pénis d’un diamètre jusque 8 centimètres (animaux compris), la capacité à servir d’urinoir pour tout humain, la capacité à laver à la main tout vêtement ou linge délicat, à repasser parfaitement, à faire un ménage impeccable de toute une maison, du sol aux vitres, à servir à table ou lors de réception, à nettoyer vaisselle, argenterie et autres pièces difficiles, à nettoyer parfaitement tout type de voiture, à servir de meuble (repose pieds, porte manteau, table de salon, tabouret, lampadaire…).
  • Il te faudra beaucoup de temps pour Maîtriser tout cela, mais tu y arriveras… dans le cas contraire, le Cercle ne rend pas la liberté. Nous avons un accord avec d’autres organisations dans d’autres pays et tu seras revendu pour servir d’esclave dans des conditions, disons… plus difficiles.

 

Début de ma formation sous les ordres de ma Maîtresse Dominatrice

Dominatrice

Silence à nouveau. Je ressentais chaque mot, chaque intonation comme mon oxygène.

  • Bien, tu vas commencer par le couloir en carrelage. Brosse à dent, sans les mains. Un sceau d’eau légèrement savonneuse et une serpillère que tu apprendras à tordre avec la bouche. Suis moi.

Je suivais à quatre pattes ma Maîtresse Dominatrice et me retrouvais rapidement les mains attachées dans le dos, avec devant moi une brosse à dent, un sceau d’eau et une petite serpillère au bout de son couloir. Le carrelage étincelait et je doutais qu’il y ait beaucoup de saleté.

  • Tu commences par ce coin, dalle après dalle, n’oublies pas les plinthes. Tu prends la serpillère, tu la mouilles, tu l’essores, tu humidifies la dalle, puis tu prends la brosse à dents et tu frottes. Tu frottes vraiment ! Puis tu reprends la serpillère, la rince, l’essores et essuies la dalle faite. Je repasse tout à l’heure.

Je ne voyais pas comment je pourrais essorer la serpillère sans les mains mais je tentais, obéissant, les coups de Maîtresse Noémie encore douloureux.

Je prenais la serpillère dans ma bouche, sale et sentant mauvais et la plongeais dans l’eau. Puis, la ressortant, j’essayais de la mordre, le jus dégoutant me coulant dans la bouche, puis je déplaçais légèrement la serpillère avec la langue et recommençais. Il me fallut déjà un quart d’heure pour essorer la serpillère. J’humidifiais la dalle, baladant la serpillère avec ma bouche. Puis saisissait la brosse entre mes dents et tentais avec difficulté de brosser. Malgré tout un petit jus gris semblait se former, pas si propre le sol ou était-ce le jus de la serpillère? Le temps passait et ma seule conscience venait des crampes à ma bouche.

 

Vérification de mon travail par ma Maîtresse dominatrice

Ma Maîtresse revint au bout de ce qui me semblait une éternité. J’avais « lavé » trois dalles ainsi que leurs plinthes.

  • Je te laisse aller très lentement aujourd’hui, c’est ton premier jour, mais il va falloir accélérer très fortement et ne pas négliger la qualité ! continue!. Il est 20h, tu as une horloge là. A minuit, tu arrêtes. Je t’ai mis une vielle couverture et un coussin dans le coin là, tu dors. Je te réveillerai.

Je ne m’étais pas arrêté et paniquais à l’idée de continuer encore quatre heures… obéir.

Ainsi, je fis huit autres dalles avant d’aller m’allonger, rompu, des fils et des saletés plein la bouche. Je m’endormais vite, malgré les mains attachées, et toutes ses entraves qui devenaient partie intégrante de mon corps.

Réveil cravache… Ma Maîtresse était avec une robe de nuit assez classe et lumineuse.

Elle m’apporta un petit saladier dans lequel un petit tas de céréales était déposé et le posa devant moi. Ensuite, elle s’accroupit après avoir soulevé avec une certaine grâce sa robe et urina sur mes céréales. Elle se redressa ensuite en me lançant « nettoie ».

Je me relevais sur les genoux pour lécher son sexe glabre et le nettoyer. Ma queue se réveilla aussi, entravée… mais heureuse. Je connaissais enfin la douceur de son sexe.

 

Utilisé comme un tabouret par ma Maîtresse Dominatrice

  • Mange, ne laisse rien et remet toi au travail. Il est sept heures, tu as beaucoup dormi, ça ne durera pas. Tu continues jusque midi. Cet après-midi, nous te ferons tatouer et poser la puce, le collier et la boucle. Puis nous reprendrons ta formation. Essaie d’aller plus vite ce matin, sinon je vais devoir t’aider.

Je savais d’instinct que cette aide serait douloureuse et je m’approchais du bol de pisse aux céréales. Je l’ingurgitais sans dégoût, sans plaisir et léchais le saladier pour qu’il soit impeccable. Puis je reprenais mon activité de nettoyage et retrouvais le goût encore plus immonde de la serpillère.

  1. Il restait 20 dalles à midi, j’aurais dû finir, je reçus donc 20 coups de cravache qui rouvrirent de petites plaies que m’avait laissées Maîtresse Noémie en souvenir.

Ma Maîtresse Dominatrice me détacha et se servit de moi comme tabouret pendant qu’elle mangeait. Elle me nettoya avec un jet d’eau froide dans la douche puis me rendit ensuite pull, pantalon et chaussures. Ensuite, nous partîmes à pied.

A suivre

 

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