Je vais vous raconter comment je me suis retrouvé piégé dans une cabine d’essayage par une femme dominatrice.
En homme compréhensif, il m’arrive d’accompagner, parfois, ma copine dans ses virées « shopping ». Naturellement, je fais cela pour lui faire plaisir. Ainsi, je mets de côté, mon naturel macho.
Ce que je déteste le plus pendant ces séances de shopping, les essayages! En effet, je ne sais jamais combien de temps cela va durer. J’ai pu constater que c’était très variable pour ma chérie, tout comme pour les autres femmes.
Ainsi, cela peut aller très vite. Elle peut avoir essayé, en quelques minutes, 10 vêtements qui lui plaisent et quelques fois, en trente minutes, seulement 3, tant elle hésite! Je trouve cela exaspérant et incompréhensible. Ainsi, moi quand je fais du shopping, en 5 minutes, j’ai choisi, essayé et payé (allez, 10 minutes quand j’hésite!).
Enfin s’il n’y avait que le problème des essayages!
Mais non, quelques fois, nous faisons des allers-retours entre deux magasins car ma copine n’arrive pas à se décider! De plus, la plupart du temps, je dois l’accompagner dans la cabine d’essayage.
J’essaye, toujours, d’attendre à l’extérieur. Cependant, sous un fallacieux prétexte, elle me fait, désormais, à chaque fois entrer. Elle se sert de moi comme une bonne copine.
Sous prétexte de gagner du temps, elle me demande souvent d’aller lui chercher une taille ou une couleur différente. Ainsi, je me retrouve à patienter à l’extérieur de sa cabine, au milieu des autres cabines. Dans 90% des cas, en plus de me saouler, je ne lui sers à rien. En effet, ce n’est pas comme si elle allait tenir compte de mes conseils en matière de mode.
Au milieu des cabines d’essayage pour femmes!
Ainsi, lors de notre dernière virée shopping, je me retrouvai au milieu des cabines…
Ma copine avait, une fois n’est pas coutume, choisi une dizaine d’articles, de différentes tailles, couleurs et même motifs. Aussi, j’avais compris que je ne servirais pas à grand chose et que ça allait probablement durer un sacré moment.
Ainsi, j’attendais au milieu de deux séries de 5 cabines. A moitié concentré sur mon téléphone, je vis arriver une belle femme mature s’approcher avec de multiples articles entre les mains.
Je remarquai, discrètement, deux choses, sa chevelure rousse ondulée avec de jolis yeux clairs envoutants, et qu’elle avait dans les bras de la lingerie fine…
Elle se mit dans une cabine d’essayage en face de celle de ma chérie, un peu avant. Elle tira le rideau pour s’isoler, après m’avoir envoyé un petit sourire et un bonjour plein d’éclats.
Le rideau était tiré. Ainsi, les personnes qui passaient près des cabines ne pouvaient pas l’apercevoir. Mais, ainsi tiré, il laissait un espace qui d’un certain angle, me permettait de jouer les voyeurs sans pouvoir voir complètement cette belle inconnue.
De l’intérieur de la cabine d’essayage, j’apercevais tantôt une jambe, parfois la courbe d’un fessier, et à mon plus grand bonheur, dans le meilleur des cas, un sein d’une poitrine opulente. J’ai toujours aimé les seins, petits ou gros, fermes ou souples, ils ont chacun des avantages. Ceux de la rousse inconnue semblaient refaits, et donc fermes et bien tenus. Cela lui permettait probablement de porter tout ce qu’elle voulait me disais je.
Intrigué et subjugué par la belle inconnue
Ma copine me tenait, régulièrement, au courant de là où elle en était et me passait les articles qu’il fallait remettre en rayon.
En toute franchise, j’attendais, impatiemment, que l’inconnue saisisse le soutien gorge noir en dentelle dont je pouvais lire l’étiquette 90 D, à côté du même en 90 E. Je me pris à rêver de la voir porter cette dentelle.
Enfin, je me décidai à dire à ma copine que j’allais ranger les affaires puis l’attendre dehors si cela ne la dérangeait pas. Elle me fit encore patienter dix bonnes minutes, ce qui me couta bien plus cher que je ne le crus.
En effet, mon inconnue avait, enfin, enfilé le string noir assorti, qui lui allait à merveille. Avec son coude, en enfilant le soutien gorge, elle avait bougé de quelques millimètres le rideau la cachant. Ainsi, je pouvais choisir de voir ses fesses ou ses seins suivant comment elle se tournait pour s’admirer dans le miroir.
J’étais entrain de bloquer sur sa magnifique poitrine pensant qu’elle regardait ses fesses et comment le string se glissait entre elles. Et je fus surpris par un flash. Elle avait passé la main et son téléphone venait de me prendre en photo entrain de la regarder dans le miroir. De suite, je me mis à rougir, puis, je regardai si le rideau de la cabine d’essayage de ma copine avait bougé.
Pris au piège par cette dominatrice inconnue!
L’inconnue, ouvrit d’un tiers le rideau, posa son index sur mes lèvres et me tendit son téléphone sur lequel elle avait écrit un message sous la photo prise.
- Tu n’es qu’un sale voyeur! Soit tu entres sans un mot dans ma cabine en te mettant à genoux pour me lécher, soit je crie au voyeur et je montre la photo à ta copine !
J’étais bouche-bée et incapable de dire un mot ou de faire un mouvement.
- Confirme à ta copine que tu vas l’attendre dehors et entre en silence !
J’étais coincé!
- Caroline, je vais ranger tes affaires, et faire la petite course dont j’ai besoin, on se rejoint à la voiture, ok ?
Ma copine, comprenant que cela durait trop pour moi, accepta sans rechigner.
- ok pas de souci, à tout à l’heure, bisous mon chéri.
En même temps que je me retournais, l’inconnue avait saisi mon téléphone. De l’autre main, elle me tira dans la cabine d’essayage en m’attrapant par les cheveux, m’obligeant à m’agenouiller.
Je commençai à râler à cause de mon téléphone.
- Eh, mais…
Je ne pus aller plus loin! Elle ouvrit de nouveau le rideau puis elle me serra le cou d’une force, avec sa main, tout en plantant ses ongles.
- A genoux, et lèche petit chien!, venait elle de dire à haute voix.
Soumis à quelques centimètres de ma copine par une inconnue dominatrice!
J’étais terrifié par le fait qu’une personne présente dans la cabine voisine ait pu entendre ces mots. La belle dominatrice inconnue écarta le string neuf, dévoilant un mont de vénus tout lisse mais déjà luisant de désir. Mon inconnue mouillait avant que j’ai posé ma bouche sur sa délicieuse petite chatte.
Je fis la fine bouche car je n’étais pas un grand adepte du cunni! Aussi, je me mis à donner quelques petits coups de langue pas très agiles. Elle me signifia son mécontentement à haute voix:
- Mieux que ça, sale chien!
Ensuite, elle plaqua ma bouche complètement sur son sexe.
- « Enfonce ta langue! Remonte sur mon clito!
J’étais rouge de honte. Cependant, je me mis à m’appliquer comme jamais. Ainsi, j’espérais qu’elle se tairait et que ma copine ne se rendrait compte de rien !
Cette femme dominatrice jouit sur mon visage au milieu de la cabine d’essayage!
- Hummm, c’est bon mon salaud, elle est bonne ta langue de chien salope.
Elle gémissait et respirait de plus en plus fort.
Tout aussi fort qu’elle parlait auparavant, comme si elle était seule chez elle, elle continua à gémir et se laissant aller à l’orgasme!
- Ouvre grand ta bouche de petite pute lécheuse! Je vais jouir. Tu as intérêt de boire !
Je m’attendais comme pour ma copine qu’elle se mette à mouiller davantage mais en réalité, elle m’inonda le visage, de plusieurs jets, s’approchant de ce que l’on voit de certaines femmes fontaines.
Un râle de plaisir supplémentaire m’indiqua (comme à tous ceux qui pouvaient se trouver à moins de 10 mètres) qu’elle venait de jouir sauvagement!
A deux doigts d’être surpris par ma copine!
Je ne bougeais plus. Elle tenait ma tête plaquée et en même temps, elle m’interdisait tout mouvement.
J’entendis le rideau de la cabine d’essayage de ma copine s’ouvrir. Pas prude, elle lança un:
- Bravo, vous m’avez donné trop envie !
J’eus peur qu’elle ouvrit le rideau, mais j’entendis ses talons s’éloigner. Cependant, j’étais tétanisé et la trouille faisant, j’avais perdu toute envie.
Mon inconnue comprenant que ma chérie allait m’en réclamer plus, décida de jouer jusqu’au bout.
- J’ai relevé le numéro de ta copine dans ton tel. J’ai aussi fait quelques photos et vidéos pendant que tu me léchais comme un bon chien.
Je me mis de nouveau à rougir et je voulus répondre mais elle ne me laissa pas le temps. Son visage se ferma puis elle me colla une petite gifle.
- Tais toi quand je parle!
Ensuite, elle me montra un texto qu’elle s’était envoyé avec mon téléphone « Merci Maîtresse de me prendre en mains, vous êtes tellement plus belle que ma copine Caroline ».
- Donc maintenant, je vais te faire gicler comme une salope! Ensuite, je vais te suivre jusqu’à ce que tu aies rejoint ta copine. Tu ne te nettoies ni le visage, ni la queue.
J’avais chaud et n’osais rien dire car j’étais pris au piège.
Souillé au plus haut point dans la cabine par cette dominatrice!
Elle me fit me relever. Assise sur le banc, elle défit mon pantalon et baissa mon boxer. A peine m’avait elle touché, que je me mis à bander comme un taureau pour celle qui me tenait désormais par les couilles.
Elle me suça comme jamais ma copine ne m’avait sucé.Ainis, elle parvint à m’engloutir jusque dans sa gorge, elle me rendit dingue en quelques secondes. J’allais jouir, elle le sentit. Aussi, elle s’arrêta net!
- Tu n’es pas autorisé à venir! Tu attends que je te dise de gicler sale chien!
Je devenais dingue. Elle se releva, se tourna, et saisit ma queue pour la diriger directement au fond d’elle. Je ne savais plus si je rêvais ou si c’était la réalité. Sauf qu’elle ne me fit faire qu’une dizaine d’aller-retours.
- Juste pour que ta queue ait le goût de ma chatte quand elle va te sucer, ahahahah !!
Puis elle me branla et me dit:
- Gicle le chien sur mes gros seins que tu matais comme un sale voyeur !
Deux secondes plus tard, j’en mettais partout sur ses seins. Ensuite, elle m’obligea d’en récupérer avec ma langue pour venir l’embrasser.
Enfin libéré, temporairement, par cette belle dominatrice!
Enfin, elle me libéra tout en me précisant que ça ne s’arrêterait pas là mais qu’elle respecterait mon couple, tant que je lui obéirai au doigt et à l’œil.
Je rejoins ma copine, qui était en feu, me racontant que j’aurais dû rester, car il y avait un couple dans la cabine d’à côté qui était venue baiser ! Que la femme était dominatrice et que ça l’avait excité.
Je bégayai:
- pfff, il n’est pas né le jour où tu me domineras!
J’essayai, ainsi, de reprendre le dessus.
Elle ne fit pas de remarque sur la tâche sur me chemise. Je parvins à me laver le sexe aux toilettes avant de m’occuper d’elle comme je pus, mélangeant les images de ce que je venais de vivre et celles que j’avais en face de moi.
Le lendemain, je repris le travail et je reçus un sms de la belle dominatrice inconnue………!
wouha… beau recit et hate de lire la suite
Merci… petit pitch de la suite… d’autres essayages, et la prise en mains par une dominatrice « cassant » mon côté matcho ! 😉