Ceci est la suite de « Sissy Aline soumise à Maîtresse Anne-Marie (8)«
Le lendemain, je me lève et prépare les petits déjeuners de Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse.
Sissy Hortense est libre de toute contrainte avec le respect de sa condition.
Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse arrivent, enfin, dans la salle à manger. Sissy Hortense suit. Comme hier, elle est autorisée à manger, à table, en leur présence.
Prolongation de ma punition
Ma punition est prolongée. Sissy Hortense a la permission de continuer à profiter de la petite liberté dont elle jouit actuellement. Quant à moi je vais porter, selon mes Maîtresses, les marques de ma désobéissance.
Je porte un collier en acier fermé par une serrure, accompagné de ses menottes et chevillères de la même facture et un bâillon identique à celui d’hier. De plus, je suis soumise à la machine. Je frémis car ma chatte se rappelle encore de la séance précédente.
Il y a deux séances prévues ce jour, une le matin et une l’après-midi, le tout avec utilisation de la cravache et du martinet.
J’essaye de parler malgré le bâillon, mais aucun son ne sort. Je me mets à pleurer. Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse me préviennent que jouer la fontaine ne servira à rien, mais au contraire, à les rendre plus sévères.
La séance du matin arrive. Je suis conduite sur la potence, avec mes poignets attachés et la barre mise aux pieds. Aussi, je frémis, par avance, lorsqu’arrive l’engin, vraiment très gros et long à mon avis. Cependant comme je suis une Sissy je dois subir. Je vais prendre encore un maximum ce matin.
Cravaché par les deux Maîtresses
Dès la mise en route, je ressens l’engin et je le dis de façon trop aiguë, au gout de Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse. Résultat, elles décident de me faire poser par Sissy Hortense, un bâillon moins gros mais suffisant, pour me faire taire.
La cravache et le martinet, dans les mains expertes de Maîtresse Anne-Marie et de Maîtresse Maryse, s’abattent en cadence sur mon corps devant, derrière. Mes fesses rougissent et mes seins visés, par Maîtresse Anne-Marie, subissent le même sort.
Une heure plus tard, le temps me parait beaucoup plus long, je suis, enfin, libérée. Cependant, je dois préparer le repas de midi. De plus, j’apprends que la deuxième séance ma sera offerte pour mon quatre-heure.
Sissy Hortense m’aide car elle me plaint. Elle n’a pas le droit de me mettre de la crème apaisante. Je dois subir pour que cela me serve de leçon et me rappelle l’obligation d’obéir et de ne pas enfreindre les ordres.
Leur repas fini, je finis leurs restes, à genou, dans une écuelle. Sissy Hortense verse le tout dans la gamelle. Mais ce n’est pas tout elle doit remplacer mon plug par un plug gonflable d’une taille déjà énorme avant d’être gonflé.
Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse le gonflent en pressant à tour de rôle la poire. Je ne dois pas parler ou gémir sinon pas de repas et retour du bâillon plug. Elles prennent un malin plaisir à le gonfler et dégonfler pour me voir me trémousser. Je subis. Elles jubilent de me voir me tortiller sous ce supplice qui distant ma chatte.
Réplique de mon supplice matinal
L’heure arrive pour la réplique de mon supplice matinal. Une variante est imposée : Sissy Hortense remplace Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse.
Elle va devoir me fouetter pareillement, sous peine d’être mise, dans la même posture que moi et de m’accompagner dans la punition.
Sissy Hortense acquiesce et se met à l’ouvrage en m’immobilisant à nouveau sous la potence. La machine est en place, mise en fonction.
Elle ajuste les liens afin de me maintenir en extension, sur la pointe des pieds chaussés des escarpins de 15cm aujourd’hui, une horreur.
D’abord, le martinet s’abat sur mes fesses et devant. La cravache arrive lorsque je suis au bord de crier. Ordre lui est donné de me remettre le bâillon et de ne pas retenir ses coups.
Sissy Hortense est obéissante. Les coups sont forts et mes fesses le sentent bien.
Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse décident du bâillon à me faire poser pour parachever la punition. Je ressens parfaitement, les trente coups de martinet imposés. Ils sont appliqués fermement, pareil pour la cravache.
Après la punition, préparation du repas
Une fois la punition finie, libérée des entraves et de ce plug, je pars en cuisine, seule, toujours bâillonnée.
Je prépare le repas pour toutes les trois. La table dressée, le rituel du midi se répète. Je suis, toujours, encagée avec les électrodes pour la soirée.
Pendant le service, Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse, s’amusent à délivrer des impulsions avec l’arrivée des plats. Elles rint de mes sursauts, sautillements sur place. Trouvant cela divertissant, elles décident d’ajouter un plug et de le brancher également.
Je reçois, maintenant, les décharges sur mon clito et dans ma chatte. Je ne peux m’empêcher de geindre malgré le bâillon.
Le repas terminé, je dessere. Je ne suis autorisée à manger qu’à la cuisine et, uniquement, après le nettoyage de la salle à manger et de la cuisine, avec une écuelle au sol comme ce midi.
Les taches effectuées, je reviens et me mets à genou les yeux regardant le sol. Maîtresse Anne-Marie me regarde, attache une laisse au collier puis elle m’annonce :
- avec Maîtresse Maryse avons décidé de laisser le collier, menottes et chevillères en place pour demain. Nous pensons que tes deux fautes méritent une punition sur deux jours.
En mon for intérieur, je me disais ce n’est pas trop grave de porter ces éléments encore pendant le séjour.
Mais Maîtresse Anne-Marie ajoute :
- ce n’est pas tout Sissy Aline, tu vas à nouveau revivre cette journée avec les mêmes punitions. Je pense ainsi, que tu te souviendras ce que le mot interdit veut dire.
Obéissance en toutes circonstances à ma Maîtresse
A cette annonce, je m’écroule en pleurs. J’essaye de supplier, malgré le bâillon, de ne pas me faire subir une nouvelle journée aussi éprouvante. Malgré mes suppliques inaudibles, elle me regarde en riant puis elle s’écrie :
- continue et ce sera tout le séjour!
Ravalant mes larmes et mes suppliques, je baisse la tête en signe de soumission et d’acquiescement à son désir de me punir encore plus.
Elle me fait, ainsi, comprendre que je suis Sissy Aline et que je lui dois obéissance quelques soient les circonstances.
Je me souviendrai, toujours, des interdits lors de ce séjour chez Maîtresse Maryse et de l’implacable sévérité de mes Maîtresses, surtout quand elles sont toutes les deux ensembles. Ainsi, elles ont décidé de m’éduquer pour que je sois au niveau de Sissy Hortense, le plus rapidement possible.
C’est donc sans attendre que mon éducation reprend.
Ce soir ce n’est pas dans la chambre avec Sissy Hortense que je dors, mais au sous-sol, le collier attaché au mur et poignets et chevilles entravés.
Je commence à comprendre ce que voulait me dire Sissy Hortense en me plaignant de la suite à venir pour le séjour.
Nuit sans dormir à cause de mes chaînes
Attachée, je me tourne et retourne, du moins comme je peux car les chaînes aux pieds et aux mains me laissent peu de liberté.
Elles sont tendues et me restreignent dans mes mouvements.
Le collier attaché au plus court au mur, ne me permet pas d’avoir de l’aisance pour me reposer. La nuit est longue et le bruit des chaînes ajoute à l’inconfort de ma situation.
Après avoir essayé en vain de dormir, Sissy Hortense vient me libérer au matin. Elle m’énumère les taches que je dois accomplir sans rien omettre, car la punition prévue serait aggravée.
Je me lève tant bien que mal, toute courbaturée avec une tête à faire peur, du moins selon Sissy Hortense car je n’ai aucun miroir pour me voir. Cette pièce tient plus du cachot que de la chambre. Je n’ai aucune envie de revenir y dormir. Aussi, je dois être très obéissant.
Sissy Hortense m’aide à faire ma toilette. Ensuite, elle me refait le maquillage en masquant le plus possible les stigmates de cette nuit. Je suis fatiguée mais je dois assumer la journée qui arrive.
Sissy Hortense m’apprend, qu’aujourd’hui encore, je vais devoir assumer, seule, les tâches de la maison pour ce quatrième jour.
Elle promet de me seconder dans la mesure du possible car elle ne veut pas subir les foudres de Maîtresse Maryse et Maîtresse Anne-Marie si elle est prise en faute.
Je vaque à la cuisine, préparant les petits déjeuners de Maîtresse Anne-Marie et de Maîtresse Maryse. Je ne dois en aucun cas les faire attendre.
Punition matinale
Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse sonnent. J’apporte, donc, les petits déjeuners et leurs accompagnements.
Elles détaillent les plats et décident que le beurre est trop dur. Je dois présenter mes fesses ornées du plug sur lesquelles s’abattent leurs cravaches et ce n’est que leur réveil.
Ce matin, elles décident d’une variante. Je ne serai pas suspendue mais mise sur une sorte de tréteau. Mes chevilles et poignets sont attachés à la base. Je suis exposée les fesses en hauteur. Mes orifices sont accessibles sans effort. Elles les ont à « portée de main ». Ainsi, les fouets, cravaches et martinets peuvent s’abattre sans obstacle.
Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse, ne se privent pas d’échauffer mon corps selon leurs dires. Les coups pleuvent.
Je vais encore prendre un maximum car l’engin de mes tourments et remis en place.
Je ressens parfaitement l’introduction de la chose.
Ma « chatte » est encore douloureuse de la veille, à cause des deux séances, auxquelles je vais encore avoir le droit, aujourd’hui.
Rien que de le savoir je suis soulevée par des sanglots d’angoisse et des spasmes incontrôlables de mon corps tellement je redoute cet engin.
La punition matinale se termine, je vais à la cuisine où Sissy Hortense m’attend. Elle me soigne les marques qui depuis hier sont de plus en plus nombreuses et me cuisent malgré la pommade.
Préparation du déjeuner
Je prépare le repas pour Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse puis je les sers, rapidement. En effet, elles exigent un service rapide pour, à nouveau, me ramener dans la salle dite de jeux, enfin pour elles car pour moi, il ne s’agit pas de jeux. Cependant, mon avis ne compte pas, car :
- Une Sissy est soumise sans condition à sa MAÎTRESSE.
- UNE SISSY SE DOIT D’OBÉIR, S’EXPOSER ET SUBIR
- Elle se souvient de sa place c’est-à-dire une personne qui ne pense pas, Une Sissy fait ce qu’on lui dit.
Après le rangement et le nettoyage de la pièce, je sers le café et les mignardises.
Je m’agenouille entre elles deux, les mains attachées dans le dos avec les menottes d’acier qui ne me quittent pas depuis hier, le tout relié à celles des chevilles.
Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse, en profitent, alors, pour me poser des pinces aux tétons lestées de poids conséquents.
Je ne peux m’empêcher de gémir et grimacer. Aussi, cela se traduit par un coup de cravache appliqué sur mes fesses et un sur mes tétons.
Je m’écroule sous la douleur. Sissy Hortense me pose de suite, un bâillon qui m’obstrue, complètement, la bouche. En effet, elles ont choisi celui un gros bâillon, en forme de gode avec une longueur d’au moins 5 à 6 centimètres. En effet, mes mâchoires sont distendues par sa grosseur. Je ne peux émettre un seul son. Le silence est ma seule option.
Peut-être la fin de ma punition cet après-midi?
Je suis à nouveau, dans la salle. Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse, m’annoncent que, si je suis bien sage, cet après-midi, ce sera la fin de ma punition. Dans le cas contraire, elles veilleront à alourdir mon châtiment, pour le dernier jour.
Attachée comme ce matin, je subis encore les allers retours du god visitant ma chatte. Cependant, cette fois-ci, elles s’amusent à faire varier la vitesse et la profondeur du god. J’essaye de me soustraire à la machine infernale mais les liens sont serrés et les mouvements impossibles. Je subis l’assaut de cet infernal engin.
Le temps s’écoule, lentement, trop lentement à mon gré. Ma chatte est littéralement en feu mais je jouis aussi!
Mon clito, lui, ne bouge pas car il est encagé mais rien ne vient. Je ne jouis qu’avec ma chatte. Maîtresse Anne-Marie voit mes spasmes de plaisir et éclate de rire:
- Elle devient une vraie Sissy car elle jouit comme une femme.C’est un bon début. Je pense que bientôt la cage ne servira plus car son clito et invisible dans la cage. Il a disparu.
Après un temps qui me parut interminable, c’est la chatte en feu que je suis libérée de ma position inconfortable.
- Les attaches d’acier restent à leur place, m’annonce Maîtresse Anne-Marie, jusque demain soir.
Punition pour Sissy Hortense
Avec un sourire narquois, Maîtresse Maryse rajoute :
- mais non elle pourra partir avec ainsi et se souvenir que l’obéissance est une des obligations majeures pour les Sissys. Comme elles seront chez toi, on pourra se retrouver avant ou à Noël et poursuivre leur éducation. Elles auront ainsi l’occasion d’échanger les interdits entrainant une sanction et sa gravité.
- Bonne idée, avant elles devront les écrire en hiérarchisant leurs fautes et les punitions inéluctables. Ainsi leur lecture est toute trouvée pour leur soirée. Sissy Aline va pouvoir continuer à les porter vu son indiscipline.
Je sus donc que j’allais porter colliers et autres entraves, pour quelques temps encore.
C’est « ferrée » que je pars seule à la cuisine, préparer le repas. Peu de temps après, Sissy Hortense arrive en pleurant car elle a été punie pour avoir renversé sa tasse.
À nouveau, réunies, nous faisons notre maximum pour plaire à nos Maîtresses et ce, pour éviter, toute mesure coercitive envers nous.
Le lendemain matin, petit moment de détente avec Sissy Hortense
Le lendemain matin, nous nous levons tôt et sans bruit. En en effet, nos Maîtresses se sont couchées tard et vont ainsi, se lever tard.
Nous descendons l’escalier. La porte de la salle de jeux est entre-ouverte. Cependant, j’évite toute tentation. car j’ai le souvenir des punitions que j’aie reçues à cause de ma trop grande curiosité.
Nous réalisons les tâches inscrites sur le tableau, que nous finissons rapidement car nous n’avons pas été interrompues.
Aussi, nous en profitons pour nous reposer.
Puisque nous sommes seules, nous parlons de ce séjour. Nous abordons, également, le sujet de nos devoirs envers Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse, que nous sommes dans l’obligation de transcrire par écrit. De plus, nous devons, aussi, notifier les interdits dus à notre statut. Il y en a tellement que cela nous parait impossible de tous les répertorier. Nous allons, donc, surement, recevoir des punitions lors de la venue de Maîtresse Maryse avec sa Sissy.
Il est midi passé. Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse, dorment encore. Nous nous décidons à manger. En effet, depuis ce matin, nous sommes affamées. Aussi, notre régime de Sissy pour garder une silhouette élancée est le cadet de nos soucis.
Punies pour avoir déjeuné sans permission!
Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse arrivent à la fin de notre repas. On peut, encore, voir les restes de notre repas sur la table .
La sanction ne se fait pas attendre. Nous nous retrouvons à genou pour moi. Mes poignets rejoignent les chevillères. Mes jambes sont écartées par une barre. Sissy Hortense subit la même chose. Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse attrapent les cravaches et cinglent nos fesses de façon méthodique, alternant chacune leurs coups vers l’une ou l’autre.
Au bout d’une cinquantaine de coups, nos Maîtresses trouvent nos postérieurs insuffisamment rougis. Elles décident de terminer à la centaine et nous mettent, avant, un bâillon. En effet, elles n’ont pas envie, d’entendre, nos cris à leur réveil.
Après cette petite séance de « remise » dans le droit chemin, nous préparons un brunch pour Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse.
Ensuite, Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse, exigent que nous soyons habillées pareil.
Nous devons porter la tenue suivante : des sous-vêtements rouges, culottes, soutien-gorge, porte-jarretelles, et les bas à coutures, un chemisier transparent en tulle et une mini-jupe noire laissant voir les jarretelles et bordures en dentelle des bas, les chaussures cadenassées talons de 12 centimètres.
Je dois, également, porter une perruque au cheveux châtains mi-long. Un maquillage appuyé nous est imposé.
Fin du séjour chez Maîtresse Maryse!
Nous sommes photographiées sous tous les angles. De plus, nous devons prendre des postures qui ne laissent aucune équivoque quant à notre condition. Notre haut des cuisses bien rouge zébré suite à la séance est bien visible avec nos mini-jupes.
Je porte, toujours, les bracelets chevillères et le collier bien visibles sur les photos. J’avais tant espéré qu’elles les oublient, peine perdue.
Maîtresse Anne-Marie et Maîtresse Maryse désirent faire un site internet où nous serons exhibées telles que nous sommes.
Avec les photos déjà prises avant, il y a de quoi nous mettre en scène.
Enfin, je fais les bagages et amène la voiture devant le perron de la maison. J’aide Maîtresse Anne-Marie à s’installer confortablement.
Soudain, je reçois les encouragements de Maîtresse Maryse avec un coup de cravache sur les cuisses. Elle m’indique qu’elle compte me revoir très bientôt pour un complément de dressage avec son amie, ma femme, Maîtresse Anne-Marie.
Cette dernière déclare :
- Tu as intérêt à bien conduire lors de notre retour. Dès notre arrivée, tu seras amenée à notre salle de jeux…
Je dois me concentrer pour bien conduire car ce n’est pas facile avec des talons de 12 centimètres. Cependant, quoique je fasse ma Maîtresse trouvera bien une raison pour me punir.