Je reprenais mon quotidien d’apprenti soumis obnubilé par le coup de fil reçu par ma supérieure l’autre jour. Il m’était bien compliqué de rester concentré sur mon travail et je trouvais le temps interminable.
Chaque matin, je me levais avec l’espoir d’entendre retentir le téléphone de la boutique et d’être convoqué par Madame. Chaque fois qu’une cliente faisait tinter la clochette de la porte d’entrée, mon regard se retournait plein d’espoir de voir enfin arriver ma belle tortionnaire. A chaque fois que j’apportais une paire de souliers à une dame, je ne pouvais m’empêcher de me repasser le film de mon initiation pour être un soumis. Cependant, à chaque fois une autre déception venait m’envahir, je n’avais pas connu une telle frustration auparavant dans ma vie. Elle était devenue mon obsession.
La semaine passa sans nouvelle de sa part, puis un week-end, un deuxième, une troisième semaine et toujours rien! Je commençais à désespérer de la revoir un jour. Je me demandais parfois si je n’avais pas été victime d’un mirage. J’étais rempli d’une tristesse infinie! Seule la voix puissante de ma tutrice de stage aurait pu me consoler de ce terrible tourment.
Bien sûr, j’apprenais les rudiments de la vente. Après tout, j’étais là pour ça, bien sûr ma collègue de travail était sympathique. Il m’arrivait, même quelques fois, de la trouver jolie au point de presque éprouver du désir pour elle si elle n’était pas aussi douce et que je n’avais pas une seule Femme en tête à cet instant. Cependant, tout ceci n’était rien à côté de mon empressement à me soumettre auprès de celle qui me faisait tant tourner la tête.
Juste une proie pour ma boss!
Quand enfin, un lundi après-midi pluvieux comme il y en avait beaucoup à cette période, et alors que je passais le balai dans l’arrière-boutique, un nouveau bruit de clochette vient me sortir de cette interminable léthargie…
Sans crier gare, ma supérieure entra dans le commerce, se dirigea sans un bruit vers la pièce du fond et se plaça juste derrière moi après avoir refermé la porte. Le bruit de la chaufferie m’empêchait de l’entendre et je ne l’avais même pas remarqué.
D’un seul coup, brusque, elle agrippa mes fesses d’une main et plaqua fermement la seconde sur ma bouche comme pour m’empêcher de hurler, j’étais pris au piège.
- Ne fais pas un bruit la lopette!, me chuchota-t-elle.
Ça y est, c’était elle, enfin! Je n’en croyais pas mes oreilles, et si je n’avais pu me retenir de pousser un début de cri de surprise quand elle se jeta sur moi j’avais maintenant envie de gémir comme un animal. Je me sentais comme une proie! L’odeur de son parfum envoutant enivrait mes sens, je ne rêvais que de pouvoir embrasser ses doigts fins sur ma bouche.
- J’espère que tu as été sage pendant tout ce temps, petit soumis.
Sa voix pénétrait en moi et je sentais encore cette chaleur intense venir de mon bas ventre remplir tout mon corps. J’étais à sa merci.
Apprenti soumis humilié par sa Maîtresse!
Tout en parlant, elle passa sa main de mon postérieure à mon sexe déjà en pleine érection. Je n’en pouvais plus! Mon désir pour elle débordait.
- Ne t’ai-je pas appris à te servir de tes vieilles guenilles pour faire le ménage ?, me dit-elle d’une voix sèche tout en me libérant de ses bras
- Si Madame, pardon Madame, j’aurais dû y penser plus tôt!
- Tu aurais dû y penser! ça oui, je ne te le fais pas dire, et tu seras sévèrement puni pour ça !
Intimidé et pris de court, j’enlevais prestement ma chemise et me mis à ramper pour laver le sol avec.
- Décidément tu n’as rien appris, espèce de bon à rien, sous-fifre!
- Je vous présente mes excuses Madame, pitié Madame, pardonnez-moi…
Je mis mon front sur le sol, prosterné face à sa grandeur.
Sans un mot, elle tourna autour de moi, puis elle vint se mettre debout sur mes vêtements placés sur le carrelage.
- J’ai les chaussures toutes boueuses, il fait un vrai temps de chien aujourd’hui.
Elle se ria de moi avec dédain.
Sans la moindre gêne, elle se mit à essuyer ses semelles souillées sur mon haut y étalant une énorme plaque de boue humide. Je songeais un instant que je n’avais pas ramené de vêtement de rechange et que j’aurai bien du mal à faire bonne figure le reste de la journée. Je me demandais avec inquiétude où se trouvait ma jeune collègue pendant ce temps-là.
- Regarde-moi, petite pute, si tu veux devenir ma chienne je te l’ai déjà dit, j’attends de toi une soumission totale !!!
Apprenti soumis subjugué par sa Maîtresse!
Je me mis à genoux pour l’admirer avec toute ma dévotion. En fait, j’étais subjugué par ses yeux! Si je devais définir la perfection sur cette terre, cela se résumerait à son regard à la fois impérieux et hautain, strict et féroce, aussi froid que plein de gourmandise.
Je me sentis alors à ma véritable place. Cela faisait si longtemps que j’attendais ça! Pourtant, elle m’avait tellement surprise que j’en étais tout décontenancé, chancelant et fébrile, pour ainsi dire dans tous mes états, entre la peur terrible d’être surpris et une excitation des plus intenses.
- Caresse-toi, maintenant !
Une nouvelle fois elle avait sût me surprendre. Je dûs prendre mon courage à deux mains pour déboutonner mon pantalon et commencer à faire des allers et retours sur mon sexe dur comme jamais! Il tressaillait d’autant plus que celle-ci se mit à me cracher en plein visage avec son rire moqueur qui me fascinait tant.
- Mais c’est que tu aimes ça hein, petit soumis ahah, branles toi plus vite !
- Oh oui Madame j’adore ça!
- Chut !! Je t’ai pourtant dit de te taire minable ! Mes escarpins sont encore sales, qu’est-ce que tu attends pour les faire briller ?!
Peur d’être découvert par sa collègue!
Je me jetai alors à ses pieds pour ôter la terre mouillée qui salissait ses talons tout en me caressant d’une main vigoureuse. C’était dégoutant, mais je ne pouvais pas lutter! A dire vrai, je ne voulais pas lutter! Seule sa satisfaction comptait pour moi et je redoublais d’effort pour faire abstraction de la désagréable sensation que provoquait les grains sur ma langue.
J’en avais plein la face. De plus, je n’osais imaginer à quoi je ressemblais en cet instant. cependant, c’était trop bon de lui obéir. J’allais bientôt déjà jouir d’une force inimaginable si je ne me retenais pas.
- Samedi, 20h, résidence de l’éclair, ne sois pas en retard!
Elle me repoussa de son pied et j’en tombai par terre! A peine ayant relevé la tête qu’elle avait déjà quitté la pièce.
J’étais là, seul sur les carreaux froids, couverts de boue et le sexe à l’air, totalement hébété, totalement perdu et l’esprit encore embrumé. J’en avais le tournis.
Quand soudain, un bruit de pas dans le couloir vint me provoquer une décharge d’adrénaline immense, me mettant dans un mouvement de panique insoutenable! Ce n’était pas le bruit des talons de ma Maîtresse, mais bien ceux de ma collègue qui se dirigeait vers moi. Elle allait bientôt être au niveau de la porte.
- Hé ho, tu es là?
à suivre…
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