La sonnette retentit et j’eus la sensation que mon cœur allait sortir de ma poitrine. Ce devait être l’ami homosexuel de Maîtresse Julie, l’amie de ma dominatrice.
Maîtresse Julie dit:
- Le voilà ! Je vais lui ouvrir !
Maîtresse Elsa me regarda:
- Si tu nous régales ce soir, je te récompenserai d’une façon qui te surprendra et qui te plaira énormément!
Je fus surpris de cette déclaration mais cette motivation de dernière minute était la bienvenue !
Exhibé comme un esclave à acheter!
Julie et son ami nous rejoignirent. Je ne savais plus où me mettre car son regard alla directement sur moi. J’étais par terre, recroquevillé, cachant mes parties intimes qu’il convoitait probablement.
Il fit la bise à Maîtresse Elsa puis me regarda :
- Alors c’est lui le puceau ? Vous me le présentez ?
Maîtresse Elsa lui répondit:
- Oui bien sûr, assieds-toi, tu veux un verre de vin ?
- Volontiers!
Et Maîtresse Julie renchérit en s’adressant à moi :
- Exceptionnellement tu vas te mettre debout pour que Vincent puisse te regarder!
J’obéis en cachant maladroitement mon sexe avec mes mains.
- Mains sur le côté, il doit tout voir avant de consommer !, s’esclaffa Maîtresse Julie.
Vincent avait la trentaine, assez grand, un beau visage, assez BCBG, pas du tout efféminé, mais un début de calvitie et déjà bedonnant, ce qui donnait l’impression qu’il était plus vieux que son âge.
Son regard m’intimidait, non pas qu’il était sévère, mais il me regardait avec convoitise et on devinait son assurance naturelle.
J’étais exhibé comme un esclave qu’on allait acheter. Maîtresse Elsa, ma dominatrice, était discrète mais ne perdait pas une miette du spectacle de mon désarroi et de ma honte.
Mis à la disposition de l’ami homosexuel de Maîtresse Julie
C’est Maîtresse Julie qui avait pris les commandes, probablement parce que Vincent était son ami.
- Tourne-toi!
- Qu’est-ce que tu en penses Vincent ?
- Franchement je suis soulagé ! Quand tu m’as dit qu’il était un peu vieux, j’étais content de m’occuper d’un homme mûr mais je craignais qu’il ne me plaise pas, or il ne me déplait pas du tout !
Il a un beau visage, les traits fins, un beau torse, il est bien proportionné et musclé, il n’a même pas de ventre, je suis deg !!! Et son cul n’est pas mal, il a dû avoir un beau petit cul quand il était jeune !
Maîtresse Elsa s’en mêla !
- Je suis entièrement d’accord avec toi, ce n’est pas pour rien que je l’ai pris à mon service ! En plus il a un beau sourire, je l’ai vu le jour de nos retrouvailles, évidemment depuis, il n’a pas trop souri !
Rires
Maîtresse Julie :
- Fais un beau sourire à Vincent !
Je m’efforçai de sourire mais je n’en avais pas du tout envie.
- Je t’ai dit de faire un beau sourire, pas un sourire forcé ou mitigé, un sourire séducteur pour plaire à Vincent.
Je ne savais plus où me mettre mais je pris une grande inspiration et je fis un beau sourire comme si je passais une super soirée.
Vincent y fut sensible car il dit aussitôt :
- Effectivement, un beau sourire attirant!
- Allez, mets-toi debout à côté de Vincent pendant qu’on boit et discute, comme ça il pourra te toucher selon ses envies.
Juste un objet sexuel pour ma Dominatrice et ses amis
Vincent était installé confortablement dans le fauteuil et discutait joyeusement avec mes Maîtresses. Bien sûr il regardait les diverses parties de mon corps et guettait les réactions sur mon visage, mais je le laissais faire, impassible.
D’une main il tenait son verre, de l’autre il me touchait le sexe, les testicules, et fit remarquer à mes Maîtresses que ces attouchements ne me laissaient pas de marbre !
Effectivement, je ne pus contenir une demi-érection dont j’avais une honte absolue. Comment un homme pouvait-il m’exciter ? Mais sa main et ses doigts experts avaient fini par me faire réagir.
Les Maîtresses se moquèrent allègrement de moi.
Puis Vincent leur demanda un peu de lubrifiant. Il me retourna et ouvrit mes fesses, puis introduit son doigt lubrifié dans mon anus.
Je m’efforçai de ne pas réagir mais il sentit que j’étais sensible.
- Il est bien serré, ça ne m’étonne pas qu’il soit puceau ! Je vais me régaler ! Mais il va peut-être avoir un peu mal… Enfin, je vais essayer d’y aller doucement au début.
Tous ces commentaires qui faisaient de moi un objet à utiliser me pétrifiaient.
Ma Maîtresse dominatrice le rassura :
- L’important, c’est ton plaisir… Quand tu le voudras, tu l’emmèneras dans la chambre et tu lui feras tout ce que tu veux.
Très mal à l’aise au début…
Son doigt qui me fouillait me gênait mais je le laissai faire, aucun autre choix pour moi.
Il me demanda de me pencher, bien sûr à la vue de tout le monde, et il enfonça son doigt plus profondément et fit des va-et-vient comme un prélude à ce qui se passerait plus tard dans ce lit où je serai à sa merci.
Si seulement Maîtresse Julie n’avait pas eu cette idée!
Puis il sortit son doigt, l’essuya et me fit mettre assis par terre à côté de lui, la tête sur le côté, ma joue sur sa cuisse, et il me caressa les cheveux.
J’étais tellement mal à l’aise car je ne voulais pas de cette tendresse. Il prit ma main et m’obligea à lui caresser le sexe et les testicules à travers son pantalon.
Je me sentais femelle de le caresser ainsi, avec douceur et instance. De plus, je me disais que s’il commençait à bander, j’allais certainement devoir faire des choses que je n’avais pas envie de faire et que j’allais rapidement « passer à la casserole »!
Les Maîtresses et Vincent continuaient à parler mais les silences troublés augmentaient.
Je sentis une bosse dans le pantalon de Vincent. Son sexe gonflait à fur et à mesure que je le caressais. Curieusement, j’étais satisfait intérieurement d’avoir été capable de provoquer son excitation.
Obligé de sucer Vincent devant ma Maîtresse dominatrice
Mais le moment critique arriva lorsqu’il dégrafa son pantalon, le baissa un peu et sorti son sexe. Apparemment, la présence des Maîtresses ne le gênait absolument pas !
Un sexe non circoncis (contrairement à moi), plus gros que le mien, pas plus long mais plus large et je pensai à la suite avec angoisse.
Je le pris dans ma main et commença à le masturber, quelle drôle de sensation de s’occuper d’un homme, comme une femme.
Bien sûr, Maîtresse Julie ne put s’empêcher de rajouter :
- Branle le bien petite salope !
Ensuite, il poussa ma tête vers son sexe et je l’entendis me dire de le sucer.
Je fus surpris de ne pas être plus dégoûté, alors je le pris en bouche et essaya de lui faire ce que j’aimais qu’on me fasse, en jouant avec ma langue.
- Regarde-moi en le suçant!, me lança ma Maîtresse dominatrice.
Aussi, je la regardai dans les yeux tout en m’appliquant sur le sexe de Vincent qui gémissait de plaisir.
Son sexe allait et venait dans ma bouche tout en déformant l’intérieur de mes joues.
- Pour un puceau, il suce plutôt bien, je sens que je vais l’emmener au lit.
La suite me faisait trembler.
Et le moment fatidique arriva. Il se leva, me prit par la main et m’emmena dans la chambre. Il laissa volontairement la porte entrouverte pour que les Maîtresses puissent se délecter du spectacle dont j’étais la victime.
Seul dans la chambre avec Vincent…
Il se déshabilla complètement. Son corps ne m’attirait pas du tout. J’eus la confirmation que seules les femmes me plaisaient.
Il me mit à genoux et me dit :
- Lèche-moi les couilles, prend les dans ta bouche l’une après l’autre et suce-les comme des bonbons, puis reviens sur ma bite pour la sucer ! Et reviens t’occuper de mes couilles, puis ma bite, et ainsi de suite, rapidement ! J’adore ça !
Ensuite, il se mit debout. Quant à moi, j’étais à genoux, ses couilles dans ma bouche, mon nez sur sa bite! Il avait une odeur musquée que je n’aimais pas mais je donnai le meilleur de moi-même pour lui faire plaisir.
De temps en temps, je jetais un œil vers la porte. Je pouvais voir que les deux Maîtresses nous regarder, les yeux grand ouverts pour ne rien perdre de ce spectacle rare d’un soumis hétéro forcé de jouer les femelles avec un homo!
Puis Vincent m’allongea sur le lit, sur le côté, et vint s’allonger lui aussi sur le côté, face à moi. Il me doigta à nouveau et plongea sa langue dans ma bouche. Le doigté me déplaisait mais sa langue dans ma bouche me dégoûtait.
J’aurais préféré qu’il se serve de moi sans jouer les amoureux qui se roulent une pelle.
Ensuite, il me mit sur le dos, vint au-dessus de moi et remonta mes jambes avec ses bras, plaçant mes mollets sur ses épaules. J’étais pétri de honte d’être ainsi transformé en femelle sous les yeux des Maîtresses, et j’avais super peur de la pénétration.
Vincent mit un préservatif et commença à me pénétrer tout en me regardant.
Mon petit trou s’ouvrait péniblement.
Heureusement, j’avais lu que pour faciliter la pénétration, il fallait pousser (comme aux toilettes) pour que ça rentre sans faire trop mal.
Pénétré par Vincent sans ménagement
Alors je poussai et je le sentis me remplir. Effectivement la pénétration n’avait pas été si douloureuse. En revanche, maintenant qu’il était à l’intérieur, je le suppliais d’y aller doucement car ses tout petits va-et-vient étaient déjà douloureux.
Il fut délicat quelques minutes, mais l’excitation l’emporta sur la bienveillance, et il se mit à aller et venir avec beaucoup plus d’énergie tandis que je grimaçais.
J’entendis même des « hummm » de la part des Maîtresses qui semblaient particulièrement excitées.
Je m’habituais quand même un peu à son sexe dans mon cul mais je le suppliai de mettre un peu plus de lubrifiant.
Il sortit de moi (je ne pensais jamais dire cette phrase un jour !) et lubrifia le préservatif copieusement, mais il en profita pour me retourner et me mettre à quatre pattes pour me prendre en levrette.
Je crois que le terme de levrette exprime parfaitement ce ressenti d’être une femelle bien écartée, bien cambrée, subissant les assauts de son mâle.
Cette nouvelle position fut facile au début, grâce au lubrifiant renouvelé, mais ensuite j’eus l’impression que Vincent s’enfonçait plus profondément, et la douleur revint.
Ses mains agrippaient ma taille avec force tant son excitation était grande, mes fesses claquaient sur son ventre bruyamment. Je serrai des dents, et puis d’un seul coup, j’entendis un cri rauque et puissant, il jouit très fort en moi et m’écrasa de son poids tandis qu’il s’allongeait sur moi.
Dans cette position, il me susurra à l’oreille qu’il avait joui très fort et qu’il serait ravi de revenir m’enculer quand les Maîtresses le décideraient.
Je restai silencieux, il se leva, mon anus me faisait mal et en le touchant je découvris quelles traces rouges, probablement un vaisseau qui avait céder sous les coups de reins de Vincent.
Ma Maîtresse Dominatrice, fière de moi!
Les Maîtresses nous rejoignirent dans la chambre.
- C’était bon Vincent ?, demanda Maîtresse Julie
- Excellent, on recommence quand vous voulez !
Ma Maîtresse Dominatrice me dit à l’oreille :
- Je suis fière de toi une fois de plus, c’était super excitant. Tu vas me lécher dans le lit ce soir… et ne t’inquiète pas, je tendrai ma promesse de récompense.
Julie répondit à Vincent :
- Quand on veut? D’accord, mais si toi t’en veux encore ce soir, on vous laisse tous les deux dans la chambre et tu en fais ce que tu veux !
- Qu’est-ce que t’en penses Elsa? On prend un verre dans le salon, nous, pendant ce temps-là ?
- Oui, pas de soucis, t’en as envie Vincent ?
- Franchement je ne dis pas non !
- Ça marche, on te laisse alors ?
- En fait, je prendrais bien un verre avec vous, histoire que je reprenne des forces, et je retournerai
m’occuper de lui un peu plus tard.
- D’accord !, répondit ma Maîtresse Dominatrice.
- Toi tu restes là et tu attends ton mâle, petite salope, ajouta Maîtresse Julie
De nouveau mis à la disposition de Vincent, par ma Maîtresse Dominatrice
Je n’y croyais pas, j’allais devoir le satisfaire une fois de plus, et mon anus qui me faisait mal. Finalement, je m’assoupis environ 45 mn et j’entendis Vincent revenir.
Il s’allongea à côté de moi et prit ma main pour que je le touche et le masturbe un peu. Ensuite, il m’embrassa à plein bouche, ce qui semblait l’exciter.
Quant à moi, je subissais en fermant les yeux mais en bougeant quand même la langue pour qu’il ne dise pas aux Maîtresses que j’étais passif. Son sexe gonfla rapidement et il passa au-dessus de moi à califourchon au-dessus de mon visage.
Il enfonça son sexe dans ma bouche et commença des va-et-vient. Elle était grosse et dure, j’avais l’impression d’étouffer quand il l’enfonçait dans ma bouche, atteignant presque ma gorge.
Ensuite, il se retira, me plaça beaucoup plus bas dans le lit, de sorte que mes jambes dépassèrent au bout du lit et ma tête se trouva au milieu du lit.
Puis il revint au-dessus de moi et s’enfonça encore dans ma bouche, mais cette fois, il était allongé, son visage sur l’oreiller. Le mien était écrasé par son ventre, et il donnait des coups de reins de plus en plus rapides et violents. En fait, il me baisait la bouche. Je n’étais plus pour lui qu’un trou, une poupée gonflable, et il se servait de moi comme si je n’existais pas, comme si je ne ressentais rien.
Ainsi, je subissais. C’était très pénible et j’espérais qu’il éjacule rapidement mais ce ne fut pas le cas car il avait déjà joui.
Je faisais attention à ce que mes dents ne le blessent pas. Il accéléra le rythme et se vida dans ma bouche dans un puissant râle qui interpella les Maîtresses qui vinrent jeter un œil, se félicitant bien sûr de ce spectacle.
Maîtresse Julie, une Dominatrice impitoyable!
Il resta allongé un moment alors que je peinais à respirer sous son ventre, et que sa bite me remplissait toujours la bouche, m’obligeant à avaler son sperme dont le goût et la texture me donna envie d’aller boire un peu d’eau.
Finalement, il se releva et dit aux Maîtresses :
- C’était trop bon ! Faut que je passe aux toilettes maintenant!
Et Maîtresse Julie lui dit :
- La fameuse envie de faire pipi des hommes après l’éjaculation ! Mais tu n’as pas besoin d’aller aux toilettes, il va ouvrir la bouche ! »
Je rageai intérieurement, Maîtresse Julie n’était-elle jamais fatiguée ?
- Ah vraiment ? Pas de problème !, répondit-il.
Il se leva, et je dus me mettre à genoux par terre. J’ouvrai la bouche à contre cœur, il prit son sexe entre ses doigts, le dirigea vers ma bouche et commença à pisser.
Heureusement ce fut en petite quantité mais je fus particulièrement humilié quand il s’égoutta dans ma bouche, comme si elle était un urinoir… et je préférais le goût plus léger de ma Maîtresse dominatrice !
Magnifique récit. Phil
wouha