Deux longues semaines viennent de s’écouler. Chaque jour, j’ai pensé à elle, ma secrétaire dominatrice. A chaque fois, mon érection a été empêchée par la cage de chasteté que je dois porter en permanence. Le port de la cage est une étape nécessaire dans mon conditionnement.
Aujourd’hui, Maîtresse est, enfin, revenue au bureau. Elle ne semble pas faire particulièrement attention à moi. Comme toujours, je reste en éveil, dans l’attente de ses ordres.
Obligé de me masturber devant ma secrétaire dominatrice
Une nouvelle fois, nous nous retrouvons seuls en fin de journée. Elle m’ordonne de rappliquer d’un claquement de doigt.
Lorsque j’arrive dans son bureau, elle a posé une de ses chaussures, une magnifique botte en cuir.
- Baisse ton pantalon!, m’ordonne-t-elle.
Je m’exécute et dévoile donc ma cage.
- Comment se sont passés ces deux semaines d’abstinence?, me lance-t-elle, visiblement amusée.
- T…très bien Maîtresse, réponds-je maladroitement.
- Je prends goût à te voir ainsi enfermé et docile. Mais j’ai eu une autre idée pour aujourd’hui. Je vais t’enlever ta cage et tu vas te masturber sur ma bottine. Quand je claque des doigts, tu jouis, c’est clair ?, dit-elle avec une fermeté ne laissant pas de place au doute.
- Bien Maîtresse, réponds-je de manière robotique.
Je commence donc mon affaire. L’érection, sans surprise, ne se fait pas attendre. En revanche, il ne n’est pas écoulé plus d’une minute avant qu’elle claque des doigts comme elle l’a annoncée.
Il me faut une quinzaine de secondes supplémentaires pour jouir une quantité obscène de sperme.
Je n’ai pas respecté son ordre, mais elle semble tout de même satisfaite.
- Presque une minute, c’est très bien esclave, tu sembles avoir de bonne base pour devenir précoce. Cela m’amuse beaucoup. Mais rappelle-toi, à terme, je veux que tu jouisses à mon claquement de doigt. Au bout d’une minute… ou moins » dit-elle en éclatant d’un rire qui m’a sur le moment terrifié, en pensant aux conséquences de ce qu’il est en train de m’arriver.
Ensuite, elle me congédie.
Sommé de me rendre au domicile de ma Maîtresse
Quelques jours après son retour de vacances, ma secrétaire dominatrice, me demande de venir à son domicile, après le travail, sans me préciser pourquoi. En arrivant sur place, je constate que la voiture de son mari est là. Le stress monte brusquement. Plusieurs mondes vont s’entrechoquer d’ici quelques minutes.
Je connais vaguement son mari pour l’avoir croisé à quelques soirées entre collègues. Il m’a semblé plus proche du prototype classique du macho que du mari attentionné envers sa femme. Peu ou pas d’atomes crochus entre nous donc.
La porte étant entrouverte, j’imagine être attendu et je me décide, donc, à rentrer.
Son mari est là, installé dans le canapé.
- Salut!, me lance-t-il. Je m’attendais à te rencontrer, café ?
J’accepte sa proposition et nous commençons à discuter.
- Ma femme m’a parlé de ce que vous faites le soir au bureau, me dit-il.
Je suis soudain pris d’une intense décharge d’adrénaline.
- Elle me l’a annoncé dès le premier jour. Si j’ai d’abord eu le sentiment d’être trompé, elle m’a rapidement rassuré et convaincu. Tu es inoffensif d’après elle, tu n’es pas un « concurrent ». Donc cela ne me pose pas de problème. Je devrais même te remercier, sa libido n’a jamais été aussi élevée! dit-il en riant.
Je reste assez circonspect car je ne vois pas encore où il veut en venir.
- Tu portes ta cage là ?, me lance-t-il.
- Oui, comme elle me l’a demandé, réponds-je couvert de honte et d’humiliation d’évoquer ce sujet devant un autre homme.
Obligé de porter une tenue de soubrette
Heureusement, c’est le moment où ma secrétaire dominatrice décide de nous rejoindre.
- ça y est, vous avez brisé la glace ?, dit-elle hilare.
A ce moment précis, je n’ai, encore, aucune idée, de ce qui va suivre.
- Tu vas aller dans la salle de bain. Je crois que tu connais le chemin maintenant. Tu te changes avec ce que tu trouveras et tu reviens ici, à quatre pattes évidemment!, m’ordonne-t-elle.
Bien que l’excitation soit présente, je commence à appréhender ce qui va se passer. En effet, la présence de son mari me mets à l’aise, mais qu’importe. J’obéis.
J’arrive dans la salle de bain, et dans le plus pur des clichés, je trouve une tenue complète de soubrette. Après plusieurs hésitations, je me décide à l’enfiler. Maîtresse a pensé à tout. Je trouve également des éléments en vinyle, permettant de cacher ce qui me reste de présence masculine visible, à savoir mes poils. La tenue laisse par contre parfaitement en évidence ma cage.
Il va falloir sortir maintenant.
Je reviens donc vers eux, en rampant. Je ne m’y attendais pas, mais le frottement des différents tissus de ma tenue, notamment le satin, m’excite.
Esclave au service de ma secrétaire dominatrice et de son mari
Ils sont tous les deux sur le canapé. Ils se sont rapprochés et s’embrassent. J’attends, tête basse, qu’ils daignent s’intéresser à ma présence.
- Ah notre petite soubrette est là, parfaitement apprêtée !, finit par lancer Maîtresse.
Un feu intense d’humiliation et d’excitation brûle au fond de moi.
- Va nous chercher à boire! Tu as tout ce qu’il faut dans la cuisine. Et tu continues à ramper devant nous!, m’ordonne-t-elle.
J’arrive laborieusement, non sans mal, à revenir au salon avec deux verres de vin que je pose sur la table basse.
- Bien esclave, vénère nos pieds maintenant! J’ai bien dit NOS pieds ! répète-elle.
Me voilà donc en train d’embrasser et de lécher les pieds de ma secrétaire dominatrice, mais aussi ceux de son mari pendant qu’ils continuent à se toucher. Je pense que je n’ai jamais été aussi humilié de toute ma vie. Cependant, je dois avouer que je ressens aussi l’extase ,en ce moment. Et je ne suis qu’au début de mes surprises.
Après plusieurs minutes de vénération à quatre pattes, j’entends une fermeture éclair s’ouvrir.
- A genoux esclave!, me lance Maîtresse.
Je n’ai que trop bien compris.
Je suis maintenant à quelques centimètres du sexe de son mari, déjà bien dur. J’essaye de l’avaler entièrement, sans succès.
- Doucement ma salope, dit son mari. On a tout notre temps.
Je me calme donc et commence doucement à le sucer. Je suis très excité, mais la cage est là pour calmer mes ardeurs.
Cette situation me semble durer un temps infini. Maîtresse finit par me sortir de ma léthargie.
- Allons dans la chambre mon chérie, dit-elle à son mari. Toi, tu nous suis, inutile de préciser comment.
Proposition d’être leur domestique à temps complet
Nous arrivons dans la chambre conjugale. Je dois rester près du lit, sans pouvoir les voir. Ils font l’amour pendant plusieurs heures, sans à aucun moment se préoccuper de ma présence.
Après deux orgasmes retentissants, le silence s’empare de la chambre. Je vois le mari se lever et sortir de la chambre, puis un claquement de doigt venant du lit. Je m’approche donc. Maîtresse est là. Nue et apaisée, elle me sourit.
- Nettoie-moi!, dit-elle.
Je m’approche donc de son sexe couvert de cyprine et de sperme que je commence à lécher jusqu’à la dernière goutte.
- C’est du bon travail esclave, approche!, me dit-elle.
Elle ouvre ma cage. Je suis en érection instantanément.
- Tu as dix secondes.
Je jouis à la neuvième. La satisfaction de Maîtresse est totale.
Nous répèterons ces moments régulièrement pendant les prochaines semaines. Jusqu’à une certaine journée que je ne pourrais pas oublier.
Descente aux enfers ou ascencion au Paradis?
- Aujourd’hui, tu vas aller voir notre employeur et tu vas lui présenter ta démission, me dit-elle sereinement.
Je reste incrédule.
- Tu comprends ce que cela signifie? Je te veux à demeure à notre domicile désormais. Tu ne vivras qu’à travers moi et mon mari. Nous serons tes seuls maître, ta seule raison de vivre.
Je ne sais plus quoi penser ou répondre. Mon premier réflexe est de refuser, essentiellement par peur de cette nouvelle vie. Cependant, pour être tout à fait honnête avec moi-même, je ressens de l’excitation à l’évocation de cette nouvelle vie à laquelle je n’osais même pas rêver.
Sans réfléchir plus longtemps, je réponds,
- Oui… Oui Maîtresse, j’accepte votre proposition!
- Je n’envisageais pas d’autres réponses venant de toi, dit-elle. A la seconde où tu es venu ce soir-là dans mon bureau, tu as scellé ton destin. Il n’y a plus d’échappatoire pour toi désormais.
Je commence donc à envisager mon nouveau rôle au sein de ce couple. Maîtresse a déjà réfléchi et établi de ce quoi mon quotidien sera fait.
- Tu seras notre domestique à demeure, notre petite soubrette disponible à chaque instant. Pour moi, mais aussi mon mari car il prend goût un peu plus chaque jour à nos nouveaux jeux. Enfin, tu seras en chasteté de manière permanente. Si l’envie m’en prend, et pour récompenser ton travail et ta dévotion, tu seras libéré de temps en temps selon mon humeur. De toute façon, tu es maintenant précoce et semble même avoir du mal à bander. Ton membre n’a plus aucune utilité.
Je ne suis plus en mesure de réfléchir. J’accepte mon sort avec la soumission la plus totale. Dieu sait ou tout cela va me mener désormais…
un aboutissement contre son gré, mais le naturel revient au galop
jolie recit avec suite?
Récit très sympa !
Vivement la suite 🙂
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