Week-end à la campagne chez Dame Louise
Dame Louise nous a invité dans sa nouvelle maison de campagne. Nous arrivons vendredi soir tard dans la soirée. Il fait très froid de la neige fondue s’abat sur le pare brise. Depuis notre départ, Maitresse est fatiguée. Elle est emmitouflée dans son renard malgré le chauffage dans la voiture Elle s’est assoupie.
Nous arrivons enfin. Je réveille doucement mon épouse et l’alerte de notre arrivée. J’engage la voiture dans la grande allée, bordée d’arbres. J’avance la voiture dans la cours éclairée et je m’ arrête devant la porte. Ensuite, je contourne la voiture et ouvre à ma Maitresse puis je l’accompagne à l’entrée.
Dame Louise est déjà à la porte et nous souhaite la bienvenue. Ensuite, je vais ranger le véhicule sous un appentis et je rapporte les bagages dans la maison. Le soumis de Louise me conduit dans la chambre de ma Maitresse puis m’indique où je peux poser mes affaires. Les Maîtresses Dominatrices doivent décider de nos nuits.
Enfin, nous redescendons dans le salon. Des bûches brulent dans une grande cheminée. Un grand tapis en peau de vache est disposé devant. Sur une table basse, j’aperçois deux couverts devant lesquels les Maitresses s’ installent. Madame Louise nous ordonne de nous mettre nus et de les servir .
Soirée avec Dame Louise et son soumis, Marc
Marc et moi allons à la cuisine et revenons déposer le foie gras et les toasts puis nous servons le vin blanc un peu sucré à ces dames. Nous avons l’autorisation de nous placer au sol devant la cheminée. Ma Maitresse, après avoir mangé du foie gras et une salade d’endives aux noix, semble être moins fatiguée.
Elle m’ordonne de lui masser ses pieds qui sont posés sur un gros coussin devant le feu tandis. Pendant ce temps, Marc réorganise les bûches dans l’âtre avec un tisonnier. Louise converse avec Maitresse et dévoile son envie de tatouer Marc avec ses initiales. Elle se pose encore des questions sur l’endroit du corps.
Les Dames décident et les soumis subissent. Bien détendue, ma Maitresse s’allonge sur la peau de vache et se cale avec un coussin. Ensuite, elle écarte les cuisses et m’invite à lui lécher le sexe. Je m’applique. Avec ma langue et mes doigts, je donne du plaisir à ma Maitresse. Au bout de vingt minutes, Maitresse est satisfaite. La soirée tire à sa fin les dames désirent aller ce coucher.
Maitresse décide que je vais dormir au pied de son lit. Le lendemain, au petit matin, elle me réveille et me demande de la masser. Une fois détendue, je la lèche autour de sa petite chatte. Elle mouille. Ensuite, je lèche son clitoris. Elle semble trembler puis elle se finit avec un gode. Après, elle m’ordonne de quitter la chambre.
Le lendemain, promenade en calèche, tirée par les deux soumis
Marc et moi préparons un brunch pour nos Maîtresses. Dans l’après midi, comme le soleil est au rendez-vous, en ce jour d’automne, Louise propose à Maitresse de faire un tour dans la propriété en calèche. Cette dernière ravie, accepte la proposition.
Nous voilà partis tous les quatre vers les anciennes écuries, Marc ouvre une grange dans laquelle se trouve une petite voiture hippomobile légère avec quatre roues à pneus et un timon simplifié. Il me montre des paires de grosse bottes et une combinaison noire. J’enfile les bottes et la combinaison.
Louise nous affuble d’un serre tête avec des oreille de cheval. Nous prenons Marc et moi le timon et sortons la voiture de la grange. Louise et Maitresse s ‘installent dans la carriole. Marc remonte une couverture sur leurs jambes et reprend sa place à mes côtés Louise prend le fouet et le fait claquer dans l’air. Doucement, nous quittons la cour de l’écurie pour prendre le chemin bordé de châtaigniers. Louise joue avec le fouet et nous promet des fesses rouges si la vitesse ne lui convient pas.
Ainsi, nous quittons le chemin principal et nous abordons la campagne, entre les champs et les vergers. La calèche est plutôt facile à tirer une fois lancée mais la sueur commence à perler sur nos fronts! Avec son fouet et à la voix, elle nous indique la direction. Après une bonne demi-heure, nous sommes sur le chemin du retour. Louise tient à nous montrer la serre dans laquelle elle jardine. Nous arrivons essoufflés devant une belle serre en verre et fer forgé.
Arrêt dans la serre pour prendre des orties!
Marc aide les Maîtresses à descendre de la calèche puis Louise nous invite à la suivre. Elle ouvre la porte en fer vitrée. Il fait une douce chaleur. On peut sentir la terre mouillée. Une grande plate bande occupe la totalité de la surface de la serre. Louise fait pousser des orties, d’une hauteur moyenne d’un mètre. Dame Louise explique à Maîtresse qu’elle fait couper régulièrement une partie de la plantation pour avoir toujours des orties de qualité. Je remarque une poutre métallique fixée à la charpente en fer et qui courant sur toute la longueur de la serre. Il y a, aussi, un palan avec des câbles électriques qui courent le long de la poutre.
Maitresse adore l’idée de jouer avec des orties. Moi, je suis moins partant. Marc à déjà testé. Il n’est pas plus fan que cela. Louise explique à Maitresse le fonctionnement du palan et de ses fonctions. Louise lui montre aussi les harnais avec lesquels elle attache les soumis, pour les faire, ensuite, descendre au beau milieu du parterre d’orties. Je sens Maitresse très intéressée. Je la connais.
La lumière commence à baisser. Dame Louise enfile, rapidement, deux grands gants. Ensuite, elle cueille, tout aussi rapidement, un bouquet d’orties qu’elle dispose dans un panier. Dame Louise invite Maitresse à boire quelque chose de chaud. Elle nous ordonne de les ramener. Marc aide les dames à remonter dans la calèche et remonte la couverture sur leurs genoux. Ensuite, nous retournons à la maison. Nous nous arrêtons devant la maison. Marc aide les Maîtresses à descendre. Enfin, j’aide Marc à ranger la calèche dans la grange.
Nous quittons nos habits de traction et revenons rapidement servir nos Maitresses. Tandis que je range les fourrures de ces Dames, Marc prépare deux cafés latté pour les Maitresses.
A la fin de la soirée, soumis fouettés avec les orties!
La soirée se poursuit devant la cheminée que Marc nourrit de bûches. Je prépare le souper pour ces Dames et nous nous mangeons dans la cuisine.
A la fin du repas, Louise nous appelle. Elle nous ordonne de nous mettre nus et de présenter nos fesses. Maitresse confirme cet ordre et m’enjoint d’écarter bien les jambes. Louise a l’aide du bouquet d’orties nous fouette les fesses et l’entrejambe. Une furieuse chaleur incendie la peau tendre de cette partie du corps. C’est terrible car ça pique sans que l’on puise rien y faire. Les Dames rient en nous voyant nous tortiller, elles sont sans pitié. Ensuite, elles nous ordonnent de cesser de nous trémousser. Nous devons rester immobiles sous peine de punitions supplémentaires. Tant bien que mal, nous restons comme des statuts. Je m’accroche debout au dossier d’une chaise. C’est intenable. Les Maîtresses sont épouvantables. Elles se moquent de nous nous traitent de « fiottes » de « petites bites ». L’excitation arrive, mêlée à la chaleur de la peau irritée. Mon sexe cogne au fond de la cage.