La mère de Fabienne… Quelle femme dominante!
Je restai seul avec la mère de Fabienne, un peu sonné par la succession des événements. À la vérité, complètement meurtri. La dame me regarda, droit dans les yeux, l’air peiné pour moi.
- Jean-Louis, tu es un gentil garçon et je suis ravie que tu sortes avec ma fille. Tu dois être profondément blessé, donc il faut que je t’explique le cas de Fabienne. Je n’irai pas par quatre chemins : à l’âge de neuf ans, elle s’est fait violer par son père.
Elle dit cela sur un ton très doux, mais elle marqua une pause et je sentis une tristesse ainsi qu’une colère froide monter en elle.
- Je m’appelle Patricia, mais je préfère que tu continues à m’appeler « Madame », tu comprendras plus tard. Oui, je sais, tu te demandes si j’ai divorcé… ce fut ma première réaction, mais j’ai décidé de le… guérir, d’en faire un homme, disons… normal. Il se tient à carreau à présent. Il est même devenu exemplaire, mes amies ont recours à ses services et ne tarissent pas d’éloges à son sujet. Toujours est-il que je le domine d’une certaine façon : je lui indique le comportement à tenir quand il semble partir à la dérive. Bref, ça, c’est mon problème et rassure-toi, il ne te fera rien, je l’ai… bien en main. Là, je lui ai ordonné de dormir et de ne pas nous déranger. Par contre, dis-moi ce que tu as fait à Fabienne pour qu’elle t’en veuille à ce point. Ne me raconte pas de salades, je connais ma fille, elle n’est pas violente.
En échange, je peux t’aider à la convaincre de revenir à des sentiments plus normaux. En tout cas tenter de la calmer elle et, à toi, te donner des conseils de femme.
Sa voix douce me charmait. Je remarquai la beauté de son visage, la finesse de son corps. Elle était plus belle que Fabienne, c’était évident. Mais j’aimais Fabienne. Pour la retrouver, j’aurais vraiment fait n’importe quoi.
Confidence pour confidence
Je lui racontai toute la soirée, sans omettre un détail. Elle sourit avec beaucoup de douceur.
- Jean-Louis, tu es vierge, non ?
Ne réponds pas. Tu es vierge, c’est évident.
Viens t’asseoir sur le canapé, exactement là où vous étiez. Où était Fabienne ?
Ahaha, on dirait une reconstitution de crime ! Détends-toi.
Je lui montrai la place de sa fille. Elle me dit de me placer là où moi, j’étais… Je piquai un phare qui aurait pu guider les navires à mille kilomètres de là ! Je refusais, arguant que ce ne serait pas respectueux envers la mère de mon amour. Elle sembla vexée et amusée. Moi, je me sentais de plus en plus ballot.
- Sers-moi un Scotch, il y en a dans le petit bar, près de l’escalier. Prends-en un aussi, ça va te détendre.
Je servis deux verres et lui tendis le sien. Elle le vida d’un trait puis, satisfaite, me regarda dans les yeux.
- Bois le tien. Va chercher la bouteille. Rapporte-là.
Je remplis mon rôle de serveur, et je dois admettre que la tension s’effaça au troisième.
- – Tu ne veux toujours pas te mettre à la place que tu occupais ? Bien.
Alors mets-toi à la place de Fabienne.
Elle me poussa dans le canapé (je dis « dans » parce qu’il était très profond et confortable). Madame Patricia venait d’avaler son cinquième scotch…
La cougar, femme dominante redoutable!
Elle se laissa tomber sur moi et me glissa dans l’oreille :
- Je vais t’apprendre, adorable petit puceau, Madame va t’expliquer comment plaire aux femmes. Tu lui as fait ceci, à Fabienne ?
Et elle m’embrassa, sans retenue, sa langue parfumée au Whisky fourrageait dans ma bouche, enrôlant la mienne de force…
- Et ça ?
Elle posa ses mains sur ma poitrine, comme si j’avais des seins, et massa mes pectoraux en haletant.
En reprenant le baiser, elle salivait comme une gosse devant une pâtisserie. Je m’aperçus que j’aimais sa façon de faire, son goût, la quantité de salive qu’elle faisait passer de sa bouche dans la mienne. Encore une fois, ma sincérité en fit sortir des mots malgré moi.
- Merci, Madame, c’est… si bon.
- Quoi ? Répètes ça ?
- Euh… quoi, merci Madame ?
Fermant les yeux, elle inspira bruyamment et plaqua sa main sur mon jean, trouvant et empoignant immédiatement la raideur qu’il contenait. Elle donna un coup de rein, comme en suffocant. Décidément, elle faisait exactement ce que j’avais fait ! Un autre coup de rein et elle s’insinua un peu plus entre mes jambes. Elle chuchota, de sa voix saoule.
- Alors, c’est à ce moment que tu as fait la connerie, hein ? Faut vraiment que j’te montre, laisse-moi ta place, je vais faire Fabienne.
Une fois les places interchangées, je repris le baiser. Elle écarta alors complètement ses jambes pour les croiser dans mon dos, et donna trois coups de reins énergiques.
- Et c’est là que tu as déraillé. Regarde ce qu’il fallait faire…
La méthode selon Patricia, femme dominante
Desserrant l’étau de ses cuisses, elle me poussa vers le bas. Au passage, j’embrassai ses seins, puis son ventre. Cette femme dominante décolla un peu ma tête vers le haut pour dégager prestement sa robe et plaça d’autorité ma bouche sur sa petite culotte.
Humide.
J’étais terrifié.
Mais l’alcool aidant, je me surpris à trouver ça excitant et je couvris de baisers le petit triangle de dentelle.
Avec des accents alcooliques, elle me dit dans un souffle :
- Mais qu’est-ce tu fous ? Enlève-ça et lèche ma chatte, petit con !
Je mis du temps à enlever la culotte, notamment au passage des pieds qui me firent penser à ceux de Fabienne et que je n’embrassai donc pas !
De retour dans le giron de Patricia, je fus surpris de l’absence de poils, mais je léchai comme un fou, n’importe comment, découvrant le goût qui correspondait à son odeur.
Un paradis!
Chaud et moite!
Madame Patricia plaça ses longues mains sur mes joues et me guida.
- Lèche d’abord largement, pense bien que ta langue est au service du plaisir de Fabienne. Ne la déçois pas, c’est ta reine. Puis sers-toi de la pointe de ta langue pour le clitoris.
Bien ! Plus pointu, plus dur… aaahhhhh... pénètre, maintenant… plus profond…
Une tape sur le dessus de mon crâne m’ordonna de faire un effort. Il fut vite récompensé.
- Ouiiiii, c’est bien. Maint’nant, aspire mon clito, tête-le !…
Elle dut me déplacer la bouche vers le haut, j’étais perdu, sans GPS pour m’orienter dans ce paysage divin et si nouveau pour moi. Je me tirai assez bien de la tétée, du moins le pensais-je, car elle gémissait, un peu comme si ça lui faisait mal.
Ah, le voilà enfin, ce fameux orgasme féminin!
Mais le gémissement s’amplifia. Elle replaça ma bouche en face de son vagin et se mit à combiner ses mouvements. Avec son bassin, des mouvements de plus en plus larges, et avec ses mains, toutes deux posées sur ma tête, des pressions de plus en plus intenses.
Ma langue se faisait la plus longue et la plus grosse possible, c’était elle qui la faisait entrer et sortir. Mon nez s’écrasait à chaque fois sur le mont de Vénus, ce qui me fit imperceptiblement gémir. Elle s’arrêta.
Comme si elle craignait de me faire mal ? Pensai-je.
Oh non ! Elle recommença, plus fort, et je gémis encore et plus je réagissais, plus elle forçait son mouvement. Au bout de deux minutes, ça déclencha quelque chose en elle.
Son gémissement, qui s’était transformé en une plainte douce, devint une série de râles, brefs et rauques, au rythme spasmes qui s’emparaient de ses reins.
Se redressant, elle me regarda d’un air terrible, comme si elle voulait me tuer, et se frappa littéralement l’entrejambe avec mon visage. Elle termina ce fantastique concert par des cris essouflés, les yeux fermés. Je les reçus en pleine figure comme des cadeaux et, subjugué, inspirai l’haleine de cette créature divine.
Presque immédiatement, d’un air irrité, elle repoussa violemment ma tête avec son pied, comme si je l’empêchais de reprendre haleine.
- BON ! Ben… v’là pour la première leçon… surtout, apr..près ça, ne tente RIEN D’SEXUEL ! Parle-lui doucement, gentiment, fais-lui une belle déca.. déclaralation…
Ben vas-y, c’est moi, Fabienne, j’veux d’la douceur après un orgasme… et mes désirs sont des ordres, pour toi. Tu obéis, p’tit merdeux, un point cétou !
Une fois de plus, ma sincérité, mon cœur, plutôt, m’indiqua ce que j’avais à dire (mon cerveau était K.O. dans le pâté).
Ma prière à Déesse Patr… EUH, Fabienne!
- Madame Pat… Fabienne, vous avez enchanté ma vie en kèk’minutes. Le spectak de vot’ plaisir est l’plus beau que j’aie jamais vu. Vous êtes une divinité, j’vais vous prier à genoux. Je m’donne à vous, déesse Pa…Fabienne, faites de moi c’que vous voudrez, j’obéirai à vos ordres. Chuis un misérab’ d’avoir pensé faire l’amour sans qu’vous me l’ayez ordonné… pardon… merci mille fois, Madame P..Fabienne !
- Ahaha… tu te gourres un peu, mais ça ira. Tu as bien d’autres choses à apprendre, ce sera pour plus tard. Pour vraiment savoir comment te comporter avec Fabienne, tu iras la voir. Elle habite temporairement chez ma sœur. Béatrice est psychologue comportementaliste et connaît très bien le cas de Fabienne.
Maintenant, rentre chez toi. Je t’autorise à rêver de ce que je t’ai forcé à me faire… Emporte ma culotte, pour ça.
- RAMASSE-LA !
Elle avait dit ça exactement sur le même ton que sa fille. Avec la même autorité.
Bien sûr, elle avait parfaitement compris que mes remerciements s’adressaient à elle, Madame Patricia.
Et donc, puisqu’elle était « ma divinité », cette belle femme dominante testait ma dévotion.
Quand je lui rapportai le petit slip en dentelle, elle m’ordonna de me mettre à genoux et de la regarder faire en silence. Elle s’essuya méticuleusement le sexe avec.
Ensuite,
- Baisse les yeux !
Lentement, mimant une cérémonie religieuse, elle le passa autour de ma tête jusqu’autour du cou. Quand le petit carré intérieur en coton passa sur mon nez, elle le pinça, comme on mouche un enfant.
La petite culotte était trempée, imprégnée du goût et de l’odeur que je venais de goûter. J’étais sur un nuage, au ciel, face à cette déesse. Je bandais comme… (un ange ?)
Redescends sur terre l’ange!
Patricia le savait, bien sûr. Détendant sa jambe, elle m’écrasa les testicules. Je tombai à genoux, le souffle coupé par la douleur. Cette magnifique femme dominante était tout sourire :
- Vilain p’tit cochon, attends d’être rentré chez toi pour réviser !
Tu reviendras me réciter cette première leçon dès que je t’en donnerai l’ordre.
J’ai le numéro de tes parents, je leur dirai que tu dois aider Fabienne à faire ses maths… tu auras dix minutes pour venir te prosterner, à genoux.
Quand tu auras fait suffisamment d’exercices pratiques avec moi… (c’est moi qui déciderai), Béatrice poursuivra ton dress… ton éducation.
Tout cela pour le bien de notre chère Fabienne, bien sûr…
- Oui, bien sûr. Je vous obéirai immédiatement, MERCI, Madame, merci de m’instruire pour mériter que Fabienne m’accepte… dites-lui bien que je lui obéirai, que je serai son petit chien, à ses ordres.
Est-ce que ce fut encore ma franchise, ma stupidité, l’alcool… je ne pus m’empêcher de lui prendre les pieds et de les embrasser avec passion, en répétant :
- «merci… merci… merci… merci…»
En partant, il me sembla discerner sur le beau visage de cette femme dominante, un sourire moqueur.
à suivre
Magnifique histoire… merci mille fois!! Cela promet pour la suite!